samedi, 17 septembre 2016
Belgique: première euthanasie d'un enfant
L'euthanasie est légale depuis 2002 en Belgique pour les personnes majeures. En 2014, une loi étendant ce droit aux mineurs a été adoptée
Si seulement, comme on dit en Belgique, ce n'était "qu'un fois ". Que dire, sinon d'abord cela:
La vie est la vie
La vie est beauté, admire-la
La vie est félicité, profites-en.
La vie est un rêve, réalise-le.
La vie est un défi, relève-le.
La vie et un devoir, fais-le.
La vie est un jeu, joue-le.
La vie est précieuse, soigne-la bien.
La vie est richesse, conserve-la.
La vie est amour, jouis-en.
La vie est un mystère, pénètre-le.
La vie est une promesse, tiens-la.
La vie est tristesse, dépasse-la.
La vie est un hymne, chante-le.
La vie est un combat, accepte-le.
La vie est une tragédie, lutte avec elle.
La vie est une aventure, ose-la.
La vie est bonheur, mérite-le.
La vie est la vie, défends-la.
Sainte Mère Teresa de Calcutta
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Belgique: première euthanasie d'un mineur
(Radio Vatican) En Belgique, un mineur a été euthanasié, à sa demande. Aucune précision n'a été donnée sur l'identité ou le dossier de ce mineur, si ce n'est qu'il souffrait d'une maladie en phase terminale. C'est une première depuis l'adoption, en 2014, de la loi étendant le droit à l'euthanasie aux mineurs atteints d'une maladie incurable et dont les souffrances sont insupportables.
Tout en confirmant l'information, le président de la Commission fédérale de contrôle et d'évaluation de l'euthanasie a souligné que ce cas de figure demeurait exceptionnel et réservé aux cas désespérés. «Il n'y a heureusement que très peu d'enfants qui entrent en considération, mais cela ne signifie pas que nous devrions leur refuser le droit à une mort digne», a-t-il expliqué.
«Une situation médicale sans issue»
L'euthanasie est légale depuis 2002 en Belgique pour les personnes majeures. En 2014, une loi étendant ce droit aux mineurs a été adoptée, faisant de la Belgique le deuxième pays à autoriser l'euthanasie des mineurs après les Pays-Bas. La loi belge ne prévoit aucune limite d'âge mais requiert des conditions strictes. Elle énonce que le mineur devra se «trouver dans une situation médicale sans issue entraînant le décès à brève échéance».
Il devra également être confronté à une «souffrance physique constante et insupportable qui ne peut être apaisée et qui résulte d'une affection accidentelle ou pathologique grave et incurable». L'enfant ou adolescent doit prendre l'initiative de la demande, étudiée par une équipe médicale et un psychiatre ou psychologue indépendant. Les parents doivent également donner leur consentement.
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