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jeudi, 07 décembre 2017

Ces prêtres qui rendent hommage et qui prient pour Johnny Hallyday

mardi, 05 décembre 2017

Affaire de Yannick Buttet: l'hypocrisie, parlons-en !

Affaire de Yannick Buttet: l'hypocrisie, parlons-en !

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(Lien) Les aggressions commises par le conseiller national et vice-président du PDC Suisse sont graves et inacceptables. La présidente de la Confédération Doris Leuthard l'a relevé avec force: "il y a un problème".

Aujourd'hui, l'homme politique communique: 

«Je tiens à apporter mes profondes excuses à mon épouse, à ma famille et aux personnes qui ont été blessées par mon comportement inapproprié, y compris mes collègues du parti».

Yannick Buttet entreprend un traitement médical pour gérer sa consommation d’alcool ou ses problèmes. Personnellement, je trouve que cette réaction est celle d'un homme responsable. Avec ma prière pour sa personne et sa famille. Sans oublier les personnes blessées. Je suis instinctivement et résolument pour toutes les victimes. 

Plusieurs commentaires ont relevé l'hypocrisie de l'homme politique, un chrétien, un défenseur de la famille. 

Yannick Buttet n'a rien d'un Weinstein, ou d'un Tariq Ramadan. Il a reconnu avoir une difficulté manifeste. 

Pour la question de l'hypocrisie, je crois que notre monde marqué par la communication n'a pas vraiment de leçon de morale à donner. 

Le Matin ... l'hypocrisie, parlons-en !

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La Matin est un canard qui vit en partie grâce au revenu des petites annonces, une pleine page chaque jour, visible par les enfants, les adolescents, par monsieur et madame tous le monde.

Pour parler clairement, ce journal de boulevard, qui dénonce les Tartuffes, vit de l'argent de la prostitution. Des femmes sont exploitées et leur dignité est bafouée. 

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La RTS, un service publique très ouvent de qualité, ne s'est pas gêné de faire de la publicité pour le film "50 nuances de gris", un film qui rabaisse la femme a un objet de jouissance, de domination. Une femme est humiliée par un homme sadomasochiste. La violence est extrême. Qui s'en est ému ? Ce film a été diffusé sur le petit écran. Pourtant, c'est exactement l'inverse du sujet qui nous concerne: l'égalité homme-femme, le respect ...

Question d'hypocrisie ? parlons-en ... ce lynchage médiatique empêche surtout un homme de se relever, après une confession et un aveu publique, comme si Yannick Buttet était finalement un homme à abattre. La communication n'est pas un jeu vidéo: tombera ou ne tombera pas ... 

Tartuffe n'est évidemment jamais un exemple à suivre. Les saints ne sont pas ceux qui ne chutent jamais, mais ceux qui admettent la vérité, corrigent leur comportement, se confessent, réparent les conséquences et se relèvent toujours. 

Dénoncer et se réjouir de la chute des autres pour justifier sa propre a-moralité relève d'une attitude d'une pécore, bien pire que l'hypocrisie. 

Saint Augustin était réaliste: mieux vaut boiter en marchant vers le ciel, que de courir adroitement vers l' enfer. 

Le Pape François et le Notre Père : ce n’est pas Dieu qui induit en tentation mais Satan

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Lien: Aquinas - Hozana

Le Pape François et le Notre Père : ce n’est pas Dieu qui induit en tentation mais Satan

 

Le pape évoque la nouvelle traduction française

 
 
 
 
"ce n’est pas Dieu qui induit en tentation mais Satan"
 
 
Zenit

Deux jours après l’entrée en vigueur de la nouvelle traduction du Notre Père en France, le pape François affirme, dans un entretien, que ce n’est pas Dieu qui induit en tentation, mais « c’est le travail de Satan ».

