Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 01 février 2015

Le commandant de la Garde suisse Anrig s'en va, mais pour un renouveau

Le commandant de la Garde suisse s'en va pour donner de l'air frais

RTS - ATS

Vatican - le 01/02/2015 à 12:59:00 Agence I.Media
Garde suisse : Le commandant Anrig quitte ses fonctions en écartant les critiques sur sa sévérité excessive (Interview)
 
Le Suisse Daniel Rudolf Anrig a quitté ses fonctions à la tête de la Garde suisse pontificale le 31 janvier 2015, à la demande du pape François. Il a confié à I.MEDIA ce qu’il retenait de son mandat, écartant les critiques de “sévérité“ à son égard qui auraient poussé le pape à le limoger, mais justifiant son départ par un besoin de “renouveau“. Il a également confié que la prise de décisions s’était parfois avérée difficile, tout en dressant un bilan très positif de ses années de commandement.

© Artymiak/GSP

Le 31 janvier, le cardinal secrétaire d’Etat Pietro Parolin a célébré une messe au cours de laquelle il a salué “l’exemple de responsabilité et de fidélité“ du commandant nommé en août 2008, évoquant longuement dans son homélie l’exemple d’autorité du Christ.

Puis, lors d’une cérémonie qui a marqué le terme de sa mission, Daniel Anrig a soutenu que la Garde suisse était “un corps militaire“ qui devait “rester comme tel“, précisant que “discipline n’est pas synonyme de dureté ou de rigidité“. Il a particulièrement remercié tous ceux qui avaient soutenu son travail, surtout “au début“ de son mandat. Le nom de son successeur devrait être prochainement connu. Selon toute vraisemblance, le pape devrait nommer Christoph Graf, l’actuel vice-commandant.
 
Quel bilan tirez-vous des six années et demi passées à la tête de la Garde suisse pontificale ?
 
Ma nomination par Benoît XVI fut, dans mon existence, un véritable cadeau et je regarde en arrière en remerciant pour ce don. J’étais lié à ce corps depuis mon passage comme hallebardier entre 1992 et 1994, puis je m’étais activement engagé comme ancien garde. Etre rappelé comme commandant fut comme revenir à la maison, avec émotion. C’est la première fois qu’un ancien hallebardier revenait à la garde comme comandant et j’ai pu donner à ce corps tout ce que j’avais jugé nécessaire lorsque je n’étais qu’un jeune homme.
 
Quel est le plus beau souvenir que vous avez de ces années ?
 
Mon sac est plein de très beaux souvenirs, en particulier concernant la vie de l’Eglise : les canonisations, l’élection du nouveau pape, mais aussi les belles rencontres personnelles avec Benoît XVI et le pape François. Il y aussi toutes les amitiés personnelles liées ici. Ces derniers jours, au terme de mon service, j’ai d’ailleurs vécu de très beaux moments d’amitié. 
 
Quels ont été les moments les plus difficiles ?
 
Il n’existe pas de commandant à travers le monde qui ne sache pas ce que cela représente de devoir prendre une décision dont on sait bien, parfois, que ce n’est pas la meilleure, mais que c’est à vous de décider. Le devoir du commandant est de décider… même s’il n’a pas la réponse parfaite. Pour quelqu’un comme moi qui apprécie la perfection et souhaite donner le meilleur de lui-même, tu ne peux oublier que ce n’est pas parfait mais tu sais que tu as fait ton devoir.
 
D’aucuns ont écrit que la Garde suisse était trop militaire aux yeux du pape, ce qui semble étrange pour un corps d’armée. Nous avons quant à nous rapporté votre sévérité excessive. Que répondez-vous à ceux qui vous ont fait cette critique ?
 
La Garde suisse pontificale a déjà vécu 509 ans en étant organisée de manière militaire. Ces dernières années nous ont prouvé combien c’était nécessaire. Ainsi, lorsque le nouveau pape a décidé d’augmenter le dispositif de la garde en lui confiant aussi la sécurité à la Maison Sainte-Marthe, nous avons parfaitement réussi à garantir ce dispositif. Et cela grâce à l’organisation militaire. Nous avons réussi cela sans augmenter l’effectif, sans problèmes, grâce à l’organisation militaire : les responsables et les soldats ont immédiatement suivi mes décisions et j’en suis fier. 
 
