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mercredi, 21 octobre 2015

Cessons de stigmatiser les personnes divorcées remariées ou homosexuelles

Gardons-nous du levain des pharisiens

Unknown.jpegPar le Cardinal Marx, leader de bien des évêques d'Allemagne, le Synode se cristallise autour de la communion des personnes divorcées remariées. Le risque est une certaine stigmatisation. 

La communion au Corps, au Sang, à l'Âme et la Divinité de Jésus doit être un acte libre. Face à Dieu, nous sommes tous et toutes à la même école.

Gardons-nous de la prière du pharisien: "Seigneur, je ne suis pas comme eux, divorcés ou quelqu'un qui pratique des actes homosexuels, alors je te rends grâce car je peux aller communier moi"

Avant d'aller communier, nous sommes tous et toutes invités à un examen de conscience à la lumière de l'Evangile, de l'enseignement de l'Eglise, afin d'aller communier en état de grâce, soit sans péché grave ou mortel. En cas de péché grave ou mortel, Jésus qui est la Vie nous attend d'abord au confessionnal. Si seulement la queue du confessionnal était aussi longue que celle de la communion. 

Faut-il davantage faire le lien entre eucharistie et confession ?

(source Famille Chrétienne) "Rappeler qu’on doit se confesser avant de communier, si on a conscience d’avoir fait un péché mortel, est essentiel pour aider les fidèles à bien communier. Et éviter une réception sacrilège du sacrement. La miséricorde de Dieu passe par le confessionnal. L’acte d’humilité de nous confesser en admettant nos péchés nous permet de vraiment vivre comme le Christ nous l’a enseigné."

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