Dans la septième vidéo d’une série sur la prière du Notre Père, qui sera diffusée le 6 décembre 2017 par la chaîne de la Conférence épiscopale italienne TV2000, le pape souligne que la formulation italienne « ne nous induis pas en tentation », « n’est pas une bonne traduction ».

« Les Français ont changé le texte avec une traduction qui dit ‘ne nous laisse pas entrer en tentation’, ajoute-t-il. C’est moi qui tombe, ce n’est pas lui qui me jette dans la tentation pour voir ensuite comment je suis tombé. Un père ne fait pas cela, un père aide à se lever tout de suite. »

Au contraire, assure le pape, « celui qui t’induit en tentation est Satan, c’est le travail de Satan ».

Dans cette série diffusée chaque mercredi et conçue en collaboration avec le Secrétariat pour la communication, le pape François s’entretient avec le p. Marco Pozza, théologien et aumônier de la prison de Padoue.

La nouvelle traduction du Notre Père est entrée en vigueur le 3 décembre en France : la sixième demande du Notre Père n’est plus désormais « Ne nous soumets pas à la tentation » mais « Ne nous laisse pas entrer en tentation ».

La version récitée jusqu’à présent, précise un communiqué de Mgr Olivier Ribadeau Dumas, porte-parole de la Conférence des évêques de France, était en vigueur depuis 1966. Cette formulation « n’était pas fausse mais pouvait porter à confusion… pouvant laisser croire que Dieu tentait volontairement l’Homme ». C’est pourquoi les exégètes « pour qui la traduction de ce verset s’avère très complexe, ont estimé qu’il était désormais plus juste de changer le verbe ‘soumettre’ par ‘entrer’ manifestant ainsi l’idée du terme grec d’un mouvement, comme on va au combat, puisque c’est bien d’un combat spirituel dont il est question ».

La nouvelle traduction de la sixième demande du Notre Père a été confirmée par la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements à Rome le 12 juin 2013, avec l’ensemble de la nouvelle traduction liturgique de la Bible, dont elle fait partie. Puis lors de leur assemblée plénière de printemps (28-31 mars 2017), les évêques français ont rendu cette nouvelle traduction obligatoire dans la liturgie publique à partir du 3 décembre, premier dimanche de l’Avent.

Archevêque de Paris: nomination imminente, même pour le vendredi 8 décembre

Archevêque de Paris: nomination imminente

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Archevêque de Paris : de source romaine le choix serait au pied du sapin. Avant Noël, ou même ce vendredi 8 décembre. Une surprise ....

Le Cardinal Cupich, nommé à Chicago, ne figurait sur aucune liste ...

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Les idées sedevacantistes fleurissent sur la toile: le Pape dictateur

Les idées sedevacantistes fleurissent sur la toile: le Pape dictateur

Un livre noir sur l’homme en blanc.

Les idées sedevacantistes répandues sur la toile touchent mêmes les catholiques fidèles et bien formées. Ces théories sèment le trouble. Il faut les démasquer. 

Le Pape François, un Pape dictateur: un livre noir sur l’homme en blanc

C’est un pavé dans la mare. Un pavé littéraire dans la mare des louanges que lui tressent la conscience morale universelle, la bien-pensance humanitariste, l’establishment mondialiste et le pouvoir médiatique, les cathos pro-pros gay-friendly, les gauchistes de tout acabit, athées, avorteurs, anti-cléricaux, écolos plus rouges que verts, les sectaires hérétiques et quelques tradis séduits par sa pauvreté bruyante et sa spiritualité superstitieuse ou à la recherche d’un strapontin dans l’Église conciliaire. Un pavé dans la mare de la Rome bergoglienne.

Un livre noir sur le jésuite Jorge Maria Bergoglio devenu pape François vient de sortir en italien : Le pape dictateur. Un livre choc qui fait trembler « le cercle magique » autour de François. Un livre sobre qui révèle des vérités que certains voudraient garder sous le boisseau. Un livre incorrect que le principal protagoniste doit assurément vouer aux gémonies et au néant. D’ailleurs les grands médias vaticanistes imposent un black-out total sur ce « pape dictateur » qui n’aura jamais le Nihil obstat de François.

