jeudi, 18 janvier 2018
Semaine de prière pour l'Unité des chrétiens: réformés.ch et cath.ch reviennent tout au long de cette semaine sur les questions chaudes de la réflexion oecuménique
réformés.ch et cath.ch reviennent tout au long de cette semaine sur les questions chaudes de la réflexion oecuménique
Unité des chrétiens: disputons-en
Du 18 au 25 janvier, les rédactions .ch publient chaque jour de manière conjointe les réflexions et les points de vue de différentes personnalités catholiques et protestantes romandes autour de sept thématiques:
1. Purgatoire: mythe ou réalité?
2. Papauté: infaillible ou fragile?
3. Guillaume Farel: ange ou démon?
4. Sacerdoce des femmes: impossible ou incontournable?
5. Liturgie: intercommunion ou séparation?
6. Célibat: nécessaire ou anachronique?
7. Prier: Dieu ou les saints?
19:10 | Lien permanent | Commentaires (2) | | |
Commentaires
Ils ont vraiment du temps à perdre...
Écrit par : P.F | jeudi, 18 janvier 2018
Encyclique Mortalium Animos du Pape Pie XI en 1928
C'est un résultat semblable que d'aucuns s'efforcent d'obtenir dans les choses qui regardent l'ordre de la Loi nouvelle, apportée par le Christ Notre Seigneur. Convaincus qu'il est très rare de rencontrer des hommes dépourvus de tout sens religieux, on les voit nourrir l'espoir qu'il serait possible d'amener sans difficulté les peuples, malgré leurs divergences, religieuses, à une entente fraternelle sur la profession de certaines doctrines considérées comme un fondement commun de vie spirituelle. C'est pourquoi, ils se mettent à tenir des congrès, des réunions, des conférences, fréquentés par un nombre appréciable d'auditeurs, et, à leurs discussions, ils invitent tous les hommes indistinctement, les infidèles de tout genre comme les fidèles du Christ, et même ceux qui, par malheur, se sont séparés du Christ ou qui, avec âpreté et obstination, nient la divinité de sa nature et de sa mission.
De telles entreprises ne peuvent, en aucune manière, être approuvées par les catholiques, puisqu'elles s'appuient sur la théorie erronée que les religions sont toutes plus ou moins bonnes et louables, en ce sens que toutes également, bien que de manières différentes, manifestent et signifient le sentiment naturel et inné qui nous porte vers Dieu et nous pousse à reconnaître avec respect sa puissance. En vérité, les partisans de cette théorie s'égarent en pleine erreur, mais de plus, en pervertissant la notion de la vraie religion ils la répudient, et ils versent par étapes dans le naturalisme et l'athéisme. La conclusion est claire: se solidariser des partisans et des propagateurs de pareilles doctrines, c'est s'éloigner complètement de la religion divinement révélée.
MAIS EN CE TEMPS d'Apostasie et de désorientation diabolique les mots ont-ils encore un sens?
Écrit par : Raph | jeudi, 18 janvier 2018
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