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Rechercher : François divorcés remariés

Le Pape François est le Pape de tous

Message du Pape pour les 25 ans de la Fraternité Saint Pierre, pleinement dans l'Eglise. 

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Le Cardinal Hoyos affirme que le Pape François n'a pas de problème avec le Motu Proprio de Benoît XVI, avec la forme extraordinaire de l'unique rite romain. 

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Il est vrai que notre Pape n'est pas "un grand liturgiste" et que la transition avec Benoît XVI - la célébration de la foi était une de ses priorités - fut peut-être assez subite. La liturgie est toutefois la Vie du Christ et pas qu'une forme purement extérieur. En ce sens, la piété du Saint-Père est remarquable, un grand priant, un homme qui vit la Messe avec grande profondeur et intensité. 

Le Pape n'est "que le vicaire du Christ", pas le tout de l'Eglise, et ne peut pas avoir toutes les qualités. Chaque Pape a son propre style, ses points forts et ses points plus faibles. Le Pape n'est pas une idole, et l'Eglise est centrée sur le Christ. Le Pape François est l'homme juste, à la juste place, un Pape providentiel. 

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jeudi, 14 novembre 2013 | Lien permanent

Le Pape François menacé par la mafia ?

Vatican - le 14/11/2013 à 10:54:00 Agence I.Media

Mafia : Le Saint-Siège n’est pas inquiet pour le pape François.

Les bruits selon lesquels le pape François serait menacé par la mafia calabraise (Sud de l’Italie) “sont privés de tout fondement“, a commenté le directeur du Bureau de presse Saint-Siège le 14 novembre 2013, suite à la publication en Italie d’un livre-choc consacré aux relations ambiguës entre la mafia et l’Eglise. “Le Saint-Siège n’est absolument pas inquiet“, a ajouté le père Federico Lombardi, interpellé par I.MEDIA sur ce sujet dont la presse italienne s’est emparée avec frénésie.

“Ce sont les inventions habituelles“, a ainsi commenté le père Lombardi. “Il s’agit d’un discours que l’auteur a tenu de façon générale lors de la présentation de son livre“, a expliqué le ‘porte-parole’ du Saint-Siège, “il n’y a absolument aucune référence concrète et précise, ces propos sont privés de tout fondement“. “Le Saint-Siège n’est absolument pas inquiet, il n’y a aucun alarmisme“, a ajouté le père jésuite.

Dans une interview publiée par le quotidien italien Il Fatto quotidiano le 13 novembre, le procureur adjoint de la ville de Reggio de Calabre (Italie), Nicola Gratteri, affirme que le nettoyage dans les finances du Vatican voulu par le pape François inquiète la mafia. Selon ce magistrat anti-mafia, “tous ceux qui se nourrissent du pouvoir et de la richesse qui proviennent directement de l’Eglise sont nerveux, agités. Le pape est en train de démanteler les centres de pouvoir économique du Vatican. Si les boss (de la mafia, ndlr) pouvaient lui faire un croche-patte, ils n’hésiteraient pas“.

“Je ne sais pas si le crime organisé a la capacité de faire quelque chose, mais ils y réfléchissent certainement, poursuit-il, cela peut être dangereux“. Ces déclarations, recueillies peu après la présentation de son nouvel ouvrage consacré aux relations ambiguës entre la mafia et l’Eglise en Italie, ont rapidement été reprises par la presse italienne et internationale.

CP/MM

© 2013 I.MEDIA

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jeudi, 14 novembre 2013 | Lien permanent

Les petites phrases du Pape François

florilege du pape francois_0.jpgLe Pape François connaît parfaitement la communication. Il est d'ailleurs considéré comme un grand communicateur. Ses petites phrases brèves, incisives, concrètes et imagées entrent parfaitement dans la culture de la communication.

40 phrases 

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mardi, 05 novembre 2013 | Lien permanent

François: Le Pape du tweet

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Le Pape bat Obama

Les tweets du Pape François sont en moyenne retwettés 10 000 fois, soit 4 x plus que le Président Obama.

