mercredi, 29 janvier 2014
Koz'toujours: Lettre à Géraldine qui a avorté sous la contrainte
Un homme en parle !
.... On dit souvent que la valeur d'une société se mesure à l'aune du traitement qu'elle réserve aux plus fragiles. Moi, Géraldine, elle me fait honte et un peu peur, notre société, parce qu'en guise de traitement, notre société, elle les efface, nos plus fragiles.
En lisant votre tribune, Géraldine, le seul combat que je veuille mener, c'est celui d'une société humaine, solidaire, une société qui accueille les petits, les fragiles, les malades. Une société qui ne vous aurait pas convaincue que la raison imposait de supprimer cette vie naissante mais vous aurait à tout le moins donné tous les éléments d'un choix effectif.....
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