samedi, 13 mars 2010
Pédophilie: Mgr Tomasi
remarque: Benoit XVI ne dit pas autre chose
Pas d'excuses pour les abus sur des enfants commis par un membre du clergé
ROME, Vendredi 12 mars 2010 (ZENIT.org) - « Il n'y a pas d'excuses » pour les abus sexuels sur des mineurs commis par des membres du clergé, et ce très grave comportement est un problème qui doit être affronté avec fermeté pour qu'on puisse « le résoudre définitivement », a déclaré Mgr Silvano Maria Tomasi, représentant permanent du Saint-Siège auprès des Nations unies et des institutions internationales à Genève, lors de la 13ème session du Conseil pour les droits de l'homme sur les droits des enfants.
Les abus sexuels sur mineurs constituent « un crime odieux », a-t-il affirmé dans des propos rapportés par « Radio Vatican ».
En même temps qu'une « claire condamnation de la violence sexuelle contre les enfants et les jeunes », a-t-il expliqué, le pape Benoît XVI « a ajouté la dimension religieuse, réaffirmant que l'abus est aussi un grave péché, qui offense Dieu et la dignité humaine ».
« L'intégrité physique et psychologique des mineurs est violée avec des conséquences destructrices », a-t-il souligné, rappelant que diverses études ont montré que les enfants victimes d'abus sont ensuite plus exposés à des problèmes comme « les grossesses en période d'adolescence, la perte de repères, la toxicomanie et l'alcoolisme ».
« La protection contre les agressions sexuelles se trouve au sommet de la liste des priorités de toutes les institutions de l'Église qui se battent pour mettre fin à ce grave problème », et « des mesures concrètes pour garantir la transparence et l'assistance aux victimes et à leurs proches sont des moyens pour soulager les peines, la douleur et l'égarement que provoquent ces abus ».
Mgr Tomasi a fait remarquer que ces dernières années « dans divers pays, des prêtres, des religieux et des membres du laïcat catholique, ont été accusés d'abus sur mineurs et nombre d'entre eux ont été condamnés ».
« Aucune excuse ne justifie un tel comportement », a-t-il commenté.
Dans ce contexte, « la communauté catholique s'emploie à résoudre définitivement ce problème », et « les coupables de tels crimes sont immédiatement suspendus de leurs fonctions et encourent les peines prévues par le droit civil et le droit canonique ».
Selon Mgr Tomasi, la prévention est « le meilleur remède ».
A cette fin, est nécessaire « une éducation et une promotion à la culture du respect des droits humains et de la dignité de chaque enfant, à travers l'utilisation de méthodes efficaces de sélection lors du recrutement du personnel scolaire ».
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Commentaires
Je suis religieuse et secrétaire de M, André Paré. A l'âge de 9 ans il a été agressé par le frère Basile, professeur et par le Père Jogues, directeur de cette école. Plus tard, il s été agressé par le Père Henri Paradis, Société des St-Apôtres. Les évêques de Montréal, cardinal Turcotte ainsi que l'Archevêché de Longueur, Mgr Lionel Gendron n'ont rien fait pour lui.Ils ne répondent même pas à ses lettrres.
M André Paré est aux prises avec de multiples séquelles et ne peut travailler depuis l'âge de 40 ans. Le 13 janvier 2014, j'ai envoyé au Pape François, le dossier de M. Paré pour qu'il soit étudié et le 17 jan. 2014, Mgr Welsh me disait que l'étude serait faite et que le dossier était bien arrivé. J'ai écrit une lettre au Pape pour ce dossier le 13 jan. 2014. Nous sommes rendus au 14 mai, et M. Paré n'a encore rien reçu de cette étude. Quand recevra-t-il votre résultat de cette étude? Mon téléphone est (45o) 631-3422
Tél. (450) 909-1609
Adresse électronique: (514) 354-1161. Merci
!Marielle Boileau
J'attends votre réponse tél.: 1-
Écrit par : Marielle «boileau | mercredi, 14 mai 2014
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