dimanche, 11 janvier 2009
Des prêtres mouillent leurs maillot !
En ce jour du baptême du Christ, on peut se demander pourquoi Jésus a-t-il voulu être baptisé ? Il n'en avait effectivement pas besoin étant Fils de Dieu. Mais Dieu a voulu plonger et s'immerger dans le monde, il a plongé tel un sauveur. C'est un Dieu qui, permettez l'expression, n'a pas peur de se mouiller.
Les prêtres sont invités à tout donner à Dieu, comme des sportifs, à mouiller leur maillot!
Retrouvez les images sympathiques des prêtres romands lors d'un match de foot organisé avec une équipe coachée par Michel Pont (entraîneur adjoint de l'équipe suisse) en juin 2005 lors de l'année suisse des vocations sacerdotales. Occasion de revoir l'abbé Grégoire Zufferey, décédé tout récemment, qui fut le meilleur joueur chez les prêtres.
dès 6 min.34 sec.

Merci à TVRL (télévision régionale lausannoise)
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samedi, 10 janvier 2009
Un suisse 4ème meilleur arbitre du monde !
Le tessinois Massimo Bussaca a été élu comme l'un des quatre meilleurs arbitres du monde. Mr Rosetti, italien, est au sommet du podium, lui qui a sifflé la finale de l'Euro 2008. Savons-nous que Mr Busacca, est un sportif d'élite avec une foi bien ancrée ?
Témoignage
J’ai commencé à arbitrer en 1989 après avoir joué au ballon durant différentes années. Jouer m’a toujours plu mais surtout pouvoir rester avec les amis et partager des beaux moments ensemble. Le sport m’a toujours aidé à me comparer avec moi même et avec les autres gens et il m’a donné la possibilité de connaître de nouvelles personnes.
De joueur à arbitre
Après quelques années que je jouais au ballon, je me suis vite rendu compte que ma carrière de joueur n’aurait pas de grand avenir. Il est important de savoir connaître et comprendre comment exprimer les propres grandes potentialités. J’ai tout de suite compris que j’étais un joueur discret mais la balle n’allait pas toujours où je voulais. Je tirais à droite et elle allait à gauche !
Et ainsi, un peu par jeu et un peu pour rire, j’ai raccroché mes chaussures de joueur et j’ai commencé un nouveau défi qui m’a de toute façon donné la possibilité de rester dans le monde du football. Un ami ma demandé d’essayer et j’ai alors commencé cette nouvelle aventure à laquelle aujourd’hui je suis vraiment beaucoup liée. Depuis les premiers coup de sifflet, je me suis rendu compte que cela était fait pour moi. Je m’amusais. Ca me plaisait aussi de prendre des décision et de faire respecter les règles. L’arbitre est vraiment celui qui devrait (et je répète il devrait, parce qu’aujourd’hui il est devenu beaucoup plus difficile de faire respecter la discipline sur le terrain de jeu) permettre aux joueurs de se mesurer avec le plus grand respect.
Pour la politesse et le respect
Mais revenons au début. Après quelques matchs arbitrés, j’ai eu un épisode désagréable : un spectateur, père d’un fils qui jouait dans ce match de juniors, m’a insulté. J’ai bien dit « de juniors » ! Grâce à Dieu, j’ai oublié immédiatement et j’ai décidé de continuer ma carrière. Aujourd’hui malheureusement, dans le football et le sport en général et en quelques circonstances, on doit vivre avec ce mal commun de l’impolitesse. C’est vraiment pour cela que lorsque j’arbitre, j’essaie toujours de faire respecter les règles et de tout faire pour qu’il y ait du respect et du propre copain et du propre adversaire. Si nous voulons que le football et le sport redeviennent un moment pour pouvoir se socialiser et s’amuser, il faut absolument qu’il y ait un respect absolu des valeurs humaines. Respect pour soi- même et le respect vers notre prochain.
L’humilité
Rapidement je suis arrivé à arbitrer des matchs importants. Mes décisions sur le terrain devenaient acceptées. Ce sont les joueurs qui en acceptant mes décisions m’ont fait devenir un bon arbitre. Je pourrais dire tranquillement qu’être un bon arbitre, si sur dix fois que je siffle, neuf fois je viens moi-même sifflé, cela veut dire qu’il y a quelque chose qui ne fonctionne pas. Je pense qu’en tout ce que nous faisons, nous ne devons pas et jamais nous permettre de perdre l’humilité. Aussi quand on arrive aux hauts niveaux, soit dans le sport ou dans la vie du travail, il faut toujours rester avec les pieds bien sur terre parce qu’un jour tout ce que nous avons construit pourrait finir et ce que resterait peut être bien peu.
