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mercredi, 22 avril 2009

Le pardon et la confession pour Mère Térésa

Le sacrement de la réconciliation

« Tout ce que tu auras délié sur la terre sera délié dans les cieux »

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La confession est un acte magnifique, un acte de grand amour. Là seulement nous pouvons nous rendre en tant que pécheurs, porteurs du péché, et de là seulement nous pouvons repartir en tant que pécheurs pardonnés, sans péché.

La confession n'est jamais que l'humilité entrée en action. Nous l'appelions autrefois pénitence, mais il s'agit vraiment d'un sacrement d'amour, du sacrement du pardon. Quand une brèche s'ouvre entre moi et le Christ, quand mon amour se fissure, n'importe quoi peut venir remplir cette fêlure. La confession est ce moment où je permets au Christ d'ôter de moi tout ce qui divise, tout ce qui détruit. La réalité de mes péchés doit être première. Pour la plupart d'entre nous le danger nous guette d'oublier que nous sommes pécheurs et que nous devons nous rendre en confession comme tels. Nous devons nous rendre vers Dieu pour lui dire combien nous sommes désolés de tout ce que nous avons pu faire et qui l'a blessé.

Le confessionnal n'est pas un lieu de conversations banales ou de bavardages. Y préside un seul sujet -- mes péchés, mes regrets, mon pardon, comment vaincre mes tentations, comment pratiquer la vertu, comment grandir dans l'amour de Dieu.

Bienheureuse Teresa de Calcutta (1910-1997), fondatrice des Soeurs Missionnaires de la Charité
No Greater Love (Il n'y a pas de plus grand amour), Lattès 1997, p. 116

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