dimanche, 05 avril 2015
Massacre au Kenya: 147 morts, pas qu'un nombre mais des personnes avec des noms
#147notjustanumber #TheyHaveNames #GarissaAttack
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Pâques, Kenya: la douleur du Pape François face à l'indifférence, face à la persécution des chrétiens, face au terrorisme.
.... Qu’une prière incessante monte de tous les hommes de bonne volonté pour ceux qui ont perdu la vie - je pense en particulier aux jeunes qui ont été tués jeudi dernier à l’Université de Garissa, au Kenya -, pour tous ceux qui ont été enlevés, pour qui a dû abandonner sa maison et ses affections proches.
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Pâques, urbi et orbi du Pape François: un message de douleur
La bénédiction urbi et orbi confère l'indulgence plénière
Les chrétiens persécutés, le Moyen-Orient, l’Iran et l’Afrique au cœur du message pascal du pape François
Celui croit en Dieu “n’a pas besoin d’user de violence“ a soutenu le pape François dans son message de Pâques, le 5 avril 2015 au Vatican, évoquant notamment les “souffrances“ des chrétiens persécutés par les groupes djihadistes. Après avoir célébré la messe sous une pluie diluvienne et avant de prononcer sa bénédiction Urbi et Orbi, place Saint-Pierre, le chef de l’Eglise catholique a invoqué la paix en Syrie et en Irak, au Nigeria, au Yémen ou encore en Ukraine. Il a également salué l’accord-cadre sur le nucléaire iranien trouvé trois jours plus tôt entre Téhéran et les grandes puissances.

Dans son traditionnel message de Pâques, alors que la pluie avait enfin cessé, le pape François a dénoncé devant quelque 50 000 fidèles la “compétition“ du monde et “l’orgueil qui alimente la violence et les guerres“, mettant au contraire en avant “l’humilité“, le “service“, le “pardon“ et la “paix“.
“Celui qui porte en soi la force de Dieu, son amour et sa justice, n’a pas besoin d’user de violence, mais il parle et agit avec la force de la vérité, de la beauté et de l’amour“, a ensuite soutenu le pape, alors que de nombreux chrétiens et d’autres minorités religieuses sont la cible de groupes extrémistes musulmans au Moyen-Orient comme en Afrique. Après avoir évoqué “les souffrances de tant de nos frères persécutés“, le pape a notamment mentionné l’attaque meurtrière perpétrée trois jours plus tôt par des islamistes somaliens au Kenya, à l’université de Garissa.
Depuis la loggia de la basilique Saint-Pierre, le pape François a souhaité “que cesse le fracas des armes“ en Syrie et en Irak, et appelé de ses vœux une reprise du processus de paix entre Israéliens et Palestiniens. Dans ce dramatique inventaire, il a également souhaité “que s’arrête l’absurde effusion de sang“ en Libye et que vienne la paix au Yémen. Il a par ailleurs salué l’accord sur le nucléaire iranien négocié à Lausanne (Suisse) le 2 avril, souhaitant qu’il soit “un pas définitif vers un monde plus sûr et fraternel“.
Avant de dénoncer “l’esclavage“, mais aussi les méfaits des “trafiquants de drogue“ ou encore des “trafiquants d’armes qui gagnent (de l'argent, ndlr) avec le sang des hommes et des femmes“, le pontife a souhaité que l’Ukraine “puisse retrouver la paix“.
A l’issue de ce message, le pape de 78 ans a brièvement prononcé la traditionnelle bénédiction Urbi et Orbi, à la ville de Rome et au monde, les épaules recouvertes d’une étole dorée. Deux heures plus tôt, devant des dizaines de milliers de fidèles, il avait célébré la messe de Pâques. Au terme de la messe, et avant de rejoindre la loggia de la basilique vaticane, le pape avait fait un tour de la place en papamobile.
AMI
Voici un large extrait du message de Pâques du pape François :
Le monde propose de s’imposer à n’importe quel coût, d’entrer en compétition, de se faire valoir… Mais les chrétiens, par la grâce du Christ mort et ressuscité, sont les germes d’une autre humanité, dans laquelle nous cherchons à vivre au service les uns des autres, à ne pas être arrogants mais disponibles et respectueux.
