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samedi, 15 janvier 2011

Jean Paul II: Le Père Lombardi explique le sens du miracle

On se souvient que le Cardinal Stanislas Dziwisz avait expliqué le choix du miracle retenu (parmi tant d'autres) pour la béatification de Jean Paul II: une religieuse qui travaille pour la vie et la famille; d'origine française car l'Eglise en France peine encore aujourd'hui à tenir son rôle historique de phare catholique dans l'Eglise d'aujourd'hui. L'Eglise en France a tant donné pour la vie de l'Eglise, dont tant de saints pour le monde. C'est donc aussi une grâce pour les catholiques en France.

Lire: Isabelle de Gaulmyn


La béatification de Jean-Paul II
envoyé par KTOTV. - L'info video en direct.

Commentaires

Comme je voudrais que vous ayez raison! La France est toujours très malade spirituellement parlant. La baisse du nombre d'enfants au catéchisme n'est plus dans l'ordre de la préoccupation. C'est une vraie catastrophe. Quant aux rentrées dans les séminaires.... Mis à part la Belgique et les Pays Bas, je ne vois aucun lieu d'ancienne chrétienté au niveau de désolation dans lequel nous sommes! Il faut voir cela comme une grâce... Oui, mais pour le prêtre de terrain, ce n'est pas facile. Restons réalistes quand même!

Écrit par : Rémi Martin | dimanche, 16 janvier 2011

Je crois que le christianisme est plus une religion de la personne que sociologique. Le Christ change la personne, qui a certes ensuite un écho social. Le discours sociologique ne sonde pas les coeurs, les consciences... Aussi, oui, à première vue, la situation semble grise, triste, morose.... Ceci dit, je pense vraiment, en écoutant la Petite Soeur Marie Simom Pierre, que c'est ce discours que les gens attendent: la foi, la prière, l'adoration, le Saint Sacrement, le recours aux saints, la communauté, l'aide dans la souffrance, la maladie, le courage, la force pour aller de l'avant ... Mais vous avez raison, soyons réaliste. Ceci dit Mgr Fulton J Sheen, américain, disait que ce monde n'est pas à prendre trop au sérieux, car ce n'est pas le bon, celui dans lequel nous serons pour toujours. Nous préparons ici la vie éternelle; tout passe, sauf la foi, l'Eglise, et surtout Dieu. Notre espérance ne repose pas sur un monde meilleur, mais sur la vie éternelle que nous attendons ici et maintenant.

Écrit par : Dominique | dimanche, 16 janvier 2011

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