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mardi, 12 février 2013

Benoît XVI: Seewald et Célestin V

Loi de l'Eglise (droit canon)

§ 2. S'il arrive que le Pontife Romain renonce à sa charge, il est requis pour la validité que la renonciation soit faite librement et qu'elle soit dûment manifestée, mais non pas qu'elle soit acceptée par qui que ce soit.

 
 
 

Benoit et Moi revient sur deux signes

Lumière du Monde, best seller avec Peter Seewald

Il en avait déjà été question en décembre 2010, après la parution du livre-entretien avec Peter Seewald:

"Quand le danger est grand, il ne faut pas fuir. C'est justement pour cela que ce n'est vraiment pas le moment de démissionner. C'est dans des moments comme celui-ci qu'il faut résister et dépasser la situation difficile. C'est mon sentiment. On peut démissionner dans un moment de sérénité, ou lorsque tout simplement on n'en peut plus. Mais on ne peut pas fuir juste au moment du danger et dire: un autre n'a qu'à s'en occuper".

Célestin V, en juillet 2010

On relira en particulier l'homélie que Benoît XVI avait prononcée à Sulmona, dans les Abruzzes , le 4 juillet 2010, à l'occasion du 800e anniversaire de la naissance de Pietro del Morrone, le pape Célestin V (1209-1296) élu Pape à 84 ans sans être cardinal, et qui démissionna cinq mois après son élection. Il fut canonisé en 1313.

 
 
Benoît XVI avait remis son étole papal, ou plutôt Pallium (tissu de laine, avec 5 croix) au Pape canonisé.
 
Je pense ainsi que si le bienheureux Jean Paul II fut appelé comme Santo Subito, Joseph Ratzinger sera sans doute une fois Santo Illico
 

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