Dimanche de la Divine Miséricorde

"La limite imposée au mal, dont l'homme est l'auteur et la victime, est en définitive la Divine Miséricorde" (Jean-Paul II)

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Dans le tsunami qui secoue l'Eglise ayons confiance en Jésus. La limite imposée au mal est la divine miséricorde affirmait Jean Paul II dans son dernier livre. Sa mort, le samedi soir 2 avril 2005 à 21h37 en la veille du dimanche de cette fête est clairement son héritage.

Comme prêtre, je peux en témoigner. L'opinion publiée, les journaux, la TV, la Radio, le Net, n'est pas l'opinion publique.  Dieu sonde les reins et les coeurs, c'est lui qui a la plus large audience. Pour savoir comment va l'Eglise, il ne faut pas suivre que les titres des médias. Je rencontre des âmes saintes, touchées par la grâce de la foi, des malades, des saints et des saintes... Le bien ne fait pas de bruit, comme le Christ qui a jailli en silence du tombeau. Certes, nous devons faire des gros progrès pour communiquer cette foi.

Oui, c'est vrai, un cancer ronge l'institution des hommes d'Eglise, oui des victimes souffrent en silence, victimes de crimes éxecrables et le scandale réside dans cette chape de plomb que certains évêques, qui ne sont pas en communion d'esprit et de coeur avec le Pape Benoît XVI, ne veulent pas lever, par peur de la vérité, par omerta. Mais Jésus est à la tête de Son Eglise, son vicaire Benoît XVI tient ferme la barque  avec les évêques et les prêtres en union avec lui; L' Eglise semble couler et assaillie par les flots en furies. Mais l'Esprit Saint souffle dans les voiles, et le Père, notre tendre Père, nous sert contre lui, dans la nuit claire obscure de la foi.

Bonne fête de la Divine Miséricorde à vous tous, vous avez été bien plus de 8000 visiteurs en ce seul mois de mars dernier. Que Dieu vous garde dans la foi.