dimanche, 13 janvier 2013
L'initiative des paroisses en Suisse alémanique
En pleine année de la foi, pour les 50 ans du Concile Vatican II, les réponses existent déjà de ce côté là. Avoir des avis différents sur ces mêmes questions, très internes à notre milieu, ne veut pas dire que le dialoge n'existe pas, ni que "Rome" n'ait pas déjà répondu. La foi est la première de toutes les réformes à mettre en place, car la prière nous change tous de l'intérieur.
L'Eglise ne souffre pas d'abord d'un rapport de force, mais d'un manque de vitalité et de vie intérieure.
07:10 | Lien permanent | Commentaires (2) | | |
Commentaires
Bonjour monsieur l'abbé,
Et merci beaucoup d'avoir recommencé à publier informations et commentaires. C'est en cliquant avec nostalgie sur un lien dont je pensais qu'il me dirigerait au mieux sur la page de fermeture du blog, que je découvre votre "retour".
Sincères salutations d'un lecteur français qui s'interroge sur l'apparente absence de réaction du pouvoir face à la manif pour tous (même sans changer son projet, il pourrait au moins ne pas faire comme si à peu près rien ne s'était passé... est-ce que cela s'analyse en terme de stratégie médiatique ou est-ce simplement parce que le pouvoir se sent dépassé par ses propres contradictions?), lecteur qui se dit que, malgré leur science de la mise en scène, il y a une chose très parlante que les médias n'ont pas pu ne pas mettre en valeur hier soir: la mine déconfite et les propos interloqués des partisans du "mariage pour tous", c'était phénoménal.
Meilleurs voeux, aussi, d'un Français qui a vu à l'oeuvre une sorte de lobby épris des "initiatives" de Mgr Rouet et prônant leur mise en oeuvre dans un diocèse fort éloigné et fort différent de celui de Poitiers... et la déconfiture dudit lobby quand il est "forcé" (par personne mais par le cours des choses) de constater ce que vous dites au sujet l'affadissement de la foi comme origine des problèmes qu'on prétend résoudre par des "initiatives" et avec beaucoup de paroles, alors que ces "initiatives" (outre les problèmes ecclésiologiques et canoniques qu'elles posent) demandent beaucoup de dévouement que leurs promoteurs semblent toujours sous-estimer, c'est pourquoi ils sont plus ou moins rapidement bloqués quand, notamment ceux qui sont séduits par leurs propos leur demandent: mais qui assumera concrètement et quotidiennement et dans la durée tout cela?. Ainsi donc la vitalité du dévouement est proportionnelle à celle de la foi qui, là où elle n'est pas affadie, aide les uns et les autres à cultiver un dévouement au service d'initiatives bien différentes.
Très cordialement.
C.J.
Écrit par : Jauffret | lundi, 14 janvier 2013
cordialement! Merci
Écrit par : Don Dom | lundi, 14 janvier 2013
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