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dimanche, 13 décembre 2009

Le centre de l'Eglise

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En ce dimanche de la joie, alors que la couleur violette se mêle à la couleur blanche, afin de nous souvenir que Dieu est proche, posons-nous la question: quel est le coeur de l'Eglise, le centre ? Par la foi, nous savons que c'est l'Eucharistie. Tout est là! Aussi, c'est imprécis de parler de l'Eglise comme d'une organisation avec un centralisme romain. Nous devrions parler de centralisme eucharistique. Le Pape et les évêques garantissent la foi. Toute messe est célébrée en union avec notre Pape et notre évêque, jamais sans eux. A quelques jours de Noël, saisissons l'occasion de nous recentrer sur l'essentiel: Jésus s'est fait encore plus petit dans l'Eucharistie que lors de sa naissance à Bethléem. Jésus était blotti dans les entrailles de la Vierge Marie, mais il va encore plus loin: Dieu est caché dans les entrailles du monde, présent dans tous les tabernacles. Oui, Dieu est proche, soyons dans la joie! La Vierge-Marie, le Pape et l'Eucharistie sont bien les trois blancheurs dont parlait Saint Jean Bosco.

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C'est l'une des lignes de force du grand pontificat de Benoît XVI: l'intériorité, la foi et la centralité de la Messe. Le curé d'Ars avait bien raison de prêcher la grandeur du prêtre. Sans lui, Jésus ne serait plus sur les autels, ni dans nos tabernacles, ni dans nos âmes, ni au confessionnal.

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Là où il y a la présence réelle, un prêtre est passé par là.

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Très belle tradition romaine de bénir les "Bambinelli", les enfants-Jésus de la crèche, par le Saint-Père, en présence des enfants et des familles! Angélus du 13 décembre, avec la foule au rendez-vous...

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