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vendredi, 29 mars 2019

La plus grande persécution de l’Eglise ne vient pas d’ennemis « du dehors » mais « du dedans ». Pourquoi la barque ne coulera pas, par l'abbé Amar (Padreblog)

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La plus grande persécution de l’Eglise ne vient pas d’ennemis « du dehors » mais « du dedans ».

 

Pourquoi la barque ne coulera pas, par l'abbé Amar (Padreblog)

 

... La scène se passe à Rome, le vendredi saint 2005. La foule des chrétiens, rassemblée ce jour-là pour méditer le chemin de croix, entend la méditation du prédicateur : 

« Souvent, Seigneur, ton Église nous semble une barque prête à couler. Et dans ton champ, nous voyons plus d’ivraie que de bon grain. Les vêtements et le visage si sales de ton Église nous effraient. Mais c’est nous-mêmes qui les salissons ». 

Celui qui parle ainsi sera élu pape quelques semaines plus tard sous le nom de Benoît XVI.

Ces mots ont presque quinze ans. Et ils sont encore d’actualité. Au cœur même de l’Eglise, les contre témoignages sont flagrants, nombreux, scandaleux. Comme l’a avoué un jour le pape Benoît XVI, la plus grande persécution de l’Eglise ne vient pas d’ennemis « du dehors » mais « du dedans ».

Mais ce qui heurte certainement le plus c’est que depuis des décennies, malgré les révélations et les déclarations, rien ne semble avoir bougé.

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