Cela n’est pas faiblesse, mais force véritable ! Celui qui porte en soi la force de Dieu, son amour et sa justice, n’a pas besoin d’user de violence, mais il parle et agit avec la force de la vérité, de la beauté et de l’amour.
Implorons du Seigneur ressuscité, la grâce de ne pas céder à l’orgueil qui alimente la violence et les guerres, mais d’avoir l’humble courage du pardon et de la paix. A Jésus victorieux demandons d’alléger les souffrances de tant de nos frères persécutés à cause de son nom, comme aussi de tous ceux qui pâtissent injustement des conséquences des conflits et des violences actuelles.
Demandons la paix, surtout pour la Syrie et l’Irak, pour que cesse le fracas des armes et que se rétablisse la bonne cohabitation entre les différents groupes qui composent ces pays bien-aimés. Que la communauté internationale ne reste pas inerte face à l’immense tragédie humanitaire dans ces pays, et au drame des nombreux réfugiés.
Implorons la paix pour tous les habitants de la Terre Sainte. Que puisse croître entre Israéliens et Palestiniens la culture de la rencontre, et reprendre le processus de paix pour mettre ainsi fin à des années de souffrances et de divisions.
Demandons la paix pour la Libye, afin que s’arrête l’absurde effusion de sang en cours, et toute violence barbare, et que tous ceux qui ont à cœur le destin du pays, mettent tout en œuvre pour favoriser la réconciliation et pour édifier une société fraternelle qui respecte la dignité de la personne. Au Yémen également, nous espérons que prévale une volonté commune de pacification, pour le bien de toute la population.
En même temps, avec espérance, confions au Seigneur miséricordieux l’entente obtenue à Lausanne ces jours derniers, afin qu’elle soit un pas définitif vers un monde plus sûr et fraternel.
Implorons du Seigneur ressuscité le don de la paix pour le Nigeria, pour le Sud-Soudan et pour différentes régions du Soudan et de la République Démocratique du Congo. Qu’une prière incessante monte de tous les hommes de bonne volonté pour ceux qui ont perdu la vie - je pense en particulier aux jeunes qui ont été tués jeudi dernier à l’Université de Garissa, au Kenya -, pour tous ceux qui ont été enlevés, pour qui a dû abandonner sa maison et ses affections proches.
Que la Résurrection du Seigneur apporte de la lumière à l’Ukraine bien-aimée, surtout à tous ceux qui ont subi les violences du conflit des derniers mois. Que le pays puisse retrouver paix et espérance grâce à l’engagement de toutes les parties intéressées.
I.MEDIA
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Les clochards du Pape François
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samedi, 04 avril 2015
Manuel Valls soutient sans hésitation les Chrétiens d'Orient victimes de la barbarie
Aucune hésitation ! Il faut dire son soutien total aux Chrétiens d'Orient victimes de la barbarie. #ChretiensdOrient
— Manuel Valls (@manuelvalls) 4 Avril 2015
Vendredi Saint: le Père Cantalamessa relève l'indifférence
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Vendredi et Samedi Saint: l'évêque, Epoux de l'Eglise, sans l'anneau épiscopal
Vendredi et Samedi Saint: l'évêque, Epoux de l'Eglise, sans l'anneau épiscopal
Saint Pie X, heureux d'être évêque, montra son anneau porté à la main droite à sa maman: "Maman, tu as vu !". Sa mère lui répondit: "mon fils, tu n'aurais pas cet anneau épiscopal si je n'avais pas eu d'abord la fine alliance du mariage".
L'Amour se cache dans les petits gestes
L'anneau épiscopal, porté à l'annulaire droite par l'évêque, est le signe de son mariage avec l'Eglise, une Epouse toujours belle, pure et jeune comme le proclame la Préface du Missel du sacrement du mariage.
Tout comme une épouse qui perd son mari, reçoit sa bague de mariage, le Vendredi saint et le Samedi Saint, la liturgie prescrit d'enlever cette alliance, en signe de deuil.
Lors de la Vigile Pascale du Samedi Saint, pour signifier la Résurrection du Christ, le Pasteur remet son anneau.
