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mercredi, 07 décembre 2016

France, Lourdes 1858: Marie confirme être l'Immaculée Conception

Délit d'entrave numérique en France

Le 1er décembre 2016, les députés français ont adopté en première lecture une proposition de loi qui vise à étendre le délit d’entrave à l’interruption volontaire de grossesse (IVG). Le Sénat l'examine aujourd'hui 7 décembre. Le gouvernement est à l’origine de cette initiative, car il considère que certains sites internet donnent de fausses informations sur l’avortement et cherchent « à induire intentionnellement en erreur, dans un but dissuasif », les femmes qui consultent ces sites.

A mon avis, bien que cela touche à la liberté d'expression et la liberté de l'information, tout repose sur la statut de l'embryon. Nous savons que dès la conception, un être humain innocent et sans défense est là. Cette vérité scientifique et rationnelle, est confirmée par la foi. 

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A la veille de la solennité de l'Immaculée Conception du 8 décembre, la France débat du délit d'entrave numérique. C'est pourtant à Lourdes que la Sainte-Vierge confirma, en 1858, être l'Immaculée Conception. Notre-Dame de Lourdes, priez pour nous. 

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Délit d'entrave numérique: la Sainte-Vierge confirme, en 1858, être l'Immaculée Conception à Lourdes

Le 25 mars 1858, Bernadette Soubirous, sort alors qu’il fait encore nuit. A la Grotte, elle trouve quelques personnes en prière.

Bernadette récite son chapelet. A la fin du chapelet, Bernadette se risque, une nouvelle fois, à demander son nom à celle qui s’est approchée d’elle, encore plus que d’habitude. Le curé n’a pas tort : cette mystérieuse Apparition qui demande des processions et une chapelle, qu’elle décline d’abord son identité !

Bernadette s’y reprend à trois fois, sans succès. Elle essaie de soigner ses phrases mais elle s’embrouille dans ces formules trop polies. Les trois premières fois, la Dame sourit. Mais, la quatrième fois, la Dame ouvre les bras vers la terre ; puis, elle joint les mains en levant les yeux et donne enfin son nom : « Que soy era Immaculada Councepciou ».

Monsieur le curé va être content : il aura sa réponse. Mais Bernadette ne comprend rien aux mots qu’elle a entendus. Passe encore pour « immaculada ». Mais : « coucepciou » ? Tout en remontant le plus vite possible vers la ville haute, Bernadette se répète les sons pour ne pas les oublier. Arrivée au presbytère, elle, ordinairement si respectueuse, ne salue même pas l’abbé Peyramale et lui jette à la tête les mots qu’elle a entendus à la Grotte.

Commentaires

OUI, quelle tristesse! La veille de L'immaculée Conception!
Ou est la vérité, la liberté de pensée, la liberté de conscience ?

Voilà ce que l'on peut lire sur le site du gouvernement français :

"La majorité des études scientifiques sérieuses qui ont été publiées sur le sujet montrent qu’il n’y a pas de séquelle à long terme psychologique de l’avortement. Il n’y a pas de syndrome post-traumatique qui persisterait à distance, plusieurs années après un avortement.

Au moment de l’IVG, ce n’est pas un moment très agréable à passer.
Mais là c’est comme pour la douleur physique, il y a des femmes qui le vivent on va dire plutôt bien et puis il y a des femmes qui le vivent plutôt mal : donc qui sont tristes, qui pleurent. Et à ce moment là il ne faut pas hésiter à demander à des professionnels formés à l’accompagnement psychologique de vous aider."

Les IVG sont-elles surtout demandées par des femmes très jeunes ?
Non, en 2013, 229 000 interruptions volontaires de grossesse ont été réalisées en France. Les femmes de 20 à 24 ans sont les plus concernées avec un taux de 28,8 pour 1000 (contre 15,6 pour les femmes de 15 à 49 ans). Les IVG sont même en légère baisse parmi les moins de 20 ans : 26 000 femmes en 2013, soit 14 femmes pour 1000.

Source DREES

Est-ce que les femmes ayant eu recours à l’IVG n’utilisaient pas de contraception ?
Le nombre des IVG, y compris chez les plus jeunes, ne s’explique pas principalement par un défaut de couverture contraceptive.

En 2007, d’après l’enquête sur les IVG de la DREES, deux femmes sur trois ayant eu une IVG utilisaient une méthode contraceptive qui n’avait pas fonctionné.

En 2013, selon l’enquête Fécond, seules 3 % des femmes (ni enceintes ni stériles, ayant des rapports hétérosexuels et ne voulant pas d’enfants) n’utilisent aucune méthode de contraception.

Alors que beaucoup de femmes ne vivent pas cela du tout à la légère et que OUI il y a des conséquences physiques, psychiques et sociales ...

Écrit par : Myriam | mercredi, 07 décembre 2016

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