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Ordination des femmes, communion des divorcés remariés, célibat des prêtres ...

images-1.jpegEn cette année de la foi, le Pape Benoît XVI avec toute l'Eglise, cette grande famille,  nous invite à accueillir l'Esprit Saint qui souffle la foi, la prière et la vie intérieure sur la braise de nos coeurs blessés, afin que la joie de croire illumine nos regards. L'avenir est à la foi, et pas au structures qui ne sont pas enracinées en elle. 

A partir de la foi, don gratuit de Dieu, il devient possible alors de parler sereinement des noeuds qui semblent paralyser les chrétiens. Mais avant d'être une éthique et une morale, le christianisme est l'accueil de l'amour de Dieu (Benoît XVI).

 

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L'année de la foi nous invite à nous centrer sur l'essentiel

En bref, ce qu'enseigne l'Eglise, soit les évêques en communion avec le Pape et l'immense majorité des chrétiens sur les 5 continents, en union avec tous les saints du ciel. Les réponses à ces quelques questions récurentes existent. Autre chose alors de n'être pas d'accord avec leurs contenus. 

Ordination des femmes

"l'Église n'a en aucune manière le pouvoir de conférer l'ordination sacerdotale à des femmes et que cette position doit être définitivement tenue par tous les fidèles de l'Église".

Bienheureux Jean Paul II

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Accès aux sacrements des personnes divorcées:

"Le message considère la famille comme le lieu naturel de l'évangélisation et confirme qu'elle doit être soutenue par l'Eglise, par la politique et par la société. A l'intérieur de la famille, il souligne le rôle spécial que jouent les femmes et rappelle la situation douloureuse des personnes divorcées et remariées. Tout en confirmant la discipline relative à l'accès aux sacrements, il insiste que ces personnes ne sont pas abandonnées par le Seigneur, et que l'Eglise est une demeure accueillante pour tous".

Synode sur l'évanglisation, octobre 2012, évêques du monde entier. 

Tous les chrétiens sont tenus à interroger leur conscience en demandant la lumière de l'Esprit Saint, afin d'être en état de grâce pour recevoir le Corps du Christ. L'Eglise se doit de soutenir les personnes blessées dans leur amour et qui restent fidèles au sacrement de leur mariage. Les personnes divorcées font partie de l'Eglise. 

Célibat des prêtres

Le célibat remonte au temps des des Apôtres, et non pas comme on le pense parfois au 12ème siècle. L'Eglise a toujours pensé qu'il est possisble d'ordonner des hommes mariés, et elle continue cette pratique (la demande des "viri probati" est ainsi ambigüe car cette tradition existe en fait, qui demeure certes l'exception. Tout candidat aux ordres doit être avoir fait ses preuves). L'exception confirme la règle. Mgr Morerod, lors d'une émission radio "Les Dicodeurs " (un auditeur demandait de permettre le préservatif et de supprimer le célibat des prêtres) a dit avec humour et sagesse, "s'être toujours engagé pour préserver le célibat des prêtres".  Au Concile Vatican II, les évêques orientaux ont demandé à l'Eglise latine de garder le trésor du célibat des prêtres. 

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dimanche, 18 novembre 2012 | Lien permanent | Commentaires (2)

Cessons de stigmatiser les personnes divorcées remariées ou homosexuelles

Gardons-nous du levain des pharisiens

Unknown.jpegPar le Cardinal Marx, leader de bien des évêques d'Allemagne, le Synode se cristallise autour de la communion des personnes divorcées remariées. Le risque est une certaine stigmatisation. 

La communion au Corps, au Sang, à l'Âme et la Divinité de Jésus doit être un acte libre. Face à Dieu, nous sommes tous et toutes à la même école.

Gardons-nous de la prière du pharisien: "Seigneur, je ne suis pas comme eux, divorcés ou quelqu'un qui pratique des actes homosexuels, alors je te rends grâce car je peux aller communier moi"

Avant d'aller communier, nous sommes tous et toutes invités à un examen de conscience à la lumière de l'Evangile, de l'enseignement de l'Eglise, afin d'aller communier en état de grâce, soit sans péché grave ou mortel. En cas de péché grave ou mortel, Jésus qui est la Vie nous attend d'abord au confessionnal. Si seulement la queue du confessionnal était aussi longue que celle de la communion. 

Faut-il davantage faire le lien entre eucharistie et confession ?

