Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 03 février 2016

Le Pape François et le Family Day en Italie

images.jpeg"il ne peut y avoir aucune confusion entre la famille voulue par Dieu et tout autre type d'union"

 

Pape François

Cette phrase suffit amplement pour que les laïcs prennent leur responsabilité face au mariage pour tous en Italie. Le Pape est anticlérical, ne veut pas que les laïcs jouent le rôle des prêtres et les prêtres le rôle des laïcs. 

Pour connaître d'avantage sa pensée, doit-on encore rappeler que comme archevêque de Buenos Aires, il avait été l'un des grands opposants au mariage pour tous ? le comparant à une tentative du diable, de se prendre pour Dieu, créateur de l'homme et de la femme ?

 

Commentaires

Il faut le dire en toute franchise : François préside à la reddition silencieuse de l'Église dans la guerre de la culture au nom pratiquement de la totalité de la hiérarchie Catholique. Un seul Évêque dans l'Église a assisté à la Journée de la Famille. À l'argument selon lequel la guerre est déjà perdue et que l'Église ne peut rien faire pour affecter le résultat final, le Catholique ne peut que répondre : Où est votre foi en la Puissance de la Grâce Divine pour renouveler la face de la terre lors du plus sombre moment de l'histoire humaine comme nous l'avons vu encore et encore au cours des 2 000 dernières années — et dont Notre-Dame nous a promis cette Grâce à Fatima si seulement le Pape et les Évêques puissent faire comme Elle a demandé ?

En outre, où se trouvaient les dirigeants de l'Église alors que l'ennemi gagnait du terrain au cours des cinquante dernières années du « renouveau conciliaire » ? La réponse est : en sécurité dans les murs de leurs biens immobiliers, sans rien dire et sans rien faire pour arrêter l'avance. C’est exactement là que se trouvait François quand deux millions de Catholiques réunis à Rome tentaient de faire le travail qui lui appartenait à lui avant tout et aux autres bergers de l'Église Universelle.

Mais les bergers n’ont pas été vus nulle part au Jour de la Famille. Notre Seigneur nous dit pourquoi : « Le mercenaire n'est pas vraiment le berger ; les brebis ne lui appartiennent pas. Il les abandonne et s'enfuit quand il voit venir le loup. Alors le loup se jette sur les brebis et disperse le troupeau. Voilà ce qui arrive parce que cet homme ne travaille que pour de l'argent et ne se soucie pas des brebis. (Jn 10 : 12-13.) ».

Aujourd'hui, nous entendons des palabres sans fin sur la « miséricorde » et sur la « proximité » au troupeau. Mais comment se fait-il que ce que nous voyons à la place est un silence impitoyable face à l'avancée du mal et une hiérarchie qui, pour toutes ses démonstrations d’amitiés et ses embrassades de bébés, affiche la froideur d'un homme politique dont le premier souci est de préserver son statut avec le pouvoir qui suit ?

Écrit par : Steve | jeudi, 04 février 2016

Les commentaires sont fermés.