Et la sévérité ?…
 
C’est marrant d’entendre cela ! Comme ancien hallebardier, je savais probablement mieux que les autres commandants avant moi ce dont les jeunes avaient besoin. J’ai eu une grande empathie pour ces jeunes, j’ai aimé dialoguer avec eux. J’ai augmenté les possibilités de sortir, la liberté d’organiser des fêtes, car j’avais apprécié, étant jeune, de pouvoir vivre ! J’ai fait en sorte qu’ils puissent sortir pour faire du sport, je suis allé avec eux jouer au football, j’ai campé avec eux lors d’une marche de plusieurs jours, etc…
 
Ainsi, j’ai vécu avec la troupe et c’est étrange d’être accusé de sévérité. Et puis je suis père de quatre enfants - la plus grande famille qui existe au Vatican - et cela a fait de moi un père pour les jeunes. Pour une figure proche des jeunes, la sévérité est inutile. Il faut être un point de référence pour la stabilité, il doit être ferme, et je crois que c’est une critique éloignée de la réalité. 
 
Au regard du bilan très positif que vous dressez, comment comprendre la décision du pape François de mettre fin à votre mission ? 
 
Le pape François nous montre qu’il veut du renouveau. Il est normal qu’un nouveau pape aille de l’avant, avec des initiatives. C’est aussi son devoir et il est normal de commencer le renouveau par le sommet des institutions. S’il a une idée pour la Garde suisse pontificale, il doit commencer par le commandant. 
 
Certains assurent que le pape souhaite la fin de la Garde suisse, ce qui semble surprenant. Mais que souhaite-t-il pour l’avenir de la garde ?
 
Je ne le sais pas. Mais le simple fait qu’il s’intéresse au rôle du commandant témoigne à la Garde suisse de son appréciation pour ce service. 
 
Quand sera nommé votre successeur ?
 
(Rires) Demandez à l’Esprit-Saint et directement au pape lui-même !
 
Nous, journalistes, n’avons pas toujours été tendres avec vous, en répercutant des propos négatifs vous concernant…
 
Si j’ai vécu une belle collaboration avec les institutions de sécurité - Gendarmerie vaticane et Police italienne -, je dois dire que cela a aussi été le cas avec les journalistes, lorsque j’ai présenté des projets. Je remercie les médias car la Garde suisse a aussi besoin que l’on parle de la beauté de cette institution, un corps de plus de 500 ans qui se nourrit de ces jeunes qui perçoivent à travers les médias le caractère extraordinaire de cette institution.
 
Ils nous aident à recruter et à faire que cette vieille institution soit toujours plus jeune. Quant aux échos négatifs, vous devez faire votre travail et je comprends que c’est difficile lorsque l’on a seulement un petit communiqué (sur la fin de sa mission, ndlr). A l’avenir, je serai probablement responsable d’une institution et je sais qu’en termes de communication chacun fait son travail. 
 
Propos recueillis au Vatican par Antoine-Marie Izoard, I.MEDIA
 

vendredi, 30 janvier 2015

Islam, Charlie Hebdo ... Le Cardinal Barbarin s'exprime

Chaque personne est un immense mystère, qui attend et appelle notre amour

28/01/2015 - Le Cardinal Philippe BARBARIN, archevêque de Lyon depuis 2002, nous raconte comment il a vécu les faits tragiques du 7 janvier à Paris et son expérience face à ce qui est en train de se passer aujourd'hui.