(source Famille Chrétienne) "Rappeler qu’on doit se confesser avant de communier, si on a conscience d’avoir fait un péché mortel, est essentiel pour aider les fidèles à bien communier. Et éviter une réception sacrilège du sacrement. La miséricorde de Dieu passe par le confessionnal. L’acte d’humilité de nous confesser en admettant nos péchés nous permet de vraiment vivre comme le Christ nous l’a enseigné."

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mercredi, 21 octobre 2015 | Lien permanent

Synode sur la famille: les personnes homosexuelles, divorcées remariées sont les bienvenues !

images.jpegLes personnes homosexuelles et divorcées remariées sont les bienvenues !

Il y a une ambiguité à lever: dans la manière de parler, être bienvenue signifie accéder à la communion. Dans les débats et les échanges entre chrétiens, il règne une sorte de focalisation sur la communion, l'accès à l'Eucharistie. 

L'Eglise offre une multitude d'actions pour signifier que chacun et chacune est le ou la bienvenue dans la grande famille des chrétiens: l'adoration, la prière, la communion de désir ....

Synode sur la famille: l'accès aux sacrements est lié à une confession sacramentelle

Le Cardinal Schönborn, lui-même enfant de parents qui se sont hélas divorcés, s'est illustré par une bonne intervention lors d'une conférence de presse:

 

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jeudi, 16 octobre 2014 | Lien permanent | Commentaires (1)

Le préfet de la doctrine de la foi, le Cardinal Müller, sur les personnes divorcées remariées

images-3.jpegVatican Insider

Un enseignement limpide

Le Cardinal Müller, second successeur du Cardinal Ratzinger a répondu à des questions de journalistes sur la communion des personnes divorcées remariées.

Le prélat a souligné que la doctrine de l’Eglise était “claire“ et qu’il était impossible de la changer.

Changements pastoraux

Les changements seront d'ordre pastoraux, avec la possibilité d'exiger une sérieuse préparation pour le sacrement du mariage, la nécessité d'avoir la foi (proposition de Joseph Ratzinger) et une simplification des procédures pour la reconnaissance de la nullité. 

Se marier en Jésus Christ

Le Cardinal Müller rappelle simplement que l'enseignement sur la mariage provient de l'Evangile et des paroles mêmes du Christ. L'Eglise ne peut pas les changer. Le mariage est de droit divin. 

Les personnes en grande souffrance seront toujours aidées par une recherche de la vérité, car la vérité rend libre. Une reconnaissance en nullité facilitée serait fortement souhaitable. Si la doctrine est claire, la réalité des personnes est souvent fort complexe. La divine Miséricorde trouvera toujours son chemin afin de rejoindre le coeur de tous et de chacun. 

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mercredi, 26 février 2014 | Lien permanent

Communion des personnes divorcées remariées: le frère Thomas Michelet dans Nova et Vetera

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La Revue théologique fondée par le Cardinal Charles Journet, dirigée par Mgr Charles Morerod évêque à Fribourg (Suisse), publie un article de fond sur le thème de la communion, de la situation des personnes divorcées remariées et de l'attachement au péché. 

Le frère Thomas Michelet, dominicain à la Sainte-Baume: la communion et l'attachement au péché grave ou mortel

L'Eglise accepte déjà à l'eucharistie les divorcés-remariés qui, ayant pris l'engagement de vivre en frère et soeur », peuvent recevoir l'absolution.

Pour recevoir l'absolution, trois actes doivent être posés : le repentir, le fait de regretter son «péché», l'aveu du péché et la réparation du péché qui implique l'engagement à ne plus recommencer et la pénitence. 

L'attachement au péché 

"La vraie difficulté n’est pas la communion eucharistique mais l’absolution, qui suppose le renoncement à son péché. C’est ce qui explique l’impossibilité d’admettre à l’eucharistie pas seulement les divorcés remariés mais ceux qui persistent avec obstination dans un péché grave et manifeste"

Ne pas se focaliser sur les personnes divorcées remariées

"On gagnerait à le rappeler, sans doute en des termes moins abrupts, afin que les divorcés remariés ne se croient plus les seuls concernés par ce qui n’est d’ailleurs pas une mesure disciplinaire de l’Église, mais une impossibilité qui s’impose d’abord à elle Et donc, notre réponse pastorale ne devrait pas non plus se focaliser sur leur seul cas — avec le risque de les enfermer dans une catégorie de péché, sans voir qu’ils sont avant tout des baptisés en quête de Dieu ...."

