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dimanche, 13 juillet 2014

Second interview du Pape:Scalfari joue avec la confiance du Pape et crée la confusion

UNE NOUVELLE INTERVIEW DU PAPE À ‘LA REPPUBLICA’ SUSCITE LA PERPLEXITÉ DU VATICAN. 

Vatican - le 13/07/2014 | Par Agence I.Media

Unknown.jpeg2 semaines après la parution de sa dernière interview accordée à la presse italienne, le pape François s’est à nouveau livré à Eugenio Scalfari, athée déclaré et fondateur du quotidien italien La Reppublica.

Dans un échange publié le 13 juillet 2014 sur ce journal, le souverain pontife, qui avait déjà accordé une interview polémique à ce journaliste italien, affirme notamment que la mafia et le fléau de la pédophilie sont des “questions centrales“ pour l’Eglise.

Le Saint-Siège a toutefois rapidement et vivement réagi en indiquant que si le “sens“ général de la publication était correct, certaines affirmations ne pouvaient pas être “attribuées au pape avec certitude“.

Premier interview

Interview en italien dans La Reppublica

Le Père Lombardi: il ne s'agit pas à proprement parler d'un interview. L'utilisation ou non des guillemets apporte la confusion. 

Le célibat des prêtres existe depuis les premiers siècles de l'Eglise; les récentes recherches historiques ont bouleversé l'idée qu'il est apparu dès les XI-XIIème siècle. Cependant, cette dernière hypothèse reste légitime. 

Le Pape François à Scalfari, la Repubblica: "La pédophilie est une lèpre qui est dans l'Eglise et qui frappe aussi les évêques et les cardinaux"

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Le Pape: comme Jésus, j'utiliserai le bâton contre les prêtres pédophiles. Entretien avec le Souverain Pontife: "La pédophilie est une lèpre qui est dans l'Eglise et qui frappe aussi les évêques et les cardinaux" 

 

Commentaires

Ils nous refont le coup des imprécisions du compte rendu... La première fois, on a pu avaler ça comme le mauvais fruit d'une naïveté de pape spontané et peu expérimenté, mais là, ils nous prennent vraiment pour des ânes... La première fois c'est une erreur, la deuxième fois une bêtise, ou alors l'indice que ces imprécisions sont voulues et que François est effectivement malin comme un singe, mais d'une malignité peu recommandable chez un pape. Pitié, qu'il cesse d'exercer son pseudo-magistère médiatique à coup d'interviews douteux.

Écrit par : ph. martin | lundi, 14 juillet 2014

La maladie du micro n'épargne malheureusement personne! Il ne faut pas confondre gouvernement d'un Etat ou de la Chrétienté et promotion d'une vente en supermarché… La retenue de Benoît XVI semble plus adaptée.

Écrit par : Dufour | lundi, 14 juillet 2014

Pas si certains..... après le premier interview, Scalfari avait reconnu ses imprécisions. Le Pape n'étant pas rancunier, je ne pense pas que cette fois-ci il se soit fait piégé. Notre Pape est un homme qui sait manoeuvrer, ne l'oublions pas.

Écrit par : Don Dom | mardi, 15 juillet 2014

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