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vendredi, 19 juillet 2013

JMJ Rio 2013: cette curieuse intolérance envers les indulgences

images-1 22-24-42.jpeg"La tolérance, la tolérance, il y a des maisons pour cela" disait Clemcnceau ou Paul Claudel. La tolérance, depuis la Révolution Française,  semble une vertu acquise ? quoi que...

Désigner les coupables

La culture médiatique est impitoyable: elle procède aux enquêtes et condamne les coupables. Après un accident, les responsables doivent apparaître en public et rendre des comptes médiatiquement.

Pourquoi vous n'aviez pas prévu cet accident ? C'est quand même de votre faute.... le responsable sera montré du doigt ! 

De Bill Clinton à Lance Armstrong 

Qui peut encore se réclamer de Lance Armonstrong, septuble tricheur du Tour de France ? même après ses aveux de dopage ? Nous resterons intolérant à son égard pour très longtemps. Sa marque n'est plus celle du champion, mais du menteur. Affaire classée. Pas de rédemption pour lui. Aucune indulgence ! Bonne chance pour se relever. Bill Clinton restera toujours lié au nom de Monika... Mais soit, la tolérance doit être de rigueur. 

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On reproche souvent, à tord à mon avis, évidemment!, l'intolérance de l'Eglise catholique. 

Les indulgences face à l'intolérance

Il est facile de constater que les indulgences ne passent pas très bien la rampe médiatique. Luther a passé par là, et le règne de l'argent également. On ne tolère pas que l'Eglise ressorte les indulgences. 

Pourtant, l'Eglise propose beaucoup mieux que la tolérance: la bienveillance, le respect, et surtout l'Amour.

Quelqu'un d'indulgent sera une personne qui pardonne facilement. Aussi l'indulgence est une qualité qui se rapproche de l'Amour; alors que la tolérance sera un acte tolérable, qui supporte à peine une opinion ou une personne, mais il faudra bien faire avec.

La tolérance est encore négative 

La tolérance est négative alors que l'indulgence est définitivement positive.  Pourtant, elle ne dépasse pas la tolérance. Cette dernière l'emporte, et s'emporte surtout, face aux indulgences. 

Qu'est-ce que l'indulgence : Une indulgence est liée au pardon, elle le complète. L'indulgence efface les conséquences d'une faute.

Non seulement Dieu pardonne toujours, il est Bon, mais il est Indulgent. Ainsi l'Eglise offre des indulgences. 

......

Dans le cadre de l’Année de la foi, le pape accorde le don des Indulgences à l’occasion des Journées Mondiales de la Jeunesse, qui auront lieu à Rio du 22 au 29 juillet prochain : c'est ce qu'annonce un décret du Saint-Siège publié le mardi 8 juillet 2013.

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François désire ainsi que les jeunes, en communion avec les fins spirituelles de l’Année de la foi lancée par le pape émérite Benoît XVI, puissent obtenir les fruits espérés de la sanctification des 28e JMJ, dont le thème est « Allez ! De toutes les nations faites des disciples ». Le pape a décidé d'accorder ces indulgences à la suite d'une audience, le 3 juin dernier, avec le cardinal Monteiro de Castro, Grand Pénitencier.

Les jeunes, et tous les fidèles qui s'y seront préparés, pourront donc recevoir le don des Indulgences, sous deux formes : l’indulgence plénière et l’indulgence partielle. La première s’obtient une fois par jour aux conditions habituelles, à savoir la confession sacramentelle, la communion eucharistique et la prière à l’intention du pape. Elle est aussi applicable, par mode de suffrage, aux âmes des fidèles défunts, ainsi qu'aux fidèles réellement repentis et contrits, et qui participent aux rites sacrés et pieux qui se dérouleront à Rio de Janeiro.

La seconde, l’indulgence partielle, est accordée aux fidèles, où qu’ils soient durant la rencontre des JMJ, chaque fois que, au moins avec l’âme contrite, ils prieront Dieu, concluant ainsi la prière officielle des Journées Mondiales de Jeunesse, et quand ils invoqueront la Vierge Marie, reine du Brésil, et les autres saint patrons les stimuler et les renforcer dans leur foi et enfin de les conduire vers une vie sainte.

