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jeudi, 02 juillet 2015

Avortement: une question posée à l'intelligence

Avortement: pas une question catholique

images-1.jpegLe Liechtenstein assoupli la loi sur l'avortement. Les femmes ne seront plus punies par la loi. 

C'est la différence entre le moral et le légal. Je trouve juste de ne pas punir civilement une femme qui est déjà blessée par le drame de l'avortement.

Il reste que le médecin qui tue va à l'encontre du serment d'Hippocrate.

Il m'est arrivé plusieurs fois d'entendre la détresse d'une femme qui a eu recours à l'avortement. Le médecin l'a laissée toute seule, dans son désespoir et sa nuit de détresse.

L'Eglise sera toujours là, toujours présente pour prodiguer le pardon pour remettre debout, malgré la lourdeur de la douleur. Les prêtres sont en premières lignes pour soulager les consciences et offrir la Miséricorde de Dieu. 

L'avortement: une question posée à l'intelligence

La question de l'avortement est une question posée à l'intelligence: étymologiquement "intus legere", lire à l'intérieur. La raison discerne bien un être humain, dès la conception. C'est par une démonstration de la raison que l'on parvient à cette certitude. Il suffit ensuite de regarder les images pour s'en convaincre. 

L'avortement n'est donc pas un thème catholique. Certes, la foi permet d'adhérer à la vérité plus facilement et sans erreur dit Saint Thomas d'Aquin, repris par le Concile Vatican I.  

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