Passé la stupéfaction et l’effroi, j’ai d’abord voulu garder un temps de silence, indispensable à la prière, à une prise de recul. Et puis, très rapidement, s’est organisé le rassemblement qui a eu lieu le jour même à 18h devant l’hôtel de ville de Lyon. Je suis venu, bien sûr, non pas pour dire «je suis Charlie», mais dans un élan de communion avec les victimes. J’ai voulu ce soir-là embrasser le Recteur de la Grande Mosquée, parce que je savais combien sa présence était un acte de courage, lui sur qui seraient braqués tous les regards. Ce qui m’a le plus frappé, outre l’immensité de ces foules, c’est que chacun ressentait un appel à la responsabilité. Emergeait une conviction commune: cette émotion ne sert de rien si elle ne se concrétise pas par des décisions et des actes. Certains veulent nous déclarer la guerre; plus que jamais nous sommes déterminés à nous battre pour la paix.

suite: Revue Internationale de Communion et Libération

Charlie Hebdo: la stratégie de communication du Président Hollande

7354298-11321539.jpg

Source

Immédiatement informé des attentats, le chef de l'Etat a quitté précipitamment le palais présidentiel, dévalant le perron suivi de son conseiller communication Gaspard Gantzer avant de s'engouffrer dans son véhicule escorté par ses services de sécurité. 

 

jeudi, 29 janvier 2015

Réforme du Pape François: les palliums des archevêques seront remis par les nonces apostoliques

Note: Dès sa première bénédiction au balcon de la Basilique Saint-Pierre, le Pape s'était présenté comme l'évêque de Rome, soit l'Eglise qui préside à la Charité. Cette expression remonte aux Pères des premiers siècles de l'Eglise.

Sa première apparition annonçait sa volonté d'exercer sa primauté selon les intuitions de saint Jean-Paul II et de Benoît XVI: donner une plus grande place aux périphéries de l'Eglise, aux Eglises particulières, par un élargissement de l'exercice de la collégialité.

Par cette réforme, les nonces apostoliques pourront encore mieux connaître les Eglises particulières; ce sont finalement eux qui recherchent aussi les futurs évêques. 

Vatican - le 29/01/2015 à 15:10:00 Agence I.Media

La remise du pallium aux archevêques ne sera plus publiquement effectuée par le pape.

Le pape François a décidé de mettre fin à une tradition : la remise publique du pallium aux archevêques métropolitains ne sera plus effectuée par le pontife lors de la fête solennelle des saints Pierre et Paul au Vatican, le 29 juin de chaque année, mais par les nonces. C’est ce que le maître des célébrations liturgiques pontificales a récemment indiqué dans un courrier adressé aux nonces apostoliques concernés. Le 29 janvier 2015, Mgr Guido Marini a précisé sur Radio Vatican le sens de cette décision. 


A compter du 29 juin prochain, les nouveaux archevêques métropolitains nommés dans les 12 mois précédents recevront donc le pallium dans leur propre diocèse, des mains du nonce apostolique. Les évêques des diocèses suffragants, c’est-à-dire dépendant symboliquement de l’archevêché métropolitain, seront invités à participer à la cérémonie. Jusqu’alors, une tradition bien ancrée voulait que le pape, lors d’une messe célébrée à Rome au jour de la fête des saints Pierre et Paul, remette publiquement aux nouveaux archevêques territoriaux la petite écharpe de laine qui symbolise leur attachement particulier au pontife.

Ce choix du pape François, a indiqué Mgr Guido Marini dans une lettre datée du 12 janvier, entend participer au “chemin vers la synodalité dans l’Eglise“ que le pontife juge “urgente et précieuse“. Le pape maintiendra la célébration du 29 juin pour bénir les palliums. Les nouveaux archevêques pourront alors recevoir le pallium des mains du pape, mais en privé, au terme de la célébration.

Sur Radio Vatican, le maître des célébrations liturgiques pontificales a précisé le 29 janvier le sens de la “petite modification“ apportée au rite traditionnel d’imposition du pallium. Il s’agit, a expliqué Mgr Guido Marini, “de mettre plus en évidence la relation des archevêques métropolites avec leur Eglise locale et de donner donc la possibilité à plus de fidèles d’être présents lors de ce rite“, ainsi qu’aux évêques des diocèses suffragants. En maintenant la célébration du 29 juin à Rome pour la bénédiction des palliums, a-t-il conclu, ce choix “enrichit“ la relation de communion entre le pape et les nouveaux archevêques. 