Source de l'article : Radio Vatican 

Commentaires

Indulgences en soldes ! accourez ! ;-)

Écrit par : Alina Reyes | vendredi, 19 juillet 2013

Bonjour,
Cette intolérance à l'égard de l'indulgence tient à des tas de facteurs qui se téléscopent.
Voici, à mon sens, les moins nobles, surtout quand ils sortent du cœur d'un chrétien.
a) La méconnaissance de ce qu'est le pardon dans l'Eglise où doit "circuler" la grâce divine.
Méconnaissance aussi bien intellectuelle que pratique - on fréquente peu le sacrement de pénitence - d'où une mentalité pélagienne (qui déplaît particulièrement au pape François comme il l'a souligné récemment): si je crois - faussement - que le pardon est principalement le fruit de ma sincérité, encore mieux si elle est spontanée, et de mes efforts, qu'ai-je à faire de l'indulgence? Mentalité qui est souvent centrée sur le pardon à donner et peu sur celui qui est à recevoir, de Dieu ou du prochain, sans parler de l'exigence de justice "temporelle" dont tient compte l'indulgence.
b) Une méconnaissance de l'Histoire: sous prétexte qu'il y eut un trafic d'indulgences, on dénigre l'indulgence. Ce qui n'est pas plus pertinent que de dénigrer les greffes d'organes sous prétexte qu'il y a des trafics d'organes. Quant à Luther, il aurait désavoué la pratique de l'indulgence même s'il n'y avait pas eu de trafic parce que le pardon fut "revisité" par lui comme bien d'autres choses de la foi. Luther fut-il pour autant un modèle de pardon, disons, concret, la pratique du pardon est-elle un pilier de sa doctrine? Je ne l'ai pas entendu dire. Hélas, beaucoup de catholiques on oublié que la pratique du pardon est un pilier de la doctrine qu'ils professent (un certain nombre a d'ailleurs oublié qu'il y a une doctrine catholique cohérente et elle a été remplacée dans les esprits par une gentillesse festive dans laquelle le pardon est escamoté parce qu'il semble austère), et les errements des trafics s'expliquent par d'ailleurs par l'importance qu'on accordait jadis à cette démarche, c'était en quelque sorte le défaut d'une qualité. La pratique catholique, forcément différente de celle de Luther, me semble donc plus concrète (je n'ai pas dit plus spontanée) quand on voit comment la pratique du pardon est mise en valeur dans un sanctuaire comme Notre-Dame-du-Laus où on est invité concrètement à recevoir et à donner le pardon, à satisfaire à la justice divine qui nous dépasse mais sans omettre les gestes qui sont à notre mesure.
c)Confondre le trafic des indulgences avec la pratique de l'indulgence n'est guère brillant, reprocher à l'Eglise d'accorder des indulgences aujourd'hui sous prétexte qu'il y eut des trafics il y a bientôt 600 ans est assez bizarre, mais encore plus lorsque cela provient de personnes très matérialistes ou consuméristes - j'en connais, hélas, même parmi les chrétiens - prêtes à bénir tous les trafics, d'organes et autres, à partir du moment ou ça fait du fric, et à rabâcher que l'Eglise est complètement ringarde, justement parce qu'elle désapprouve ces trafics.
Moralité, comme dirait le prophète, "le cœur de l'Homme est compliqué et malade"... et nous avons d'autant plus besoin de pardon au sens le plus profond du terme, sens qu'exprime l'indulgence, en nous mettant face à nos pauvretés, quand on veut bien s'informer à quoi cette pratique correspond.

Écrit par : C.J. | vendredi, 19 juillet 2013

Si le coeur de l'homme est encore compliqué et malade, c'est qu'il n'est pas encore en Christ. Attention au cercle vicieux de l'éternelle répétition du péché et du pardon. Il faut sortir de là. Sortir du péché, du péché premier et capital qu'est la tromperie, suivie de dissimulation et de mensonge, péché premier qui entraîne tous les autres, enferme l'être et le monde dans le péché.