L’intitulé du livre Le pape dictateur donne le là de cette enquête minutieuse qui dévoile les méthodes de gouvernement de Jorge Maria Bergoglio en retraçant sa carrière ecclésiastique dès le début. Son auteur, écrit le célèbre journaliste vaticaniste italien Marco Tosatti sur son blog Stilum Curiae,

« met en évidence celles qui apparaissent même maintenant comme des caractéristiques : « Un expert de l’auto-promotion. Camouflé derrière une image de simplicité et d’austérité. » »

Le pape dictateur est signé par un journaliste, diplômé d’Oxford et chercheur en histoire, qui se présente sous le pseudonyme de Marcantonio Colonna.

« Il n’est pas exclu qu’il s’agisse d’un non-Italien, peut-être un Anglo-saxon. Nous faisons cette hypothèse en nous basant sur le fait que ses références sont de préférence des sources en anglais. »

pense Marco Tosatti.

Marcantonio Colonna ouvre son enquête par une citation d’Abraham Lincoln qui découvre l’intention de l’auteur : faire tomber le masque de l’homme du peuple affable derrière lequel se cache le véritable pape François, un dictateur impitoyable  :

« Vous pouvez tromper tout le monde pendant quelque temps, ou quelques uns pour toujours, mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde pour toujours. »

Le journaliste introduit le propos de son livre par une brève introduction :

« Si vous parlez avec les catholiques de Buenos Aires, ils vous parleront de la transformation miraculeuse qui s’est produite en Jorge Mario Bergoglio.

Leur sombre et sérieux archevêque s’est transformé en une nuit en un souriant et joyeux pape François, l’idole du peuple avec lequel il s’est complètement identifié. Si vous parlez avec ceux qui travaillent au Vatican, ils vous raconteront ce miracle en sens inverse. Quand les caméras de la télévision ne l’encadrent pas, le Pape François se transforme en une autre personne : arrogante, cassante avec les personnes, vulgaire dans son parler et célèbre pour les violents accès de colère qui sont bien connus de tous, des cardinaux aux chauffeurs.

Comme le Pape François lui-même l’a dit le soir de son élection, il semble que les cardinaux, au conclave de mars 2013, aient décidé d’aller « aux confins de la terre » pour choisir leur Pape, mais aujourd’hui, l’impression grandit qu’ils ne se sont pas donnés beaucoup de mal pour contrôler la marchandise. […]

Après presque cinq ans de pontificat, François montre qu’il n’est pas l’homme de gouvernement démocrate et libéral que les cardinaux pensaient avoir élu en 2013, mais un pape dictateur comme on n’en a pas vu depuis des siècles.

Cela peut sembler une accusation choquante, mais elle est corroborée par des preuves irréfutables.

Ce livre mène l’enquête sur les réformes manquées qui ont déçu les espoirs placés en François, et décrit dans les détails le règne de la terreur que le Pape venu d’Argentine a introduit au Vatican. »

Ce jugement est corroboré par Marco Tosatti qui dans sa recension de ce livre noir sur le pape jésuite écrit :

« … depuis quelque temps – et vous le savez – nous essayons de comprendre comment il est possible qu’en plus de trente-cinq ans de « couverture » du Vatican, nous n’ayons jamais connu un tel climat de terreur dans les Palais Sacrés. La récente interview du Cardinal Müller nous a dit ce que nous savions déjà : que sous le règne du Pape Bergoglio, les vies et les carrières se jouent sur l’instant d’une dénonciation, d’une accusation anonyme. Le Pontife, écrit Marcantonio Colonna, citant une source anonyme, « est quelqu’un qui sait avant tout instiller la peur ». C’était le cas à Buenos Aires, c’est le cas à Rome, grâce à « un réseau de mensonges, d’intrigues, d’espionnage, de méfiance et, plus que toute autre chose, de peur ». Tout à fait l’étoffe dont doit être tissé un Vicaire du Christ, non ? »

