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mardi, 26 septembre 2017

Le site de la correction filiale censuré par le Vatican: Greg Burke « comme si nous faisions cela pour un document de 62 signatures… »

Le site de la correction filiale censuré par le Vatican: Greg Burke « comme si nous faisions cela pour un document de 62 signatures… »

Unknown.jpegAucune censure contre le site qui a publié la Corretion Filialis qui accuse le pape François de propager 7 hérésies. C’est ce qu’a assuré, dès hier après-midi lundi 25 septembre, la Salle de Presse du Saint-Siège qui dément ainsi la rumeur diffusée le matin de ce même jour par l’ANSA, la plus importante agence de presse italienne.

Cette dernière avait titré « Le Vatican bloque le site qui soutient les accusations d’hérésies au pape » et expliquait que l’accès au site aurait été bloqué par la Secrétairerie pour la communication du Vatican « en accord avec les politiques de sécurité institutionnelles ».

Greg Burke, le directeur de la salle de presse, a réagi en niant une volonté de censure, « clairement ce n’est pas cela », et en expliquant que « sur certains ordinateurs de la Salle de presse, comme sur ceux de diverses agences, il y a des filtres qui se mettent en marchent automatiquement pour empêcher différents contenus online, de la pornographie aux malware de la publicité » ; ils règlent donc la navigation sur Internet au sein du Vatican.

Ces filtres en question « empêchent de demander ou fournir des informations personnelles, pour éviter des opérations non désirées » « C’est ce qui se passe depuis toujours, déclare la salle de presse du Saint-Siège, pour tous les sites qui demandent ce type d’informations », et « cela pour des motifs de sécurité ». C’est pourquoi, est-il précisé, de la salle de presse du Vatican on peut accéder au site de la Correction Filialis mais on ne peut pas signer la pétition puisqu’elle demande de fournir certaines informations personnelles à l’étranger. Les ordinateurs, a continué d’expliquer Greg Burke, dévient alors vers une page sur laquelle on lit : « L’accès à cette page web à été bloqué pour motif de sécurité ».

En démentant toute censure, Greg Burke a répondu : « Comme si nous faisions cela pour un document de 62 signatures… » 

 

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