Ce dernier était le grand innovateur de la communication en utilisant les réseaux sociaux. 

Pierre Durieux signale qu'Obama a 4x plus d'abonnés (40 millions de followers), aussi le Pape (presque 10 millions) est théoriquement 16 x plus relayé. 

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mercredi, 13 novembre 2013 | Lien permanent

Le Pape François parle du démon

images-1.jpegPour suivre Jésus, pas de demi-mesure
Un combat contre le démon

Anne Kurian

ROME, 11 octobre 2013 (Zenit.org) - Pour suivre Jésus, pas de demi-mesure, déclare le pape François qui invite à ce « ne pas être naïfs » mais « vigilants » car le démon existe.

Lors de la messe de ce 11 octobre 2013, en la chapelle de la Maison Sainte-Marthe du Vatican, le pape a commenté l’évangile où Jésus chasse les démons (Lc 11,15-26) : « certains commencent à donner des explications pour diminuer la force du Seigneur », « ne pas le prendre au sérieux », comme s’il était « seulement un guérisseur ».

Pas de naïveté

Une attitude que le pape constate aussi actuellement : « certains prêtres disent, en lisant ce passage de l’Evangile : ‘Jésus a guéri une personne d’une maladie psychique’. Il est vrai qu’à cette époque on pouvait confondre une épilepsie avec la possession du démon; mais il est aussi vrai qu’il y avait le démon ! »

Le croyant « n’a pas le droit de simplifier, en disant : ‘Ce n’étaient pas des possédés; c’étaient des malades psychiques’. Non ! La présence du démon est dans la première page de la Bible et la Bible finit aussi avec la présence du démon, avec la victoire de Dieu sur le démon ».

Il s’agit donc de « ne pas être naïfs », a insisté le pape, formulant des objections : « ‘Mais, Père, vous êtes un peu dépassé ! Vous nous effrayez avec toutes ces choses…’. Non, ce n’est pas moi ! C’est l’Evangile ! Et ce ne sont pas des mensonges : c’est la Parole du Seigneur ! »

D’où l’invitation à « prendre ces choses au sérieux » car le Christ « est venu lutter pour le salut » des hommes et « Il a vaincu le démon ». Il donne trois critères pour « discerner » et choisir « la route chrétienne quand il y a des tentations ».

Veiller sur son coeur

Premier critère : la « lutte ». Jésus est venu « donner la libération » de « l’esclavage du diable sur [l’homme] ». « On ne peut pas dire que l’on exagère… Il y a une lutte où se joue le salut, le salut éternel ».

Deuxième critère: « Qui n’est pas avec Jésus est contre Jésus. Il n’y a pas d’attitude à moitié » et il « n’y a pas non plus de nuances ». « Sois tu es avec moi, sois tu es contre moi ».

Troisième critère : la « vigilance » car « le démon est rusé, il n’est jamais chassé pour toujours mais le sera [seulement] au dernier jour ». Le pape a encouragé à « toujours surveiller, veiller contre la ruse, contre la séduction du malin ».

Un examen de conscience peut y aider : « Est-ce que je veille sur moi, sur mon cœur, sur mes sentiments, sur mes pensées ? Est-ce que je protège le travail de la grâce ? Est-ce que je garde la présence de l’Esprit-Saint en moi ? Si tu ne surveilles pas, vient celui qui est plus fort que toi. »

Ne pas relativiser

images.jpegLe pape a commenté aussi le passage suivant : « Quand l'esprit mauvais est sorti d'un homme, il parcourt les terres desséchées en cherchant un lieu de repos. Et comme il n'en trouve pas, il se dit : 'Je vais retourner dans ma maison, d'où je suis sorti. 'En arrivant, il la trouve balayée et bien rangée. Alors, il s'en va, et il prend sept autres esprits encore plus mauvais que lui, ils y entrent, et ils s'y installent. Ainsi, l'état de cet homme est pire à la fin qu'au début. »

Ce passage appelle à « la vigilance » sur le long terme, face à la stratégie du démon qui peut être exprimée ainsi : « Tu t’es fait chrétien, avance dans ta foi, je te laisse tranquille. Mais quand tu t’es habitué, que tu n’es plus si vigilant et que tu te sens sûr de toi, je reviens ».

