De Saint Jean à Soeur Faustine

Le christianisme dans une société de l'image

Saint Suaire de Turin (image photo en négatif)

Lecture du Jour de la Divine Miséricorde

Livre de l'Apocalypse 1,9-11.12-13.17-19.
Moi, Jean, votre frère et compagnon dans la persécution, la royauté et l'endurance avec Jésus, je me trouvais dans l'île de Patmos à cause de la parole de Dieu et du témoignage pour Jésus.
C'était le jour du Seigneur ; je fus inspiré par l'Esprit, et j'entendis derrière moi une voix puissante, pareille au son d'une trompette.
Elle disait : « Ce que tu vois, écris-le dans un livre et envoie-le aux sept Églises : à Éphèse, à Smyrne, à Pergame, à Thyatire, à Sardes, à Philadelphie et à Laodicée. »
Je me retournai pour voir qui me parlait. Quand je me fus retourné, je vis sept chandeliers d'or ;
et au milieu d'eux comme un fils d'homme, vêtu d'une longue tunique ; une ceinture d'or lui serrait la poitrine ;
Quand je le vis, je tombai comme mort à ses pieds, mais il posa sur moi sa main droite, en disant : « Sois sans crainte. Je suis le Premier et le Dernier,
je suis le Vivant : j'étais mort, mais me voici vivant pour les siècles des siècles, et je détiens les clés de la mort et du séjour des morts.
Écris donc ce que tu auras vu : ce qui arrive maintenant, et ce qui arrivera ensuite.

La vision de Soeur Faustine, pour répandre telle une bonne secrétaire la vision du Christ dans une société de l'image, dépeint assez bien le vision de Saint Jean. Presque 2000 d'écart entre les deux visions, année 30 pour Jean sur l'île de Patmos en Grèce et 1930 pour Sr Faustine en Pologne.

Ce que tu vois, peint-le

Jésus a dit à Saint Jean d'écrire la vision et à Soeur Faustine de la peindre

"Ce que tu vois, écris-le"

Saint Jean