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L'inquiétante indifférence du monde face à la persécution des chrétiens
Le prédicateur pontifical déplore “l’inquiétante indifférence“ du monde face à la persécution des chrétiens
Devant le pape François, le prédicateur de la Maison pontificale a déploré “l’inquiétante indifférence des institutions mondiales et de l’opinion publique“ devant la persécution des chrétiens, le 3 avril 2015 en fin d’après-midi. Lors de l’office de la Passion dans la basilique Saint-Pierre, à l’occasion du Vendredi saint, le père Raniero Cantalamessa a mis en garde ceux qui courent le risque d’être “des ‘Pilate’ qui se lavent les mains“, évoquant l’attaque qui avait coûté la vie à de nombreux chrétiens au Kenya, la veille, et l’assassinat de 21 coptes égyptiens en Libye en février dernier.

“Les vrais martyrs du Christ ne meurent pas les poings fermés mais les mains jointes“. Mentionnant explicitement dans son homélie les 21 coptes égyptiens morts assassinés en février dernier en Libye, en “murmurant“ le nom de Jésus, et “tant d’autres exemples récents“ de persécutions, le capucin italien a mis en avant ceux qui subissent des “tortures décidées de sang froid et infligées volontairement, en ce moment-même“. “Combien de prisonniers se trouvent dans les mêmes conditions que Jésus (lors de sa Passion, ndlr)“, a-t-il ainsi déploré : “seuls, menottés, torturés, à la merci de militaires grossiers et pleins de haine qui s’abandonnent à toute sorte de cruauté physique et psychologique“.
Des ‘Pilate’ qui se lavent les mains
“La fête de Pâques de cette année 2015 sera ainsi pour de nombreux chrétiens“, a déploré le père Cantalamessa, relatant l’attitude des “martyrs parfaits“ décrits par un évêque du 3e siècle au moment des persécutions sous l’empire romain, qui célébraient la Pâques où ils pouvaient, que ce soit en “prison“ ou dans un “désert“.
Si le prédicateur de la Maison pontificale a précisé que les chrétiens n’étaient pas les seuls à subir “la violence homicide qu’il y a dans le monde“, il a soutenu que l’on ne pouvait “ignorer“ qu’ils étaient néanmoins “les victimes désignées les plus fréquentes dans beaucoup de pays“. Il a alors fait référence au massacre intervenu la veille dans une université au Kenya où les terroristes somaliens liés à Al-Qaïda avaient visiblement ciblé les non-musulmans. Prenant l’exemple de Ponce Pilate dans le récit de la Passion du Christ, le père Cantalamessa a alors lancé : “nous risquons tous - institutions et personnes du monde occidental - d’être des ‘Pilate’ qui se lavent les mains“.
Le capucin italien a alors salué le “courage“ du journaliste et historien italien Ernesto Galli della Loggia qui avait dénoncé “l’inquiétante indifférence des institutions mondiales et de l’opinion publique“ face aux persécutions de chrétiens, en juillet 2014, dans les colonnes du Corriere della Sera.
La violence qui “scandalise“
“Le problème de la violence (…) nous scandalise, a aussi soutenu le prédicateur pontifical, d’autant plus aujourd’hui où elle invente de nouvelles formes épouvantables de cruauté et de barbarie“. Le père Raniero Cantalamessa a par ailleurs assuré que Jésus, sur la croix, avait dit un “’Non !’ définitif à la violence“, lui opposant “le pardon, la douceur et l’amour“. Soulignant la “générosité infinie“ du Christ, il a encore précisé que Jésus n’avait pas vaincu la violence “par une plus grande violence“, mais justement “en la subissant et en mettant à nu toute son injustice et son inutilité“.
A la fin de son homélie, dans laquelle il a cité plusieurs auteurs, comme Friedrich Nietzsche (1844-1900) ou Blaise Pascal (1623-1662), le père Cantalamessa a invité à prier pour tous les “chrétiens et non chrétiens“ persécutés et demandé à Dieu d’inspirer aux “hommes et aux femmes de notre temps“ la “miséricorde“ et le “pardon“. Il a également fait mention du Jubilé de la miséricorde qui s’ouvrira en décembre prochain.