« L’Evangile d’aujourd’hui commence avec le démon chassé et finit avec le démon qui revient. Saint Pierre le disait : ‘Il est comme un lion féroce, qui va et vient à l’intérieur de nous-mêmes’. C’est ainsi. »

« S’il-vous-plaît, ne faisons pas affaire avec le démon ! Il cherche à revenir dans la maison, à prendre possession de nous… Ne pas relativiser, veiller ! Et toujours avec Jésus ! », a conclu le pape. 

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jeudi, 17 octobre 2013 | Lien permanent | Commentaires (3)

Le Pape François aime les enfants

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samedi, 02 novembre 2013 | Lien permanent

Pape François: la photo du jour

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Lors de la fête des familles, un petit garçon.  Dès le début de son intervention, le petit garçon est allé vers François, puis après avoir reçu une petite caresse affectueuse du Saint-Père, il lui a tourné autour, avant d'aller s'asseoir, à l'insu du Pape. 

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Vidéo Radio Vatican (arrivée du Pape dès 2 heures 18 minutes - avec le petit dès 3 heures 19 minutes 35 secondes et suivantes  - notamment 3 heures 24 minutes)

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lundi, 28 octobre 2013 | Lien permanent

François: le Pape de la confession

Le Pape: "Se confesser, en appelant nos péchés par leur nom"

 

2013-10-25 Radio Vatican

Avoir le courage devant le prêtre qui nous confesse d’appeler nos péchés par leur nom, sans les cacher. L’homélie de ce vendredi matin, lors de la messe célébrée en la chapelle de la Maison Saint Marthe, a été consacrée entièrement par le Pape François au sacrement de réconciliation. Se confesser, a rappelé le Pape, c’est aller à la rencontre de l’amour de Jésus avec la sincérité et la transparence des enfants, en accueillant la grâce sans honte.
« Se confesser face à un prêtre, c’est important parce que se confesser tout seul devant Dieu, c’est comme se confesser par e-mail. Dans ce cas, Dieu est lointain, je dis les choses et il n’y a pas de face à face, les yeux dans les yeux. » Le Pape François, partant des lectures de la liturgie du jour, a voulu parler de la confession, rappelant que « Saint Paul, dans l’épître aux Romains, confesse ses fautes à ses frères face à face ». « Certains chrétiens, a dit encore le Pape, déclarent : « Moi je vais me confesser ». « Mais ils confessent tout un tas de choses abstraites, un peu en l’air, qui ne sont pas concrètes ». « Et alors c’est comme ne pas se confesser, car confesser nos péchés ce n’est pas comme aller chez le psychiatre, ni dans une salle de torture : c’est dire au Seigneur : ‘Seigneur je suis un pécheur, et je suis un pécheur pour telle chose, et telle autre chose ». « La confession des péchés faite avec humilité, a rappelé le Pape, voilà ce que l’Eglise nous demande à tous ». « Et pour se confesser, on va vers notre frère, notre frère prêtre, et on se confesse de manière concrète, comme le faisait Saint Paul ».

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vendredi, 25 octobre 2013 | Lien permanent | Commentaires (3)

Le téléphone pleure.... avec le Pape François

images.jpegC'était la chanson de Claude François: le téléphone pleure, qui semblait vouloir atténuer ou enjoliver la brisure du divorce et de la séparation. 

Ses coups de téléphones, un fil qui lie

Désormais, c'est le Pape François qui fait pleurer. Ses coups de fil tissent des liens humains, car un coup de fil c'est si facile au fond. Il a récemment téléphoné à une femme d'Argentine, victime d'un viol, pour lui dire qu'il est avec elle, qu'elle n'est pas seule.

