jeudi, 20 mai 2010
Priorité aux victimes
Regardant ce soir l'émission de TV sur Rai 2 de Michele Santoro "Annozero", consacrée au scandale de la pédophilie, une phrase phare me semble d'abord capitale:
Ceux et celles qui cherchent la vérité et la justice, souvent au prix de grande souffrance et de patience, sont simplement l'Eglise persécutée. En entendant, le coeur blessé et saignant et l'âme épouvantée le récit du calvaire passé, présent et futur des victimes, l'Eglise, ce sont elles.
Aussi, uni au Pape Benoît XVI, interprétant le message de Fatima, il est parfaitement légitime de penser que les victimes font parties des âmes souffrantes qui cheminent vers la grande croix que les trois voyants enfants Lucie, Jacinthe et François ont vu dans leur vision venue du ciel par la Vierge. L'Eglise est souffrante en eux. A quand une grande manifestation sur la place Saint Pierre pour les soutenir ?
Par le silence et l'enlisement, une petite partie d'hommes d'Eglise ne défendent pas la réputation de l'Eglise, car seule la vérité est sa couronne d'épines.
Enfin, remonter au Pape pour l'accuser consiste à oublier que les évêques du monde entier sont les premiers responsables de leur diocèse. Aussi, pour le cas si tragique du Père Murphy, prêtre américain décédé en 1998, qui a abusé tant d'enfants sourds et muets, c'était à l'évêque de Milwaukee de prendre toutes les mesures. Ceci a été affirmé par l'évêque présent sur le plateau de RAI 2.
Voilà pourquoi Jean Paul II, appuyé par le cardinal Ratzinger et Mgr Bertone, ont rédigé des normes pour obliger les églises locales à faire remonter à la congrégation de la foi, tous les cas d'abus. Ceci remonte au Motu Proprio de 2001. Aussi pas d'anachronisme.Hans Küng qui veut une Eglise moins papale, moins centralisée, se contredit, en voulant que le Pape soit soudainement le grand responsable de tout.
Une autre phrase: la pédophilie n'est pas une affaire sexuelle, c'est une pathologie et un crime, qui n'a rien à voir avec le célibat ou le mariage
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Après les deux parties (ndlr: enfer et erreur du communisme avec la Russie) que j'ai déjà exposées, nous avons vu sur le côté gauche de Notre-Dame, un peu plus en hauteur, un Ange avec une épée de feu dans la main gauche; elle scintillait et émettait des flammes qui, semblait-il, devaient incendier le monde; mais elles s'éteignaient au contact de la splendeur qui émanait de la main droite de Notre-Dame en direction de lui; l'Ange, indiquant la terre avec sa main droite, dit d'une voix forte: Pénitence!Pénitence! Pénitence! Et nous vîmes dans une lumière immense qui est Dieu: “Quelque chose de semblable à la manière dont se voient les personnes dans un miroir quand elles passent devant” un Évêque vêtu de Blanc, “nous avons eu le pressentiment que c'était le Saint-Père”. Divers autres Évêques, Prêtres, religieux et religieuses monter sur une montagne escarpée, au sommet de laquelle il y avait une grande Croix en troncs bruts, comme s'ils étaient en chêne-liège avec leur écorce; avant d'y arriver, le Saint-Père traversa une grande ville à moitié en ruine et, à moitié tremblant, d'un pas vacillant, affligé de souffrance et de peine, il priait pour les âmes des cadavres qu'il trouvait sur son chemin; parvenu au sommet de la montagne, prosterné à genoux au pied de la grande Croix, il fut tué par un groupe de soldats qui tirèrent plusieurs coups avec une arme à feu et des flèches; et de la même manière moururent les uns après les autres les Évêques les Prêtres, les religieux et religieuses et divers laïcs, hommes et femmes de classes et de catégories sociales différentes. Sous les deux bras de la Croix, il y avait deux Anges, chacun avec un arrosoir de cristal à la main, dans lequel ils recueillaient le sang des Martyrs et avec lequel ils irriguaient les âmes qui s'approchaient de Dieu.
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