mardi, 03 novembre 2015
Journalisme: l'amour et la passion pour la vérité
Un journaliste est un chasseur de vérité
Pour ceux qui aiment la communication et le journalisme, la recherche de la vérité est essentielle. C'est ce qu'attendent les lecteurs, les auditeurs ou les spectateurs.
Avec ces deux prochaines publications nommées Vatileaks 2 "Via Crucis" et "Avarizia", les auteurs Nuzzi et Fittipaldi ne servent nullement la cause de la vérité.
Il y a certes quelques vérités, mais partielles, et surtout bien des imprécisions, des mensonges et des demi-vérités. Dommage, car les scandales financiers au Vatican existent.
George Weigel, mondialement reconnu dans sa profession, n'avait-t-il pas avancé que les révélations médiatiques sur la pédophilie avaient aidé les victimes et rendu service à l'Eglise ?
Nuzzi: sa médiocrité nuit gravement à la qualité de la communication
Pour y remédier, la vérité est essentielle. Hélas, Nuzzi nuit gravement au noble métier de journaliste. Un tel spectacle, basé sur sensationnel et la vanité personnelle, ne peut guère aider l'ensemble de la profession.
"Des publications de ce genre n’aident en aucune manière à clarifier et à établir la vérité. Au contraire, elles sèment la confusion et donnent lieu à des interprétations partielles et tendancieuses. Il faut absolument, insiste le Bureau de presse du Saint-Siège éviter de croire que cela puisse aider la mission du Saint-Père".
Père Lombardi, directeur de la salle de presse du Saint-Siège
Quant à Francesca Chaouqui, elle tweete !
#coseserie Allora ragazzi, non ho intenzione di fare un circo di conferme o smentite. Quindi valga questo post... https://t.co/uX4Pf0a5AC
— Francesca Chaouqui (@FrancescaChaouq) 3 Novembre 2015
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