Début sous la neige
Le 1er décembre 1996, j’ai fait mon début en Super League. Je m’en souviens comme si c’était hier. Je suis arrivé à Saint Gall le jour précédent le match et nous sommes allés visionner le stade. Sur le terrain il y avait 30 cm de neige et j’ai pensé immédiatement que mon début aurait été renvoyé. Le gardien du stade me dit de rester tranquille et de bien dormir parce que le jour suivant le match serait joué.
Le match a été joué. Ils ont déblayé simplement la surface de réparation ! Ils ont fait les lignes en rouge et ils ont aplani la neige dans le reste du terrain. Ca a été un début anormal mais tout est bien allé. C’est cela la beauté du sport : souvenirs inoubliables, expériences de vie, et parfois comparés avec des situations beaucoup plus particulières. J’ai commencé à arbitrer avec régularité en Super League. Tout de suite j’ai vu que beaucoup de choses avaient changé : importance des langues, la pression, la télévision, les journalistes, l’inspecteur qui jugeait ma performance. Beaucoup de facteurs avec lesquels je n’étais pas habitué encore à cohabiter. Tout de suite j’ai compris que c’était le moment et que je devais m’engager si je voulais atteindre de hauts niveaux. Cela n’était pas facile mais j’ai dépassé cette pression initiale en alternant beaux et mauvais moments ; le peu d’expérience m’a fait commettre des erreurs et j’ai alors compris que je devais me retrousser les manches, me relever et continuer le chemin parcouru jusque là.
La solitude
Malheureusement quand nous nous trompons, nous sommes presque toujours laissés à nous mêmes, seuls, et nous devons avoir la force et la personnalité de comprendre tout seul comment nous reprendre et oublier immédiatement les mauvais moments. Pour moi, tout ceci a été possible grâce à la foi. Quand quelqu’un me demande quel moment fut le plus mauvais de ma carrière, je vous assure que j’en ai eu, mais je ne sais jamais que répondre. Je me rappelle seulement les beaux moments. Les autres je les oublie rapidement. Si cela n’était pas comme ca, je ne serais pas prêt pour mon prochain engagement.
Arbitre international
En 1999, je suis devenu arbitre international. Autre grande reconnaissance qui couronnait des années de sacrifices. Tout de suite je me suis aperçu que les choses étaient en train de changer. La comparaison avec le football international signifiait comprendre les mentalités différentes de jeux, d’approche tactique et la manière d’interpréter un match. L’anglais est devenu la langue officielle dans mes cours et dans mes matchs à l’étranger. La communication est une partie importante pour une bonne approche du match. J’ai toujours cherché d’avoir un bon rapport avec les joueurs et surtout rester toujours à leur même hauteur. Jamais trop autoritaire, dédramatiser les situations difficiles et savoir admettre aussi ses propres fautes. De cette manière il s’instaure un rapport excellent et il devient plus facile de prendre les décisions. Et oui, décider. Un arbitre qui ne décide pas et qui manque de courage ne réussirait jamais à arbitrer aux hauts niveaux.
Dans l’élite
Après quelque années, je suis entré dans l’élite des arbitres européens, avec des matchs fascinants, stades avec 60’000-70’000 spectateurs, nouvelles nations visitées, cultures différentes, nombres incroyables de gens connus et un bagage d’expérience que toute la vie je garderai en moi. En 2006 j’étais choisi comme un des neuf arbitres européens pour participer à la plus grande compétition qui existe au niveau sportif.
Au mondial
Le Mondial de football. Pour un arbitre comme pour un joueur c’est la satisfaction la plus grande qu’il puisse atteindre. Quand je le raconte j’ai encore de la peine à faire comprendre aux gens les émotions par lesquelles j’ai passé. Aussi ceux qui normalement ne suivent pas le sport, pendant un mondial, deviennent passionnés de cet événement incroyable.
J’ai eu l’honneur d’arbitrer trois match. Espagne-Ukraine, Angleterre-Suède et un huitième de final entre le Mexique et l’Argentine gagné par cette dernière dans une rencontre passionnante décidée dans les prolongations avec un des goals le plus beaux du mondial.