Selon le Père Abbé de Saint Maurice, le chanoine Roduit (invité du Journal de la RTS), le Pape a même un téléphone dont il tient à donner le numéro, afin que l'on puisse l'atteindre. Il est non seulement sur Twitter, l'un des leaders mondiaux, mais il tisse aussi sa toile par ces liens d'amitiés, qui sont autant de surprises que des coups de vie. 

Un coeur qui aime

Que les admirateurs de Benoît XVI, dont j'ai toujours et continue de faire partie, ne le prennent pas mal: notre Pape est un génie pastoral. L'amour des gens est la clef du ministère des prêtres. Ce qui compte, c'est d'aimer. 

Les reproches qui consistent à l'accuser de faire le curé de monde sont injustifiés. Avec tous les scandales qui ont terni gravement la vocation de prêtre, le Pape redonne confiance: c'est l'image du prêtre, un homme qui donne sa vie pour les autres, afin qu'ils aient la vie de la grâce. Le téléphone rouge reliait Washington à Moscou, désormais il relie Rome aux coeurs. 

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jeudi, 29 août 2013 | Lien permanent | Commentaires (2)

Les pauvres selon le Pape François

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Une Eglise a-politique

L'expression d'"une Eglise pauvre pour les pauvres" a marqué les esprits et la scène médiatique. L'interprétation marxiste l'a récupérée. Qui sont les pauvres de l'Evangile, du Pape ?

"C'est une Eglise qui quitte sa zone de sécurité pour se soucier du besoin des autres. Une Eglise qui se dépouille d'elle-même et partage: non par charité, par assistanat, ni pour renverser un ordre injuste. Mais parce qu'elle reçoit les dons de Dieu, les uns des autres.... Si tous se faisaient pauvres, tous s'enrichiraient". 

Cet extrait tiré du livre d'Evangleina Himitian "François, un Pape surprenant" (Ed. Presses de la Renaissance) décrit fort bien l'axe porteur du pontificat: une Eglise qui s'intéresse aux personnes.

Une Eglise centrée sur La Personne de Jésus et les personnes

Comment vas-tu ? qu'est-ce que tu as sur le coeur ? tes difficultés ? comment vas-tu depuis le décès d'un membre de ta famille ? comment tu manges ? comment tu dors ? la prière ? la confession ? comment vis-tu la foi... l'ordinaire de chaque vie, avec ses joies et ses souffrance. L'Eglise s'intéresse aux personnes, aux âmes, elle n'est pas une ONG qui se soucient surtout de ses biens, de son organisation, de ses pourcentages d'engagements et de sa structure; si ce n'est celle dépouillée et simple que lui donne le droit canon. L'Eglise est un hôpital de campagne qui soigne les blessures, sans avoir en son sein "des clercs d'Etat", des fonctionnaires, des hommes de carrière, mais des Pasteurs d'abord concentrés sur le Confessionnal, la Messe et la prédication. 

Les pauvres selon le Pape:

"Ceux chez qui la pauvreté, quelle que soit la forme qu'elle prenne, se manifeste par une âmes dépouillée, mais aussi par une confiance, un don de soi aux autres et à Dieu. En effet, celui qui est confronté à la perte de ses biens, de sa santé, qui doit faire face à des pertes irréparables, la perte des repères intimes, et qui, dans cette pauvreté, accepte de faire l'expérience de de qui est sage, lumineux, de l'amour gratuit, solidaire, désintéressé des autres, en sait un peu, ou beaucoup, sur la Bonne Nouvelle" a un jour affirmé Bergoglio. C'était lors du Te Deum à la cathédrale de Buenos Aires qui a tellement irrité le Président Néstor Kirchner. 

*"François, un Pape surprenant" pp 133-134. 

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jeudi, 21 novembre 2013 | Lien permanent

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