Écrit par : Alina Reyes | vendredi, 19 juillet 2013

Merci pour vos éclairages. Etant moi-même pécheur et également confesseur, je me rend compte des difficultés de notre culture occidentale à redécouvrir la grâce du pardon. Toutefois, au confessionnal, les âmes se présentent sans masque et sans filtre. Le coeur de l'homme et bien plus proche de Dieu que nos communications le pensent. Il y a un vernis qui nous recouvre et chacun de nous à un jardin secret. Ce jardin est celui de la conscience.
Le monde médiatique est comme l'Univers, avec ses lois, qui touchent à la physique des corps célestes. Mais il y a aussi l'infiniment petit, la physique atomique, de la dimension des atomes.

Ces deux mondes sont différents et je suis témoin de tellement de confidence que je me rend compte que parfois, en dehors de notre jardin secret, le monde est un scène qui change très vite.

Dieu ne se fatigue jamais de pardonner, Pape François dixit.

Écrit par : Don Dom | vendredi, 19 juillet 2013

"Vernis qui nous recouvre", "jardin secret"... Pardonnez-moi de vous le dire, mais ce ne sont pas des catégories dans lesquelles vit l'homme en Christ. Le jardin de Dieu n'est pas secret, et nul vernis ne le recouvre. Sa part d'inconnu nous est voilée, mais c'est très différent. Il nous faut retrouver la voie de la vie sans vernis. La vie nue, à nu - ou en robe blanche, comme dit l'Apocalypse. Une vie de pardonné une fois pour toutes, voilà ce qu'est normalement la vie de baptisé, que pourtant, nous le voyons, bien peu de baptisés vivent. Or si vraiment les hommes étaient réconciliés avec Dieu, ils ne retomberaient pas. Le Christ est-il jamais tombé dans le péché ? Ce n'est pas d'abord une question de morale, c'est une question de salut. La vie dans la grâce est sans péché, sans secret, sans vernis. Et pourtant infiniment intime et préservée, comme l'est la Vierge. Infiniment intime et infiniment partagée, en toute pureté.

Écrit par : Alina Reyes | vendredi, 19 juillet 2013

Alina, votre vision est séduisante, mais ne correspond pas à la réalité de nos vies. Les plus grands saints sont aussi ceux qui pleuraient avec le plus d'authenticité leurs état de pécheurs. Plus ils apprennent à voir et à aimer le Seigneur, plus ils saisissent combien la plus petite imperfection est cause de "peine" à tous les sens du terme. Plus la vitre est baignée de lumière, plus s'y découvrent les traces et les poussières qui la defigurent. Monte alors du coeur la prière du publicain, la seule qui monte jusqu'à Dieu, car la seule fondée en vérité: miséricorde, pitié pour moi, car je ne suis qu''un pauvre pécheur. Alors oui, il y a progrès dans l'unité de la personne, mais pas vers un illusoire état d'innocence retrouvée, qui n'appartient pas à ce monde, si ce n'est dans l'Immaculée et, de manière différente et éminente dans le Christ Jésus. Mais unité dans le sens de ce que le Seigneur disait à Ste Catherine: Je Suis celui qui suis et tu es celle qui n'est pas.

Écrit par : ph. martin | dimanche, 21 juillet 2013

Je ne répète pas ce que disent les autres, je parle de ce que je connais.

Écrit par : Alina Reyes | dimanche, 21 juillet 2013

Que connaissez vous que vous n'avez reçu? Les grandes errances qui éloignent de la foi, sciemment ou non, viennent de cet ego qui se prétend quelque chose et capable de con-prendre de son propre chef ce qui le dépasse de toute part. Au passage, je ne peux que vous recommander la lecture attentive et priante des Dialogues de Ste Catherine de Sienne.