Ca vous semblera étrange, mais une des choses les plus belles que je me souvienne du mondial, c’était de voir des familles entières aller au stade ensemble, et après la rencontre s’amuser et faire en sorte que le sport puisse être un moment incroyable de socialisation. J’ai profité de chaque minute de cette compétition spectaculaire, même si je dois dire avoir eu beaucoup de pression en dirigeant mes matchs.
La prière et la foi
Pendant le mondial j’ai beaucoup prié. J’ai tout mis dans les mains de DIEU et je lui ai demandé de me protéger et de me guider en tout. Aujourd’hui dans un match à ces niveaux, il y a beaucoup d’intérêts. Une faute de ma part peut compromettre l’élimination d’une équipe d’une compétition. C’est pour cela qu’en connaissant mes limites humaines, je me confie à Dieu.
Je suis complètement convaincu que sans la foi je n’aurais jamais pu obtenir ces grandes satisfactions.
Humour
Je me rappelle un épisode très spécial. Dans mon premier match arbitré, au moment du tirage aux sort, avec la monnaie en main j’ai demandé aux deux capitaines Sevchenko et Casillas de choisir une des deux faces. J’ai lançai la pièce, et pour la première fois dans ma carrière plutôt qu’aller d’une face ou de l’autre, la monnaie est tombée au sol de manière perpendiculaire. C’était un épisode où nous avons souri et déchargé la grosse tension qui transpirait dans sur nos visages.
L’Euro
Cela fait juste quelques mois que j’ai terminé le championnat européen. J’ai encore eu la possibilité d’arbitrer la compétition la plus importante au niveau Européen : Grèce - Suède, Hollande - Roumanie et une demi-finale entre l’Allemagne et la Turquie. Une autre grande expérience que je n’oublierai pas pour le reste de ma vie. Quand j’arbitre je cherche toujours à m’amuser, et c’est cela le message que j’essaie de transmettre aux joueurs et au public qui suivent la rencontre.
En mai 2007, j’ai arbitré la finale de la coupe UEFA entre l’Espaniol et Sevilla devant 70000 mille spectateurs. Un derby tout espagnol qui a vu Sevilla gagner aux penaltys. J’ai toujours vécu mes satisfactions avec le meilleur équilibre en jouissant de manière contenue pour les succès, mais jamais en m’abattant pour les défaites.
Merci à Dieu
Je programme tout, mais je vis à la journée, et je ne fixe pas trop de but. Je vis sereinement et je tâche de tirer le maximum de tout. Je remercie Dieu pour ce que j’ai obtenu jusqu’à aujourd’hui.
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vendredi, 09 janvier 2009
La puissance de la prière
Le Pape Jean Paul II, serviteur de Dieu, nous laisse un exemple lumineux dans le recours concret et confiant à la prière de tous les jours. Pour lui, durant les drames de sa vie, la prière fut le moyen doux et puissant de faire entrer Dieu dans l'histoire des hommes.
Le Pape Benoît XVI s'est adressé aux ambassadeurs pour dresser un état du monde assez allarmant.
Dans le conflit actuel en cours à Gaza, le Saint-Siège a demandé un cesser le feu imédiat pour des négociations autour de la table du dialogue. Son message a été hélas brouillé par les affirmations d'un Cardinal comparant la situation de Gaza à un camp de concentration.
Dans la prière pour notre monde, confions-nous au serviteur de Dieu, le Cardinal François-Xavier Nguyên Van Thuân, ancien président du dicastère pontifical de Justice et Paix. C'est un futur saint! qui a su garder l'espérance, la prière, la confiance dans la Providence de Dieu et la foi durant son temps de prison au Vietnam. Qu'il nous aide aujourd'hui dans la recherche commune, active et forte d'une vie avec plus de justice et de paix.
Un autre moyen concret d'aide pour les différentes détresses: L'aide à l'Eglise en détresse (AED)
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Propos diplomatiques ou polémiques ?
Dans le conflit en cours à Gaza, il y a des mots qui sont des lumières ou des étincelles. Ci-dessous, les propos de paix, sans concessions, du Saint-Père et ceux d'un Cardinal qui a réussi à troubler, voire occulter, la réception du message de Benoît XVI pour déclancher une vive polémique.
