mardi, 20 octobre 2009
Minarets et les émotions de Jacques Neirynck
La menace d'une islamisation du pays, brandie par les initiants, est clairement rejetée. "Cela relève du fantasme et de la névrose", a lancé Jacques Neirynck.
En réthorique, cela s'appelle détourner l'attention. L'objet et le contenu de la discussion n'est plus les islams, mais la personne qui parle. Je détournerais aussi l'attention en attaquant Mr Neirynck, en affirmant qu'il est vieux et qu'il doit démissioner, comme il l'avait souvent réclamé pour Jean Paul II.
Je pense que nous devons tous nous cultiver et connaître la réalité des islams afin que nous tous citoyens suisses puissions voter en toutes connaissances de causes, avec un esprit calme et une raison éclairée.
Le blog de Vincent Pellegrini / Le coran à l'école Italie sur Benoît et moi
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