Cocaïne et canabis dans une voiture du Vatican ?

 Vatican: canabis et cocaïne

Cocaïne et cannabis dans une voiture du Vatican http://t.co/ohWkhSAZqJ #faitdivers

— LeMatin.ch (@Lematinch) 16 Septembre 2014

Si l'AFP, agence de presse leader et mondiale donne la nouvelle, cette info fera très rapidement le tour du monde, déclinée par les différents médias qui s'alimentent aux agences de presse. 

France : Le Saint-Siège assure qu’il n’est pas directement concerné dans un trafic de drogue.

16 septembre 2014, 11:54

I.Media

I.Media: cocaïne et canabis dans une voiture du Vatican

Le Saint-Siège a confirmé le 16 septembre 2014 à I.MEDIA qu’un véhicule immatriculé au Vatican avait été interpellé 2 jours plus tôt en France avec de la drogue à son bord, assurant cependant qu’aucun employé du petit Etat n’était directement impliqué dans cette affaire.

La radio française RTL avait annoncé un peu plus tôt que des douaniers avaient arrêté 2 hommes à bord d’un véhicule diplomatique du Vatican transportant 4 kilos de cocaïne et 150 grammes de résine de cannabis. Un responsable du Bureau de presse du Saint-Siège a ainsi confirmé l’information selon laquelle les 2 Italiens arrêtés lors d’un contrôle routier à Chambéry, en Savoie, circulaient à bord d’une voiture appartenant au cardinal argentin Jorge Mejia, ancien archiviste et bibliothécaire de la Sainte Eglise Romaine.

Celui-ci, âgé de 91 ans, est actuellement alité. C’est son secrétaire particulier qui aurait prêté le véhicule aux 2 hommes. Selon la radio française, le secrétaire du haut prélat aurait confié le véhicule aux 2 hommes afin qu’ils en fassent la révision. Ce dont ils auraient profité pour effectuer un aller-retour en Espagne et y acheter la drogue, pensant échapper aux contrôles grâce à leur plaque d’immatriculation diplomatique.

Interpellés, les suspects seraient encore en garde-à-vue dans la région lyonnaise. 2 jours à peine après son élection, le 15 mars 2013, le pape François avait rendu visite dans une clinique romaine à son compatriote, le cardinal Jorge Mejia, victime d’un infarctus. AMI