L’éditeur en présentant le livre souligne cette même idée d’un pontificat mis sous le signe de la terreur et de la corruption :

« Jorge Bergoglio a été élu pape en 2013, comme un libéral et un réformateur. En fait, il était déjà connu depuis longtemps dans son Argentine natale comme un politicien manipulateur et un promoteur habile de lui-même. Derrière le masque de l’homme du peuple affable, le pape François a consolidé sa position de dictateur qui gouverne avec la peur et a fait des alliances avec les éléments les plus corrompus du Vatican pour conjurer et retourner les réformes attendues de lui. »

Le pape dictateur retrace différentes étapes dans la vie de Bergoglio : son supériorat controversé et obscur à la tête des jésuites de la province d’Argentine qui sera suivi de sa disgrâce, de son exil en Allemagne et de sa « traversée du désert » de retour en Argentine ; la disparition du fameux « rapport » du père Kolvenbach, Général des jésuites, « l’étude la plus critique de la personnalité de Jorge Bergoglio jamais rédigée avant son élection comme pape » écrit Colonna ; le contexte de son élection avec l’aide de la Mafia de Saint-Gall. Le livre détaille, documents et preuves à l’appui, quelques unes des décisions les plus indigestes de ce pontificat : la mise sous tutelle des Franciscains de l’Immaculée et de l’Ordre de Malte où l’argent a joué un grand rôle ; les changements à l’Académie pontificale pour la Vie ; le licenciement discutable du vérificateur général des comptes Libero Milone…

De ce portrait négatif ressort un pape François dictatorial, colérique, vulgaire, à la fausse humilité et pauvreté, portrait qui s’oppose à l’image idyllique que les médias mainstream, bien en cour dans les Palais du Vatican, popularisent.

Mais les méthodes de gouvernement autocratiques du pape François sont-elles le véritable problème qui touche les fidèles catholiques aujourd’hui et leur fait perdre la vraie foi ? L’Église n’a-t-elle pas connu d’autres papes tyranniques tout au long de son histoire sans qu’elle ne disparaisse ni ne proclame un autre Évangile ?

Le problème de ce pontificat est autre et plus grave : il se situe au niveau supérieur de la doctrine et de la morale catholiques qu’un pape se doit de protéger. Or le pape François, dans la droite ligne des pontifes conciliaires qui l’ont précédé -réalité que nous ne cesserons de répéter à MPI-, « travaille à la destruction de l’Église à l’intérieur de l’Église » et à la disparition du catholicisme, en promouvant, de façon il est vrai plus brutale, publique, provocante et ouverte que ses prédécesseurs, des nouveautés contraires à la Tradition et à la loi divine et en chantant un nouvel Évangile anthropocentrique, et le tout en suivant les oracles avant-gardistes de Vatican II.

Là est toute l’abomination de ce pontificat : il mène la révolution conciliaire jusqu’au bout de sa logique mortifère pour le plus grand dam des âmes !

Francesca de Villasmundo

lundi, 04 décembre 2017

Conférence de presse du Pape François: pourquoi le Pape n'a pas prononcé le mot "Rohingya" en Birmanie

Conférence de presse du Pape François: pourquoi le Pape n'a pas prononcé le mot "Rohingya" en Birmanie

Pape François et Rohingya: l'important, que le message arrive

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Padreblog et la béatification du Père Jacques Hamel

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L'abbé Amar reçoit le père Paul Vigouroux, en charge de la béatification du père Jacques Hamel. Quelle leçon de foi et de vie nous donne ce prêtre, assassiné en juillet 2016 alors qu'il venait de célébrer la messe ?

Padreblog et la béatification du Père Jacques Hamel

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