vendredi, 24 mars 2017
Cashinvestigation répond à Vincent Neymon
Cashinvestigation répond à Vincent Neymon
« Nous découvrons avec surprise les déclarations de Vincent Neymon, porte-parole adjoint et directeur de la communication de la Conférence des évêques de France dans les colonnes de La Croix.
M. Neymon déclare : "Nous avons eu des échanges avec Élise Lucet et son équipe dès le mois d’octobre 2016, quelques semaines avant l’Assemblée plénière des évêques de novembre à Lourdes. Ils ont menacé de venir sous le nom d’un autre média si nous refusions de les accréditer, ce que nous avons perçu comme une sorte de chantage."
Nous tenons à condamner avec la plus grande fermeté ces déclarations à caractère diffamatoire et pour le moins inexactes qui jettent le discrédit sur le sérieux de notre enquête.
Lors de notre demande d’accréditation le 19 octobre 2016 (et dans les échanges qui ont suivi), nous n’avons jamais menacé nos interlocuteurs de la CEF de venir sous le nom d’un autre média, ou exercé toute forme de chantage. Nous pouvons fournir tous les éléments qui démontrent que cette affirmation de M. Neymon est erronée. Par ailleurs, venant à Lourdes avec Élise Lucet, il nous aurait été difficile de nous prévaloir d’un autre média.
Au contraire, nous avons travaillé en toute transparence. L’équipe de Cash a eu Vincent Neymon longuement au téléphone le 27 octobre 2016 pour préparer l’entretien entre Élise Lucet et Mgr Crépy.
Enfin Monsieur Neymon nous accuse de "grand mépris". Cette accusation est incompréhensible. Dans le documentaire, nous avons donné très largement la parole aux responsables de l’Église. Et le film permettra à chaque téléspectateur de se forger sa propre opinion, loin du procès d’intention que nous intente M. Neymon.
Nous regrettons que le directeur de la communication de la Conférence des Évêques de France ait préféré lancer une polémique publique plutôt que de venir débattre sur notre plateau, et ce malgré nos nombreuses invitations ».
La Croix
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Le Point - réponse Le Suisse Rom@in: le Pape n'a pas couvert de prêtres pédophiles; durant un procès qui a abouti à la condamnation du Père Grassi, il est permis de faire résonner les sons de cloches pour permettre un jugement en connaissance de cause.
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