Benoît XVI et le Saint-Siège:
Discours du Pape au Corps dipomatique du jeudi 8 janvier 20008: "A propos de la situation au Moyen-Orient et, en premier lieu, en Terre Sainte, l’option militaire n’est pas une solution. La violence, d’où qu’elle provienne et quelque forme qu’elle prenne, doit être condamnée fermement. Je souhaite que, avec l’engagement déterminant de la communauté internationale, la trêve dans la bande de Gaza soit rétablie. C'est indispensable pour redonner des conditions de vie acceptables à la population et pour relancer les négociations de paix en renonçant à la haine, aux provocations et à l’usage des armes. Il est très important que, à l’occasion des échéances électorales cruciales qui intéresseront beaucoup d’habitants de la région dans les prochains mois, émergent des dirigeants capables de faire progresser avec détermination ce processus et de guider leurs peuples vers la difficile mais indispensable réconciliation. On ne pourra parvenir à celle-ci sans adopter une approche globale des problèmes de ces pays, dans le respect des aspirations et des intérêts légitimes de toutes les populations intéressées".
Cardinal Martino
ROME, Jeudi 8 janvier 2009 (ZENIT.org) - Gaza « ressemble de plus en plus à un grand camp de concentration », a dénoncé le cardinal Renato Raffaele Martino, dans une interview publiée le 7 janvier 2009 dans le quotidien italien en ligne Il Sussidiario.net. Le président du Conseil pontifical Justice et Paix a invité à « construire la paix » en favorisant le « développement » individuel et commun.
Alors que les combats s'intensifient dans la bande de Gaza, le cardinal Martino a dénoncé les « conditions à Gaza », les comparant à « un grand camp de concentration ». « Il n'y a comme alternative au dialogue que le recours à la force et à la violence », a-t-il ajouté. « Mais la violence ne résout pas les problèmes et l'histoire le confirme bien souvent », a-t-il affirmé, citant l'exemple de la guerre en Irak.
Pour le cardinal italien, « si on veut construire la paix, il faut favoriser le développement, non seulement le développement des pays mais aussi le développement personnel de chaque homme ». « L'assistance aux pays en voie de développement ne peut ressembler à une aumône, mais elle doit se présenter comme un partenariat, une aide pour que l'autre devienne protagoniste de son propre développement. Ce n'est qu'ainsi que l'aide pour tous peut devenir une aide au développement de chacun. Cela vaut naturellement, aussi et surtout pour le Moyen Orient », a-t-il estimé.
Pour arriver à la paix, « il faut la volonté des deux parties, parce qu'elles sont toutes les deux coupables », a ajouté le prélat. A ses yeux, « Israéliens et Palestiniens sont les enfants d'une même terre et il faut les séparer, comme on le ferait avec deux frères ». Pour le cardinal Martino, « s'ils ne réussissent pas à se mettre d'accord, il faut alors que quelqu'un d'autre se charge de le faire. Le monde ne peut rester ainsi, à regarder sans rien faire ».
Le président du Conseil pontifical Justice et Paix a également dénoncé les « conséquences de l'égoïsme » comme « la haine envers l'autre, la pauvreté et l'injustice ». « Ce sont toujours les populations sans défense qui en paient le prix », a-t-il regretté.
« Chaque année, il y a trop de prêtres, de religieux et religieuses, de missionnaires, de laïcs qui perdent la vie dans l'exercice de la mission la plus chrétienne de toutes, celle d'aider les personnes souffrantes et pauvres », a-t-il dit.
« Pourquoi les chrétiens souffrent-ils plus que les autres ? », s'est-il demandé. « A cause de l'ouverture du christianisme qui considère tous les hommes et les femmes comme des frères, alors que l'extrémisme musulman n'admet ni les conversions, ni les autres religions. Cela est source d'inimitié et de violence », a-t-il conclu.
Les propos du cardinal Martino comparant Gaza à un « camp de concentration » ont entraîné de nombreuses réactions dans le monde israélien, accusant le haut prélat italien d'utiliser des termes « tirés de la propagande du Hamas ». L'ambassadeur d'Israël près le Saint-Siège, Mordechai Lewy, a aussi réagi en affirmant que « si le cardinal utilise ces termes, c'est qu'il n'a jamais vu un camp de concentration de sa vie ».
Dans une interview au quotidien italien La Repubblica, le 8 janvier, le cardinal Martino a répondu aux attaques, affirmant qu'il n'y avait rien « qui puisse être interprété comme anti-israélien dans (ses) propos ». « La situation à Gaza est horrible », a-t-il ajouté.
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jeudi, 08 janvier 2009
Discours du Pape aux diplomates
Pour une vision du monde d'aujourd'hui, il vaut vraiment la peine de lire ce discours de Benoît XVI adressé au corps diplomatique près le Saint Siège.
