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mardi, 24 février 2009

Hans Küng: Interview dans "Le Monde".

h_9_ill_833713_arp1704957.jpgUn homme qui n'a jamais été excommunié, qui n'est plus catholique car il l'a voulu et choisi librement, qui s'est lancé dans un projet écologique qui ne marche pas et qui a été reçu courtoisement par le Pape Benoît XVI en 2005.

Hans Küng, un suisse, un homme qui aime se confronter au Pape mais qui n'a plus aucune autorité pour parler et enseigner comme catholique. Il serait devenu adepte des religions oritentales semble-t-il, chacun est libre. Il s'oppose au Pape pour se poser. Sans le Pape, ses idées ne seraient en fait que peu de chose. Cela ressort dans ses deux gros livres autobiographiques. Dommage qu'un homme cultivé comme lui ne se souvienne pas: soit qu'il serait peut-être tant de démissioner (il a souvent trompêté ce refrain à Jean Paul II) , soit que la vie éternelle se rapproche aussi pour lui, comme pour nous tous. La nature est ainsi faite. On peut tendre une main pour dialoguer aussi avec lui. Ceci dit tous ceux qui espèrent une ouverture de son côté oublient que Hans Küng a rencontré le Pape en 2005, ce qui démontre une belle attitude de paix et de fraternité chez Benoît XVI

J'ai lu son autobiographie assez ennuyeuse. Sa personne, son moi, est au centre de tout. C'est rare de voir une personne parler autant d'elle même. La fin son interview dans "Le Monde" est pathétique et révélatrice: "ceux qui ont compris le Concile comme moi".

Mgr Grab disait à Berne, après la visite du Pape aux jeunes suisse en 2004, en conférence de presse pour les propos aigris de Hans Küng envers Jean Paul II:  "il est important de ne pas s'aigrir de sa propre veillesse".

Benoît XVI a une audience mondiale, a voyagé en Allemagne, aux USA, ira en Afrique, puis en Jordanie, en Israël, parle avec nos frères Juifs et avec les musulmans, reçoit des personnalités du monde entier et fut enfin le cardinal le plus apprécié par les évêques lors des visites ad limina durant son service à la doctrine de la foi à Rome. Enfin, il a une audience d'environ 12 000 personnes chaque semaine, sans compter l'Angélus. Il y a plus de 1 milliard de catholiques dans le monde. Pour Hans Küng, sans doute éprouve-t-il une certaine jalousie ? Car les jeunes ne se déplacent en tout cas pas pour l'écouter. Sans doute reproche-t-il secrètement à l'Esprit Saint de ne pas l'avoir élu Pape ? comment se fait-il que Dieu n'ai pas compris son intelligence ? Car il choisit les humbles, comme Marie, comme Joseph.... Ratzinger.

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Cardinal Sodano

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ROME, Mercredi 25 février 2009 (ZENIT.org) - Une critique fraternelle a toujours existé dans l'Eglise, mais le cardinal Sodano regrette que parfois la critique ne porte pas parce qu'elle est « générale » et « amère ».

Le cardinal Angelo Sodano, doyen du collège des cardinaux et secrétaire d'Etat émérite, a répondu, au micro de Radio Vatican (RV) aux propos de Hans Küng dans « Le monde » en France, repris par « La Stampa » en Italie.

RV - Hans Küng a tenu des propos très forts contre l'Eglise. Vous, qui est doyen du collège des cardinaux, qu'en pensez-vous ?

Card. Sodano - Ce matin, j'ai été blessé, intérieurement, en lisant l'interview qui aurait été accordée par le Rév. Prof. Hans Küng au quotidien français « Le Monde » et qui a été ensuite diffusé en Italie par le journal « La Stampa ». Si le texte est exact, je ressens le devoir de dire qu'il s'agit d'affirmations générales et pas prouvées. Je suis témoin personnellement de l'engagement du Saint-Père pour faire de l'Eglise une famille, la famille des enfants de Dieu.

RV - Eminence, vous n'avez pas été surpris que justement un quotidien italien ait repris cette interview donnée au « Monde » ?

Card. Sodano - Ne comprenant pas comment un quotidien italien connu, bien au courant de l'œuvre du pape ait pu offrir tant de publicité à cette interview, en lui donnant en outre un titre - entre guillemets - différent de celui de l'original en français, et en tombant ensuite dans l'erreur de parler du Concile œcuménique de Nicée, aujourd'hui en Turquie, qui s'est tenu en 325, comme du Concile de Nice !

RV - Cardinal Sodano, que pensez-vous de ces critiques faites à l'Eglise ?

Card. Sodano - Une critique fraternelle est toujours possible dans l'Eglise, depuis l'époque de saint Pierre et de saint Paul. Une critique amère, au contraire, et d'autant plus si elle est générale, ne contribue pas à l'unité de l'Eglise, à laquelle le pape Benoît XVI travaille tellement, lui que l'Esprit Saint a placé à la tête de la Sainte Eglise de Dieu, en cette heure importante de son histoire.

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Blog de Patrice de Plunkett

Commentaires

Hans Kung denonce ce que tout le monde pense tout bas.Que DIEU continue à lui donner courage et force pour defendre la SAINTE PAROLE DE DIEU.En effet les papes s eloignent de plus en plus des Paroles ecrites dans la Ste Bible aux profit de leurs lois a leur convenance.C est pour cette unique raison que l eglise tombe en ruine.
DE GRACE REVENONS A LA SAINE DOCTRINE DE NOTRE SEIGNEUR JESUS CHRIST POUR LA METTRE EN PRATIQUE .
Jesus s etait fache plusieurs fois durant son minister terrestre par rapport aux pharisiens qui annulaient les commandements de DIEU au profit de loi humaines..
Revenons a la SOURCE:JESUS CHRIST et l oecumenisme se fera.en plus!!!
cordialement

Écrit par : laburre | vendredi, 13 novembre 2009

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