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mardi, 21 avril 2015 | Lien permanent

Monseigneur Georg Gänswein: l'Eglise doit être proche des personnes divorcées remariées

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Georg Gänswein: une Eglise proche des chrétiens divorcés

Dans un article de Vatican Insider, Monseigneur Georg Gänswein, préfet de la maison pontificale et secrétaire émérite du Pape Benoît XVI,  a plaidé pour une Eglise proche des personnes divorcées remariées, qui ne sont ni exclues ni excommuniées. 

Gänswein: ne pas chercher à plaire; se référer à l'Evangile

Pour la communion, c'est une autre question. Les pasteurs qui proposent ce qui n'est pas permis recherchent l'assentiment et les applaudissement des médias. Or la référence demeure l'Evangile, une saine doctrine et la Tradition. 

Goerg Gänswein: ne pas ignorer Jean-Paul II pour changer les choses

"C'est vrai que toutes les erreurs ne viennent pas de l'Allemagne; cependant, en ce qui concerne la question de la communion des personnes divorcées remariées, certainement oui. Il y a vingt ans, après une longue et laborieuse discussion, Jean-Paul II n'a pas accepté que des chrétiens remariés puissent accéder à l'Eucharistie. Maintenant, nous ne pouvons pas ignorer son enseignement et change les choses". 

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dimanche, 26 juillet 2015 | Lien permanent

Andrea Tornielli: interview du Cardinal Kasper sur les personnes divorcées

Vatican Insider: Andrea Tornielli, brillant vaticaniste, interviewe le Cardinal Kapser

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Le Cardinal Kasper: pour les personnes divorcées, je n'ai proposé aucune solution définitive

 

Il me paraît essentiel, pour l'honnêteté du débat voulu par le Pape, de donner la parole à celui qui ne partage pas véritablement l'avis des autres Cardinaux. Cela nous permet de comprendre que le Cardinal Kasper ne donne aucune solution définitive. 

Andrea Tornielli est sans aucun doute le vaticaniste le mieux informé sur l'actuel pontificat. Tornielli fut aussi un fin connaisseur de Benoît XVI.

Enfin, le Pape n'a jamais dit qu'il irait dans ce sens. Il veut surtout un large débat afin de trouver des solutions pastorales à des nouvelles souffrances. 

Lien

Interview en italien

- En Février dernier, vous avez parlé aux cardinaux et avancé une proposition sur la possibilité de la communion pour les divorcés remariés. En quoi cela consiste-t-il ?

images.jpegJe n'ai pas proposé une solution définitive, mais après en avoir convenu avec le Pape, j'ai posé des questions et proposé des considérations pour des possibles réponses.

L'argument principal est le suivant: le sacrement du mariage est une grâce de Dieu qui fait des époux un signe de sa grâce et de son amour définitif. Mais même un chrétien peut échouer et malheureusement aujourd'hui de nombreux mariages chrétiens échouent. Dieu dans sa fidélité, ne laisse tomber personne et dans sa miséricorde il donne une nouvelle chance à toute personne qui veut se convertir. 

C'est pourquoi l'Église, qui est comme un sacrement, soit le signe et l'instrument de la miséricorde de Dieu, doit être proche, aider, conseiller et encourager. Un chrétien dans cette situation a un besoin particulier de la grâce des sacrements. On ne peut pas accorder un second mariage, mais - comme disaient les Pères de l'Église, après le naufrage, un radeau pour survivre.

Pas un second mariage sacramentel, mais des moyens sacramentels nécessaires à sa situation. Ce n'est certes pas une solution pour tous les cas, qui sont très différentes, mais pour tout ceux qui font tout ce qui leur est possible dans leur situation.

- Vous mettez en question l'indissolubilité du mariage chrétien ?

La doctrine de l'indissolubilité du mariage sacramentel est fondé sur le message de Jésus et l'Eglise n'a pas le pouvoir de la changer. Ce point reste tel quel. Un deuxième mariage sacramentel, tant que l'ancien partenaire est vivant, n'est en effet pas possible.

Mais il faut distinguer la doctrine de la discipline c'est-à-dire l'application pastorale pour des situations complexes. En outre, la doctrine de l'Eglise n'est pas un système fermé. Le Concile Vatican II enseigne qu'il y a un développement ainsi qu'un possible approfondissement.