Au début de la célébration, le pape François s’était étendu sur le sol de la basilique, devant l’autel majeur, pendant que l’assemblée priait en silence. Après l’homélie du père Cantalamessa, le pontife a présidé le rite de vénération de la croix du Christ. Il a quitté les insignes de son pontificat - sa calotte blanche et sa chasuble -, avant d’embrasser les pieds du Christ crucifié, suivi par de nombreux cardinaux, évêques, prêtres, religieux et par quelques laïcs. LF/AMI
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vendredi, 03 avril 2015
Pape François: le Chemin de Croix des chrétiens persécutés
A 17h Office de la #Passion et à 21:15 Chemin de Croix au Colisée @KTOTV : #VendrediSaint avec @Pontifex en direct de Rome.
— P de Saint Pierre ن (@pdesaintpierre) 3 Avril 2015

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Jeudi Saint en 2 photos
Pape François: Le lavement des pieds de détenus à Rebbibia, Rome
Le Reposoir: le très Saint Sacrement, trésor de l'Eglise car Jésus en personne est présent, quitte le Tabernacle pour une petite chapelle, Gethsémani !
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Le Pape aux détenus: Dieu nous aime, mais sans limite
(RV) L’Église est en chemin vers Pâques. À Rome, comme dans le reste du monde, les chrétiens se préparent à commémorer la mort et la résurrection du Christ. En ce Jeudi saint, le Triduum Pascal s’est ouvert. La messe de la Cène du Seigneur, présidée par le Pape François, a été célébrée dans la prison romaine de Rebbibia, dans l’Est de la capitale italienne.
Avant d’entrer dans la chapelle du pénitencier, le Souverain Pontife, accompagné par le vicaire de Rome, le cardinal Agostino Vallini, et par l’aumônier de la prison, le père Sandro Spriano, a longuement salué les membres du personnel du centre de détention et les détenus. Beaucoup l’ont embrassé, visiblement émus de le rencontrer.
Les prisonniers ont offert au Pape plusieurs cadeaux : un livre sur le Chemin de Croix, un crucifix, une icône en papier et un maillot flanqué d’un dessin représentant les barreaux d’une prison. Ils étaient ensuite 300 à assister à la messe in Coena Domini : 150 femmes, dont 15 mères avec leurs enfants, détenues dans la prison voisine, et 150 hommes. À l’extérieur de l’église se trouvaient plus de 300 autres prisonniers, le personnel pénitentiaire et administratif et des bénévoles, accompagnés des membres de leur famille. Des écrans géants avaient été installés à l’intérieur du pénitencier.
« Jésus nous aime, mais sans limite »
Dans son homélie, François s’est concentré sur une phrase, « centrale » selon lui, de l'Évangile du jour : « Jésus, ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, les aima jusqu’au bout » (Jn 13, 1-15). « Jésus nous aime, mais sans limite, toujours, jusqu’à la fin, explique le Pape. Son amour pour nous n’a pas de limites. Il ne se fatigue pas d’aimer. Il nous aime tous, au point de donner Sa vie pour chacun d’entre nous. Son amour est ainsi, il est personnel. Son amour ne déçoit jamais, car Il ne se fatigue pas d’aimer, comme Il ne se fatigue pas de pardonner, de nous embrasser. »
Le Souverain Pontife explique ensuite ce geste « que les disciples ne comprenaient pas ». Laver les pieds, « c’était une habitude à cette époque, car quand les gens arrivaient dans une maison, elles avaient les pieds sales à cause de la poussière. Il n’y avait pas de pavés ! » plaisante alors François. Mais d'ajouter : « ce n’était pas le maître de maison qui s’en chargeait, mais les esclaves. L’amour de Jésus est tel qu’il s’est fait esclave pour nous servir, pour nous guérir, pour nous nettoyer. » Un geste, précise le Saint-Père, que les disciples seraient amener à ne comprendre que plus tard.
« Il faut avoir la certitude que quand le Seigneur nous lave les pieds, Il nous purifie, poursuit François. Il nous fait sentir une nouvelle fois Son amour. » Puis s’adressant aux douze détenus à qui il lavera ensuite les pieds, il explique s’adresser à toutes les personnes présentes. Ajoutant qu’il a lui aussi besoin d’être laver par le Seigneur. « C’est pour cela que vous priez pendant cette messe, pour que je devienne plus esclave que vous, plus esclave dans le service envers les personnes, comme l’a été Jésus ».