Une chose dont on ne parle preque jamais ce sont le "discriminations et les très graves attaques dont ont été victimes, l’an passé, des milliers de chrétiens, qui montrent combien ce n’est pas seulement la pauvreté matérielle, mais aussi la pauvreté morale qui nuit à la paix. C’est dans la pauvreté morale, de fait, que de telles exactions plongent leurs racines".

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Que faire pour une bonne année ?
"Ravivons en nous l'engagement à ouvrir au Christ notre esprit et notre cœur, pour être et vivre comme ses véritables amis. Sa compagnie aura pour effet que cette année, malgré ses inévitables difficultés, soit un chemin plein de joie et de paix. En effet, ce n'est que si nous restons unis à Jésus, que l'année nouvelle sera bonne et heureuse."
Benoît XVI, audience du mercredi 7 janvier 2009
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mercredi, 07 janvier 2009
Galilée, un modèle chrétien ! ?
Alors que 2009 est l'année de l'astronomie (400 ème anniversaire des premières observations de Galilée au téléscope), en la fête de l'Epiphanie, célébrée le mardi 6 janvier en Italie, souvenons-nous que Benoît XVI a présenté Galilée comme un modèle pour les chrétiens d'aujourd'hui et spécialement pour les chercheurs. Cela doit contribuer à un dialogue entre foi et science. Le Cosmos est comme un livre dont l'auteur s'exprime à travers la symphonie du crée, dont on pourrait dire qu'il est comme un language musical. Ainsi le comprenait aussi Dante, dans la Divine Comédie, définissant Dieu comme l'Amour qui fait bouger le soleil et les étoiles.

Cela fait partie de la purification de la mémoire historique. Le Cardinal Ratzinger a voulu ouvrir les archives de l'ex Saint-Office. Aussi, savons-nous que le Pape n'a en fait jamais signé la condamnation de Galilée ? Ce dernier était aussi un homme de foi.
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La guerre de la communication
Que se passe-t-il vraiment à Gaza ? Il est très difficile de le dire, de le montrer et de le révéler. Les images, les photos, les communiqués sont filtrés, produits et utilisés par les deux partis. Comment rechercher la vérité ? La communication est une partie inhérente de cette guerre, de toute guerre.
Il y a parfois un mite sur l'information: qu'elle serait désormais à portée de clic. Ce n'est de loin pas si simple! On pourrait presque dire que sur les grandes questions de notre monde, les grands sujets, on ne sait parfois presque rien.
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mardi, 06 janvier 2009
1 sur 186 000 000
En 2008, 30 millions de nouveaux sites Internet ont été ouverts. On trouve désormais 186,7 millions de sites en ligne. Leur nombre a progressé de 17% par rapport à 2007, soit un léger ralentissement de la croissance. En effet, l'an passé, on avait relevé une augmentation de 40% du volume de sites Internet par rapport à l'année 2006.
Ce blog est une petite goutte d'eau dans l'océan de la communication ou une petite lumière dans le monde des sites. Mais si elle n'y était pas, elle manquerait!
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lundi, 05 janvier 2009
Un projet piloté à distance



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Stopper la guerre
APPEL POUR LA PAIX A GAZA
CITE DU VATICAN, 4 JAN 2009 (VIS). Après l'angélus, le Pape a invité à prier pour que cesse la violence à Gaza et a rappelé que la guerre et la haine ne résolvent pas les problèmes. "Aujourd'hui, dans toutes les églises de Terre Sainte, les patriarches et les chefs des Eglises chrétiennes invitent les fidèles à prier pour la fin du conflit dans la bande de Gaza et à implorer la justice et la paix sur leur terre. Je m'unis à eux et vous demande de faire de même en pensant aux victimes, aux blessés à ceux qui sont dans la peine, à ceux qui vivent dans l'angoisse et la peur, parce que Dieu les bénit par la consolation, la patience et la paix qui viennent de lui".

"Les nouvelles dramatiques qui nous arrivent de Gaza -a-t-il ajouté- montrent combien le refus du dialogue amène à des situations qui pèsent de façon insupportable sur les populations une fois encore victimes de la haine et de la guerre... La guerre et la haine ne résolvent pas les problèmes. L'histoire la plus récente en est la confirmation. Nous prions donc -a-t-il conclu- afin que l'enfant de la mangeoire...inspire aux autorités et aux responsables de tous les fronts, israéliens et palestiniens, une action immédiate qui mette fin à la situation tragique actuelle".
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