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dimanche, 23 février 2014

Suisse: combattre l'homophobie, mais laquelle ?

Unknown-1.jpegLa commission des affaires juridiques du Conseil national souhaite étendre la norme pénale antiraciste à la discrimination basée sur l'orientation sexuelle. Par 14 voix contre 10, elle a soutenu l'initiaitive parlementaire du Conseiller national socialiste valaisan Mathias Reynard.

Définir l'homophobie

La violence, les moqueries, les insultes envers les personnes homosexuelles sont des péchés graves que la conscience chrétienne réprouve. Toute personne est aimée par Dieu. Ce sont les actes qui sont intrinsèquement désordonnés.

La sexualité est ordonnée, comme une flèche qui est orientée vers la cible, dans le sens qu'elle engage la personne d'un homme et d'une femme, à l'intérieur du mariage, pour leur amour mutuel et la génération des enfants. 

Entre un homme et une femme mariés

J'espère que d'avoir cette vision naturelle et raisonnable de la sexualité humaine ne sera donc pas défini comme homophobe. Le fait qu'une personne puisse avoir une autre attirance sexuelle que cette tendance naturelle n'implique pas nécessairement une législation étatique. Ceci ne saurait être une discrimination. Par la raison, il est tout à fait possible de comprendre que la nature humaine est composée d'hommes et de femmes. C'est un donné de nature qu'un homme et une femme sont complémentaires et engendre la vie. 

Chercher le vrai, le beau et le bien

La sexualité implique toujours une croissance. Des psychologues américains ont bien compris qu'il est tout à fait possible de changer ces comportement sexuels. En ce sens, l'homosexualité n'est pas une fatalité.

Les propos du Pape François vont en ce sens: "si une personne homosexuelle cherche le Seigneur, qui suis-je puis juger ?". 

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