Le Saint-Père a ainsi lavé les pieds de six prisonnières – deux Nigérianes, une Congolaise, une Équatorienne et deux Italiennes – et de six prisonniers, dont un Brésilien et un Nigérian.
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KTO: le Cardinal Müller, successeur de Ratzinger à la congrégation de la foi
Le Cardinal Müller, successeur de Ratzinger, à KTO
Entretien exclusif sur KTO avec le cardinal Gerhard Ludwig Müller, gardien de la doctrine à Rome. Cet homme, plutôt réservé, laisse transparaître sa personnalité. Brillant professeur en théologie dogmatique, il fut également évêque de Ratisbonne en Allemagne, pendant une dizaine d'année, jusqu'en 2012.
C'est Benoît XVI qui l'a appelé au Vatican, comme préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi. Le pape François l'a confirmé à ce poste et créé cardinal. Ses recherches théologiques et ses convictions l'ont conduit à être tout à la fois curateur de l'oeuvre complète de Benoît XVI, mais aussi ami du théologien de la libération Gustavo Gutiérrez.
Dans son dernier ouvrage Pauvre pour les pauvres (Parole et Silence), il revient sur son expérience très concrète de l'Église dans les slums de Lima au Pérou. À Rome, le cardinal Müller se trouve au coeur des débats théologiques actuels.
Entretien du 02/04/2015.
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jeudi, 02 avril 2015
Entente à Lausanne sur le nucléaire iranien ?
Accord à Lausanne sur le nucléaire iranien ?
Pour une massive destruction de toutes les armes nucléaires
L'homme peut détruire la planète et tuer tant d'hommes et des femmes innocents.
Je crois que la solution réside dans la massive destruction, donc totale de toutes les armes nucléaires !
21:58 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | Facebook
Attraction Studio pour le Jeudi Saint: 3 mauvaises raisons de ne pas aller à la Messe
Merci de nous laisser vos suggestions, vos questions qui vous tiennent à coeur, vos doutes ...
Belle montée vers Pâques
12:00 | Lien permanent | Commentaires (0) | | | Facebook
mercredi, 01 avril 2015
RTS Infrarouge: pour moi, l'homophobie est un péché, c'est moche !
RTS Infrarouge: pour moi, l'homophobie est un péché, c'est moche !
"Pour moi l'homophobie est un péché." @LeSuisse_Romain #RTSInfrarouge
— RTS Infrarouge (@RTSinfrarouge) 31 Mars 2015
Yannick Buttet, conseiller national PDC / VS
Mathias Reynard, conseiller national PS / VS
Dominique Rimaz, abbé, blogueur, auxiliaire paroisse St-Paul (FR)
Mehdi Kuenzle, coprésident Pink Cross
Lionel Avanthay, membre Les Veilleurs suisses
Marta Roca Escoda, sociologue, maître d'enseignement et de recherche en études genre, Uni Lausanne
Delphine Schuerch, témoin
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lundi, 30 mars 2015
RTS Infrarouge: homos, hétéros, tous égaux face au mariage ? le mariage pour tous en Suisse
Je serai comme invité au débat d´Infrarouge
Les homosexuels pourront-ils bientôt se marier en Suisse ? Le Conseil fédéral l'envisage et ce serait même la voie la plus simple, dit son rapport sur la modernisation de la famille, présenté la semaine dernière. C'est un sacré pavé jeté dans la mare après la bénédiction d'un couple de femmes par un prêtre alémanique au début de l'année.
Le mariage doit-il unir un homme et une femme ou les couples de même sexe doivent-ils aussi y avoir accès? Les couples homosexuels doivent-ils aussi pouvoir adopter comme cela se fait dans d'autres pays européens? Ne faut-il pas en finir avec l'hypocrisie qui pousse des couples homos à aller procréer à l'étranger? Est-ce la fin de la famille traditionnelle ou un pas vers plus de modernité? Débat et témoignages cette semaine dans Infrarouge.
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Bonne Semaine Sainte
Entrée de Jésus à Jérusalem, Giotto
Messe des Rameaux, Pape François
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