Les premières traces du pallium remontent au Liber pontificalis qui relève que Marc (336), le 34e pape, remit le pallium à l’évêque suburbicaire d’Ostie. A partir du 6e siècle, le pallium fut plus largement concédé par le pape aux évêques à travers le monde. 

Ornement liturgique d’honneur et de juridiction, le pallium est une sorte d’écharpe blanche sur laquelle sont habituellement brodées six croix de soie noire, qui symbolisent les plaies du Christ. Cet insigne épiscopal symbolise le pouvoir pontifical et exprime l’union étroite des archevêques métropolites avec le souverain pontife, il symbolise leur juridiction sur les diocèses attachés à leur province apostolique, mais aussi la sollicitude pastorale du “bon pasteur“ qui porte les brebis sur ses épaules. AMI

 


© 2015 I.MEDIA

Dix prêtres pédophiles en Espagne. Le Pape François à une victime: va trouver l'évêque

Dix prêtres pédophiles en Espagne. Le conseil du Pape François à une victime: va trouver l'évêque

child-334309__180.jpgDix prêtres et deux laïcs ont été mis en examen en Espagne pour leur implication dans une affaire de pédophilie dont le Pape François s'était personnellement occupé après avoir été alerté par une victime présumée. 

Lien

N.B.  - La tolérance zéro fut en grande partie initiée par le Pape Benoît XVI. - Cet exemple démontre que le Pape n'est pas responsable de tous les scandales, car un diocèse est d'abord gouverné par un évêque. 

 

mercredi, 28 janvier 2015

Le Pape François et les lapins ? expression sorti du contexte !

wild-rabbit-378512__180.jpg

Saint Jean-Paul II

"La pensée catholique est souvent mal comprise, comme si l'Eglise soutenait une idéologie de la fécondité à outrance, poussant les conjoints à procréer sans aucun discernement"

Angélus 17 juillet 1994

François et les lapins ? Le Pape surpris et contrarié. Mgr Becciu explique 

source: Aleteia

Le Pape est surpris et contrarié par la tournure prise par ses déclarations au cours du vol de retour de son voyage au Sri Lanka et aux Philippines.

ce qu'a dit le Pape

Ce qui ressort des déclarations du substitut de la Secrétairerie d'État, S.Exc Mgr Angelo Becciu, au journal italien Avvenire. Il se trouve que Mgr Becciu assistait à la conférence de presse du Pape tenue lundi 19 janvier dans le vol retour de Manille à Rome.

Les lapins et le Pape François: le contexte d'Humanae Vitae

Le prélat s'est dit quelque peu surpris du fait que les paroles du Pape, volontairement simples, n'aient pas été entièrement replacées dans leur contexte, en référence à une citation de l'encyclique Humanæ Vitæ sur la paternité responsable.

« La phrase du Pape s'entend dans le sens que l'acte procréateur de l'homme ne peut suivre la logique de l'instinct des animaux, mais doit provenir d'un acte responsable qui a sa racine dans l'amour et le don réciproque de soi », affirme le substitut de la Secrétairerie d'État, qui dément que le Pape ait parlé de trois enfants par famille comme étant le bon nombre. « Pas du tout ! », s'exclame Mgr Becciu qui souligne qu’« en aucune façon le Pape a voulu indiquer le nombre de trois enfants par famille comme le "bon nombre " pour tous les mariages.

L'image des lapins ? un appel à la paternité et maternité responsables

Chaque couple catholique, à la lumière de la grâce, est appelé à discerner, en fonction d'une série de circonstances humaines et divines, quel est le nombre d'enfants qu'il devrait avoir ».

« Le Pape est réellement contrarié que ses propos aient provoqué une telle confusion », affirme-t-il dans une interview : « Il ne voulait en aucune manière sous-estimer la beauté et la valeur des familles nombreuses ». Le prélat souligne qu'à l’audience générale suivante, le Saint-Père avait affirmé que « la vie est toujours un bien et qu'avoir autant d'enfants est un don de Dieu pour lequel il faut Lui rendre grâce ».