Ains, je me demande si un approfondissement similaire, comme ce qui s'est passé dans l'ecclésiologie, est possible dans ce cas. Bien que l'Eglise catholique soit la véritable Eglise du Christ, il y a des éléments d'ecclésialité aussi en dehors des frontières institutionnelles de l'Église catholique.

Dans certains cas, ne pourrait-on pas reconnaître également, dans un mariage civil des éléments du mariage sacramentel ? Par exemple, l'engagement définitif, l'amour et le soin mutuel, la vie chrétienne, l'engagement public,  qui n'existent pas dans les unions de fait ?

- Comment avez-vous accueilli la sortie de ce nouveau livre avec les contributions de cinq cardinaux dont le préfet Müller ?

J'ai été surpris. J'en ai été informé seulement aujourd'hui par les journalistes: on leur a envoyé le texte, mais pas à moi. Dans toute ma vie universitaire, une telle chose ne m'était encore jamais arrivée.

- Il est déjà arrivé, dans l'histoire récente de l'Église, que des cardinaux soient intervenus selon cette modalité organisée et publique avant un synode ?

9d54356675.jpgPendant le Concile Vatican II et la période post-conciliaire, il y avait également des résistances de certains cardinaux au Pape Paul VI, notamment de la part du Préfet du Saint-Office. Toutefois - si je suis bien informé - pas de cette manière organisée et publique.

Si les cardinaux, qui sont les plus proches collaborateurs du pape, interviennent de cette façon, au moins en ce qui concerne l'histoire récente de l'Église, nous sommes bien face à une situation inédite.

- Qu'attendez-vous qu'il se passe dans les prochaines semaines, au cours du débat synodal ?

J'espère que nous pourrons avoir un échange calme et sincère au sujet des expériences pastorales ou des arguments dans un climat d'écoute. Pas des réponses toutes faites, mais des clarification pour la "status quaestionis"; et puis, il y a un année entière pour la discussion au niveau local, avant les décisions de 2015.

- Selon vous, le Pape François parle trop de miséricorde ?

Comment est-il possible de parler trop d'une question qui est au centre de l'Ancien et du Nouveau Testament ? Bien sûr, la miséricorde n'est pas en contradiction avec la doctrine, car elle-même est une vérité révélée. Elle n'enlève rien aux commandements du Seigneur; mais elle est une clé herméneutique pour leur interprétation.

Déjà le pape Jean XXIII, à l'ouverture du Concile, déclarait: "Aujourd'hui, plutôt que d'embrasser les armes de la rigueur, l'Eglise doit utiliser d'avantage la médecine de la miséricorde". La miséricorde est bien le coeur, le centre de l'époque conciliaire et post-conciliaire de l'Eglise catholique. 

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jeudi, 18 septembre 2014 | Lien permanent | Commentaires (11)

Les évêques de Malte prêts à donner la communion aux divorcés-remariés; par I.MEDIA

Unknown.jpegLes évêques de Malte prêts à donner la communion aux divorcés-remariés 15.01.2017 par I.MEDIA

L’Osservatore Romano a publié le 14 janvier 2017 le texte des évêques de l’île de Malte concernant l’application de l’exhortation apostolique Amoris laetitia (2016). Dans les cas où il serait “humainement impossible“, écrivent ces évêques, aux divorcés remariés de suivre l’enseignement de l’Eglise exigeant qu’ils vivent dans la continence, “comme frère et sœur“, lorsqu’ils ne peuvent se séparer, il leur serait possible d’accéder à la communion s’ils se sentent “en paix avec Dieu“.

Parmi les opposants à cette ouverture, le canoniste américain Edward Peters a qualifié sur son blog ce texte de désastreux, car il invite les catholiques “à commettre nombre d’actes objectivement et gravement mauvais“. (cath.ch/imedia/mp)

Note: Le titre est quelque peu trompeur. Les évêques demandent aux prêtres d'être accueillants et charitables, afin de cheminer avec patience pour former la conscience. Contrairement à celles des évêques argentins, ces "guidelines"n'ont pas été commentées par le Pape. L'Osservatore Romano n'est pas un organe du Magistère.

