samedi, 29 octobre 2011
Pipi, puis caca... aussi on espère la fin!
(lire Benoît et Moi qui s'appuie subtilement sur un journaliste italien pour rester le plus "neutre" possible)
Après le pipi (Piss Christ), c'est le caca sic!, décidément, quelle culture et quel niveau! qui est mixé avec la face du plus doux et du plus beau des enfants des hommes, le Christ.
Et nos amis français catholiques, plus souvent français que catholiques, qu'ils me pardonnent, ont l'art de se diviser lorsqu'il faut s'unir. Les uns critiquent les autres; comme dans le fameux jeu des chiffres et des lettres pas mieux! (Patrice de Plunkett). Au lieu de demander unanimement mais fermement le respect pour tous les catholiques, de façon différente certes, ils se condamnent entre eux comme des petits gamins et des sales gosses. Diviser pour régner, tel est le jeux subtile mais gagnant des adversaires, car personne ne veut être taxé d'intégriste, on cherche tous à se démarquer de cette ultime insulte. Reste simplement alors pour les ennemis et les loups à provoquer pour taper là où cela fait mal, là où cela blesse et divise. Et le tour est joué.
Un homme, le maire de Paris, semble défendre l'Eglise catholique:
"Dans une lettre à "Mgr Vingt-Trois" rendue publique jeudi, le maire de Paris, Bertrand Delanoë, dit se sentir « proche » des "chrétiens" qui ont ressenti la caricature du "Christ" « comme une profanation ». « Aucun amalgame ne peut être toléré, ni même suggéré entre une grande religion porteuse d’une part de l’universel et les quelques fanatiques qui sèment la barbarie en son nom », écrit Bertrand Delanoë, en appelant « chacun des acteurs de cette affaire, les "chrétiens" et les journalistes, à l’apaisement »."
Désolé! c'est une lettre revue et corrigée (avec les guillemets), car elle s'adressait en fait à nos frères musulmans justement blessés par les caricatures de Mahomet.
L'évêque de Vannes, a écrit: "je ne peux que soutenir toute action visant à défendre, avec charité et fermeté, l’honneur du Christ et de l’Eglise. Je félicite et j’encourage tous ceux qui, en cohérence avec leur foi, n’hésitent pas à agir publiquement, et qui, bien que n’usant pas de violence, aussi bien verbale que physique, sont emmenés par les forces de police et placés en garde à vue, alors qu’ils manifestent, en toute justice, leur désapprobation face à des spectacles dont l’ignominie dépasse l’entendement même."
23:39 | Lien permanent | Commentaires (2) | | |
Commentaires
Bravo!
Ce n'est pas du tout parce que vous me citez, mais parce que vous tenez le langage de la raison.
Bien amicalement.
Écrit par : Beatrice B | dimanche, 30 octobre 2011
La France est un pays prodigieux, j'aime mes amis! Aussi, je ne comprends pas que dans un pays d'une telle culture, on arrive à tomber si bas, en plus dans le pays de la raison. J'aime bien vous citer, car vos recherches sont enrichissantes. Merci à vous!
Écrit par : Dominique Fabien | dimanche, 30 octobre 2011
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