mardi, 07 octobre 2014
Pages spéciales du Vatican pour le Synode sur la Famille
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Commentaires
On comprend bien votre prudence ! Aucun mot sur la différence de fonction de ce synode-ci par rapport au précédant synode.
Allez ! Voyons ! Un peu de courage !
Pourquoi ne dites-vous pas qu'aucune intervention des évêques du synode sur la famille ne vient rendue publique en fin de journée par la publication de tous les textes comme cela le fut pour tous les synodes précédants ?
On vous attend sur ce point précis ...
Doit-on aussi s'attendre à un synode des médias comme ce fut le cas du concile des médias ainsi défini par Benoît 16 ? Le card. Kasper dans son rôle d'agitateur Prod réussira-t-il à finaliser son action médiatique ? Attendons pour voir un peu ses déclarations et affirmations publiques qui seront bien sûr hautement soutenu par l'écho qu'en donneront la chorales des médias tombées en amour avec le pape et l'Eglise catholique en général.
Ave !
Écrit par : Jean-Philipe de la Dentelière | mercredi, 08 octobre 2014
Il n'a jamais été question de rendre tous les textes au public, aux médias. Ce sont les Pères du Synode, individuellement qui décident ce qu'ils veulent publier ou pas. Cela sert à garder la liberté et protéger aussi les ressortissants des pays "à risque". Donc je ne vous pas de changements de ce côté là.
Écrit par : Don Dom | jeudi, 09 octobre 2014
Personnellement, je me range à l'avis du cardinal Muller, qui appelle de ses voeux la publication des interventions, le peuple de Dieu ayant le droit de connaître l'avis de ses pasteurs sur un sujet qi les concerne de près. On en est réduit à lire des synthèses dont la partialité est si évidente au'on en tirait si ce n'était pas si grave.
Écrit par : ph. martin | vendredi, 10 octobre 2014
ERRATA
Personnellement, je me range à l'avis du cardinal Muller, qui appelle de ses voeux la publication des interventions, le peuple de Dieu ayant le droit de connaître l'avis de ses pasteurs sur un sujet qui les concerne de près. On en est réduit à lire des synthèses dont la partialité est si évidente qu'on en rirait si ce n'était pas si grave.
Écrit par : ph. martin | vendredi, 10 octobre 2014
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