Et Mgr Becciu de souligner également l'admiration du pape François pour Paul VI : « Il a été celui qui l'a béatifié et aux Philippines, voici quelques jours, admirant une nation aussi jeune, il a tenu à souligner que la position adoptée en 1968 par Paul VI a été prophétique », conclut le prélat.

Le Pape François a reçu une personne transsexuelle

vatican-594612__180.jpgUne personne transsexuelle reçue par le Pape François

Samedi dernier, le 24 janvier, en fin d'après midi, dans sa résidence de Sainte Marthe, un couple espagnol, dont l'un est transsexuel, a rencontré le Pape.

Il s'agit de Diego Neria Lejárraga. Il a 48 ans. Aujourd'hui «homme» après avoir subi une opération, il est né de sexe féminin mais ne s'est «jamais senti» tel.

Il l'explique dans le journal HOY qui a révélé l'information: «Ma prison était mon propre corps, témoigne-t-il, car il ne correspondait pas du tout avec ce que mon âme sentait».

Liens: Le Figaro - Euronews

Le Pape François a reçu une personne transsexuelle

La première raison: Dieu compte jusqu'à un et aime chaque personne. Un prêtre, un catholique, ne sauraient refuser une rencontre. Raison pour laquelle j'ai parlé de personne, et pas de transsexuel. 

La seconde raison: il existe une maladie due à une malformation corporelle dans le développement de l'enfant dans le sein de sa mère. L'identité est masculine mais le corps aura les attributs sexuels féminins, ceux qui sont visibles à la naissance pour reconnaître l'identité féminine de l'enfant. 

mardi, 27 janvier 2015

Shoah: Pie XII a fait tout ce qu'il a pu

images.jpeg‘Quand le martyre le plus épouvantable a frappé notre peuple, durant les dix années de terreur du nazisme, la voix du Souverain Pontife s'est élevée en faveur des victimes', concluant avec émotion : ‘Nous pleurons la perte d'un grand serviteur de la paix'.

Golda Meir, Ministre des Affaires Extérieures d'Israël

Lien : Golda Meir et le Rabbin Eugenio Zolli

Le grand Rabbin de Rome, Israel Anton Zoller ( 1881- 2 mars 1956 ) s'est converti au catholicisme après la seconde guerre mondiale.

Un Juif italien, qui s'est converti au catholicime en 1945. Il ne l'a pas fait avant pour rester solidaire avec le drame de ses coréligionaires. 

A cause de l'attitude de l'Eglise envers les juifs et en l'honneur du Pape Pie XII ( Eugenio Pacelli ), il prit pour nom de baptême Eugène Pie.

Pie XII: la propagande communiste et la pièce de théâtre Le Vicaire

auschwitz-485689__180.jpgAprès la guerre, tous les juifs qui avaient vécu de près les événements célébraient avec admiration la politique d’action secrète du Pape en faveur des juifs. Mais en 1963 la pièce de théâtre Le Vicaire, écrite par deux communistes avec l’aide et des documents du KGB pour nuire à l’Église, fait naître une légende sur Pie XII, dépeint comme indifférent voire hostile à la cause des juifs.

Cette action du KGB était due au fait que Pie XII était aussi un Pape anticommuniste. À compter de cette date, les pseudo-scandales se succèdent : l'ouvrage de John Cornwell, le film Amen de Costa-Gavras, la plaque contre Pie XII à Yad Vashem, etc. Les manipulations ont beau être dénoncées par des historiens sérieux, elles restent malheureusement inconnues du grand public...

suite Aleteia

Auschwitz: le tweet du Pape François

45 000 marcheurs pour la Vie

B8NZNlGIgAIUcK3.jpg-large.jpegAprès 40 000 l'an passé, ils étaient donc 45 000 marcheurs cette année, présents dans les rues de Paris pour dire oui à la vie, soit « non » à l’avortement, à l’euthanasie, et à la culture de mort. Avec le soutien du Pape François, et en communion avec les USA (Marche pour la Vie à Washington). 

suite Aleteia - News.va