Pour les évêques maltais, la mission des pasteurs ne consiste pas à donner simplement une permission pour accéder aux sacrements, d'offrir des simples recettes ou de se substituer aux consciences. La vocation de l'Eglise consiste à aider les personnes, avec patience, l'art de l'accompagnement, à former et illuminer les consciences afin que cela soit les personnes elles-mêmes qui parviennent à une décision sincère, face à Dieu, pour faire le plus grand bien possible. 

Ce cheminement, cet accompagnement doit inclure un examen de conscience. Ce dernier doit permettre des moments de réflexion, de pénitence: comment les personnes se sont-elles comportées avec les enfants ? ont-elles tentées de se réconcilier avec le conjoint ? quelle est la situation du partenaire abandonné ? L'option de vivre en frère et soeur ne peut pas être éludée. 

Andrea Tornielli

Confusion dans l'Eglise ? je propose un autre titre pour une juste interprétation d'Amoris Laetitia: les évêques sèment la confession !

Amoris Laetitia développe surtout la loi de la gradualité. Les confesseurs le savent bien: si nous discernons la désir d'une conversion à l'Evangile, l'absolution est possible.

Se concentrer uniquement sur les personnes divorcées remariées n'est pas toujours adéquat. Il faut le redire haut et fort: une personne qui souffre d'une séparation n'est pas excommuniée, ni exclue de l'Eglise. Le Pape et toute l'Eglise avec lui, désire avec force qu'elle continue sa vie de foi et de prière. L'Eglise est une Mère tendre et aimante. 

Certains catholiques, disons bien-pensants, sont tentés par un certain pharisaïsme. "Je ne suis pas divorcé, je ne suis pas homosexuel", alors je peux aller communier. C'est blessant et stigmatisant. Un chrétien qui ne cesse de médire, qui se comporte comme un véritable loup au travail, qui manque régulièrement la messe et qui ne se confesse presque jamais, n'a pas le droit à la communion. De fait, nous sommes tous égaux devant Dieu.

Avant d'aller communier chacun doit examiner sa conscience avec l'aide de l'Esprit Saint, pour discerner si Jésus nous attend et nous accueille d'abord au sacrement de la Miséricorde (confession) ou à la communion ? Jésus nous attend, nous espère et nous accueille toujours. 

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La juste interprétation d'Amoris Laetitia demeure dans cette tendre rencontre avec la Miséricorde du Seigneur. C'est le confessionnal. 

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lundi, 16 janvier 2017 | Lien permanent

Trois évêques appellent à prier: pour que le Pape ne donne pas l'Eucharistie aux divorcés remariés (sic!)

Trois évêques appellent à prier: pour que le Pape ne donne pas l'Eucharistie aux divorcés remariés (sic!)

source

schneider-300x168.jpegMarco Tossati révèle que trois évêques, Mgr Tomash Peta, Mgr Jan Pawel Lenga et Mgr Schneider invite à prier (7 langues) pour que le Pape ne donne pas l'Eucharistie aux divorcés remariés. 

Outre que le Pape n'a jamais dit, pensé ou écrit que la confession pouvait être donné sans discernement, je pense que nous devons effectivement prier afin que les cardinaux, les évêques et les prêtres soient unis avec Pierre pour notre temps, dans la plénitude de la foi.

Le travail de formation au discernement des confesseurs ne fait que commencer. Je comprends pourquoi le Pape demande toujours de prier pour lui. 

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mercredi, 18 janvier 2017 | Lien permanent | Commentaires (11)

Amoris Laetitia: la pastorale des personnes divorcées remariées est l'arbre qui cache la forêt car nous avons un problèm

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Amoris Laetitia:

 

la pastorale des personnes divorcées remariées est l'arbre qui cache la forêt

 

car nous avons un problème avec la pastorale de l’Eucharistie.

 

Pourquoi la communion focalise-t-elle tous les débats ?

 

(Famille Chrétienne)

La pastorale des personnes divorcées remariées est un peu l’arbre qui cache la forêt ! En réalité, nous avons un problème avec la pastorale de l’eucharistie.

La dimension de repas a été beaucoup mise en avant, au détriment de la dimension de sacrifice.

Mais si la messe n’est qu’un repas, on ne comprend plus ce que signifie participer à l’eucharistie sans communier. C’est pourtant ce que faisaient nos ancêtres qui communiaient deux fois par an.

Je pense qu’il faut interroger notre pratique de la communion systématique et retrouver le lien avec le sacrement de la réconciliation.

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lundi, 06 novembre 2017 | Lien permanent | Commentaires (1)

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