Écrit par : ph. martin | dimanche, 21 juillet 2013

Tout ce que je dis est parfaitement chrétien. Au lieu de juger, relisez mon commentaire, et réfléchissez à ce qu'est le baptême, vous verrez que je parle d'une vraie vie de baptisé, que bien peu vivent mais qui nous est enseignée par tout le Nouveau Testament. Relisez-le, je ne vais pas me lancer ici dans une leçon, elle est déjà donnée par les textes bibliques, et redonnée dans les textes de la messe, où nous sommes appelés à être libérés du péché. Bonne méditation à vous, et surtout, bonne mise en pratique ! C'est-à-dire, bonne conversion.

Écrit par : Alina Reyes | dimanche, 21 juillet 2013

Chère Alina, quant à ma pauvre personne, vous n'avez pas tort, je n'ai de loin pas fini de méditer les Saintes Ecritures et d'avancer sur la voie de la conversion. Merci de vos encouragements, je prierai aussi pour vous à cette intention. Sans entrer dans de trop nombreuses subtilités que je serais bien en peine de maîtriser parfaitement, il n'est pas faux de dire, du point de vue de la foi catholique, que le baptême nous réconcilie pleinement avec Dieu. En nous lavant du péché originel, il imprime en notre âme une marque indélébile, un caractère, qui nous transforme à jamais,  vivifie en nous un organisme surnaturel sous la mouvance des dons de l'Esprit Saint, nous fait enfants de Dieu, nous incorpore à l'Eglise, membres du corps mystique du Christ, et efface tous les péchés actuels commis jusqu'alors, du pointe de vue de la faute comme de la peine (une première indulgence plénière si j'ose dire!).
A partir de ce bain de rénovation, morts à nous même et vivants dans le Christ, nous sommes appelés à vivre une vie accordée à la grâce qui nous est offerte à chaque instant pour demeurer dans l'amitié divine et, en quelque sorte, exaucer dans nos existences la prière du Notre Père: "que ton Nom soit sanctifié, que ton Règne vienne, que ta Volonté soit faite". Mais si la plénitude de la sainteté est infusée au baptême de telle sorte qu'à cet instant la mort conduirait sans le moindre délai directement au Ciel, la grâce ne contraint pas la nature: tant que son existence dans le temps n'est pas achevée, la volonté de l'homme reste libre de dévier et de préférer les faux biens, limités, qui s'offrent à lui au mépris du souverain Bien. Or notre condition ici bas est telle - car le péché originel est effacé mais non les dérèglements qu'il a introduits dans notre nature -, qu'il ne faudra pas longtemps avant que nous péchions, c'est-à-dire que nous posions des actes désordonnés, des actes qui ont le pouvoir ne nous priver de l'amitié divine, non en ce que l'Amour du Seigneur  et sa capacité de pardon se refroidiraient et s'éteindraient, comme il arrive parfois entre nous par notre faute, mais de ce que nous avons préféré notre bien propre indépendamment et à l'encontre de Celui qui est l'origine et la fin de tout bien. Nous avons rompu. Et le lien doit être restauré, il nous faut nous réconcilier. La bonne nouvelle, c'est que ça reste indéfiniment possible tant que nous vivons ici bas. Et la grâce nous y pousse: elle nous inspire le regret de nos fautes et nous invite à nous retourner et à revenir sur le chemin qui mène dans les bras du Père des Miséricordes.
Rappelons ici le fameuse sentence de Saint Augustin qui, me semble-t-il, décrit parfaitement l'épreuve spirituelle foncière de toute créature raisonnable et libre : "Deux amours ont fait deux cités : l’amour de soi jusqu’au mépris de Dieu, ou l’amour de Dieu jusqu’au mépris de soi."  Personne ne peut prétendre ici bas en avoir terminé avec ce combat, qui continuera jusqu'à notre dernier souffle où nous seront établis définitivement dans l'une des deux cités,  et c'est pourquoi on doit se réjouir et nous approcher sans modération, mais non sans une préparation sérieuse, du sacrement de pénitence, qui nous aidera à vivre toujours plus parfaitement dans la lumière du Christ.
Sans vouloir juger la conscience de quiconque, je tiens donc fermement que des assertions comme  "si le coeur de l'homme est encore compliqué et malade c'est qu'il n'est pas encore en Christ", "une vie de pardonné une fois pour toutes, voilà ce qu'est normalement la vie de baptisé, que pourtant, nous le voyons, bien peu de baptisés vivent. " et "si vraiment les hommes étaient réconciliés avec Dieu, ils ne retomberaient pas" sont des propositions, sinon formellement erronées (car une interprétation orthodoxe n'est pas totalement impossible avec un peu d'indulgence), du moins susceptibles de contenir en germe une doctrine incompatible avec la Révélation chrétienne. Peut-être vous ai-je mal comprise, mais vous sembliez dire, implicitement, que l'homme en Christ pleinement accompli, qui vit en homme pardonné une fois pour toute, n'a pas besoin d'aller à confesse et encore moins de se préoccuper de recevoir des indulgences, même "en solde", ce serait alors se maintenir dans le cercle vicieux de l'éternelle répétition du péché et du pardon. En extrapolant un peu, on voit se lever l'idée d'une existence qui dépasserait la notion de péché voire même les catégories morales du bien et du mal, dans une sorte de spontanéité vitale, d'innocence primordiale retrouvée: sens qu'on pourrait prêter à votre expression " La vie nue, à nu - ou en robe blanche, comme dit l'Apocalypse ". Autrement dit: Christ a liquidé le problème du péché, je n'ai qu'à me reconnaître pardonné et à vivre en toute simplicité et fidélité à ce que je suis, dans une pureté inaliénable, acquise d'avance par les mérites du Christ. C'est très beau, séduisant comme je le disais, mais ce n'est pas la Révélation chrétienne. Tout le Nouveau Testament, lu droitement à la lumière de la Tradition et du Magistère de l'Eglise, le démontre amplement. A la rigueur, ça peut se qualifier de chrétien, comme vous l'affirmez, au même titre que la doctrine de Luther peut être dite chrétienne. Mais ce n'est en tout cas pas catholique, et donc ce n'est pas, selon moi et tout catholique cohérent, la foi chrétienne préservée de toute corruption. Ca peut être dur à entendre, et la forme écrite de notre dialogue empêche les nuances de timbre et de ton, le miel de l'amitié et de la convivialité humaines, qui rendraient ces propos moins amers en bouche. Mon souci, est-il nécessaire de le préciser, n'est pas ici de vaincre un quelconque adversaire au cours d'une joute oratoire mais plutôt de rendre (aussi humblement que mes propres défauts d'amour propre le permettront) témoignage à la vérité, en aidant à un discernement sur les données de la foi dans le foisonnement babélien des idées qui caractérise notre époque postmoderne. Si j'ose le faire malgré mon insignifiance, c'est que je ne me fonde pas sur mes idées personnelles, mais sur la splendeur de la doctrine de la foi que l'Eglise a reçue en dépôt et qu'elle proclame à travers les siècles à toutes les générations humaines. Puisse le Seigneur nous bénir et nous établir à jamais dans l'amour du Christ, Voie, Vérité et Vie.

Écrit par : ph. martin | lundi, 22 juillet 2013

Cher M. Martin, ce que je dis, c'est comme la foi, il faut l'avoir pour comprendre. Ce à quoi nous sommes appelés n'est pas une vaine promesse. Je le sais, car je le vis, c'est pourquoi j'en témoigne. Libre aux hommes de le croire, ou non. Le chemin du Christ mène bien quelque part, au Royaume d'où Dieu m'envoie faire signe, pour qui veut y aller. As salam alaykoum. Prenez cette paix si vous voulez, sinon elle retourne sur moi ! Lumière sur lumière, et paix sur paix.

Écrit par : Alina Reyes | lundi, 22 juillet 2013

Effectivement, tout compte fait, il semble que votre "voyage" vous ait menée un peu trop loin pour qu'on puisse se rejoindre. Vous comptez beaucoup d'adeptes dans votre ordre des pèlerins de l'amour? Ou n'est-ce là qu'expression artistique?

Écrit par : ph. martin | lundi, 22 juillet 2013

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