dimanche, 19 octobre 2008
Fête de Saint Louis à Rome
La communauté française de Rome accueille un nouveau recteur
Mgr Valdrini, installé au cours d’une messe présidée par le cardinal Tauran
ROME, Dimanche 19 octobre 2008 (ZENIT.org)
Au cours d'une messe présidée ce dimanche par le cardinal Jean-Louis Tauran, une assemblée nombreuse a accueilli Mgr Patrick Valdrini comme recteur de Saint Louis des Français à Rome. Celui-ci a également été installé quelques instants auparavant recteur de la communauté des prêtres de Saint Louis.

depuis la gauche: Pères Dewarwin, LeQuellec, Mgr Ide, Madame Bernadette, Mgr Valdrini,
Pères Kruijen, Rimaz (premier suisse à la communauté!) et Petit.
Mgr Valdrini connaît déjà Rome car il occupait depuis deux ans la fonction de conseiller culturel à l'ambassade de France près le Saint Siège et de directeur du centre culturel St Louis de France à Rome. Depuis plusieurs années, il dispense aussi des cours en droit canonique à l'université pontificale du Latran.
Le cardinal Tauran, président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, a souhaité au nouveau recteur d'être dans la communauté qui lui est confiée un « ferment d'unité et de cohésion ».
M. Alexandre Morois, chargé d'affaire à l'ambassade de France près le Saint Siège, a rappelé le parcours universitaire de Mgr Valdrini soulignant ses responsabilités comme doyen de la faculté de droit canonique et recteur de l'Institut catholique de Paris pendant 12 ans.
Les cardinaux Vanhoye et Etchegaray ont assisté à l'eucharistie présidée par le cardinal Tauran et concélébrée par le cardinal Barbarin et Mgr Bruguès, ainsi que de nombreux autres prélats ou prêtres français. La communauté de St Jean en charge de St Nicolas des Lorrains à Rome et des représentants des communautés Monastiques de Jérusalem installées à la Trinité des Monts étaient présents pour témoigner leur amitié et leur volonté de travailler ensemble à la vie de la communauté catholique francophone de Rome.
Le père Bernard Ardura, administrateur des pieux établissements de France à Rome et à Lorette, a lu la nomination de Mgr Valdrini, en souhaitant « que cette communauté de St Louis soit une communauté brillante et accueillant dans laquelle les prêtres étudiants puissent trouver les meilleures conditions pour poursuivre leurs études et les couronner de succès ».
Concernant l'Eglise nationale des Français dont Mgr Valdrini est également recteur, le père Ardura a largement insisté sur l'accueil et le rôle central de l'Eglise St Louis pour les Français résidant à Rome.
Au cours de l'homélie, le cardinal Tauran a fait le lien entre les lectures du jour et la vie de saint Louis, qui « avait conscience que Dieu était roi avant lui. Ou plutôt, qu'il était roi, parce que Dieu le voulait à son service ».
En commentant la parole de Jésus : « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu », le président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux a rappelé l'importance de la politique.
« L'évangile ne nous demande pas de fuir le monde, mais de donner à César ce qui lui revient : être dans le monde, observer les lois, collaborer au fonctionnement des services communs, offrir la sagesse chrétienne (ce savoir-faire qui nous vient de notre expérience de vie en Eglise) à la société pour la rendre plus pacifique, plus respectueuse des droits de Dieu et de chacun... », a-t-il dit.
A la fin de la célébration, un apéritif a réuni toutes les personnes présentes sur le parvis de l'Eglise, pendant que les Scouts unitaires de France rattachés à St Louis se sont rassemblés pour le lancement de leurs activités.
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samedi, 18 octobre 2008
L'ami juif de Pie XII
Arrivée dramatique des Juifs à Auschwitz
Guido Mendes, l’ami juif de Pie XII
ROME, Vendredi 17 octobre 2008 (ZENIT.org)
- Dans son livre « Pie XII. Un homme sur le trône de Pierre » (Editions Mondadori) Andrea Tornielli raconte l'histoire de Guido Mendes, l'ami juif du pape Pacelli.
Spécialisé dans l'information vaticane, pour le quotidien italien « Il Giornale », Andrea Tornielli rappelle que : « Durant ses années de lycée, Eugenio avait noué une solide amitié avec quelques uns de ses camarades, en particulier avec l'un d'entre eux, Guido Mendes. Et le fait intéressant est que ce jeune garçon appartenait à la communauté juive de Rome ».
Il descendait d'une grande famille de médecins et de chercheurs en médecine depuis l'époque de la cour du roi Charles II d'Angleterre, où un de ses ancêtres était médecin.
Alors qu'il vivait à Ramat Gan, en Israël, au lendemain de la mort de Pie XII, le docteur Mendes parla au « Jérusalem Post » (10 octobre 1958) de cette amitié qui le liait au pape depuis l'époque où ils fréquentaient le même lycée Littéraire « E.Q. Visconti » de Rome.
« Eugenio Pacelli, écrit Guido Mendes, fut le premier pape à avoir partagé, dans sa jeunesse, un repas du Sabbat dans une maison juive et le premier à avoir discuté de façon informelle de théologie juive avec des membres importants de la communauté de Rome ».
Guido Mendes raconte aussi qu'Eugenio venait souvent chez lui, et vice-versa, et qu' « ils échangeaient sur leurs intérêts et idéaux ».
Il souligne par ailleurs qu'en dépit du climat anticlérical, hostile au catholicisme, qui prévalait à l'époque, Eugenio Pacelli était toujours prêt à intervenir en défense de l'Eglise. Le futur Pie XII manifestait beaucoup d'intérêt pour la religion juive et avait un jour demandé à son ami de lui prêter un livre du rabbin Ben Herzog qu'il tenait dans sa bibliothèque.
Dans son livre, Andrea Tornielli raconte qu' « après le lycée, l'un s'est lancé dans les études ecclésiastiques, l'autre dans les études de médecine. Ils parviendront malgré tout à se rencontrer de nouveau et la profondeur de leurs liens se manifestera particulièrement en 1938, lorsque Eugenio Pacelli, désormais secrétaire d'Etat, aura l'occasion de venir au secours de la famille Mendes, frappée par les lois antisémites promulguées par le gouvernement fasciste italien ».
« Le cardinal obtiendra pour eux la possibilité de trouver refuge en Suisse d'où, l'année suivante, ils s'expatrieront en Palestine », écrit-il.
Après la guerre, Guido Mendes et Pie XII auront encore deux rencontres qualifiées par le médecin juif d'« extrêmement cordiales », durant lesquelles ils parleront, entre autres, du statut de la ville de Jérusalem.
Guido Mendes évoquera le jour où le pape Pie XII, lors d'une rencontre avec un groupe de juifs ayant survécu aux camps de concentration, avait dit : « Bientôt, vous aurez un Etat d'Israël ».
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Les bienheureux parents de Sainte Thérèse de Lisieux

http://therese-de-lisieux.cef.fr
du cardinal Savaira Martins (courts extraits)
Les Martin ne sont pas saints pour avoir mis au monde une sainte, mais pour
avoir aspiré à la sainteté en tant que couple. Ils étaient animés d'un désir
réciproque, il y avait chez tous les deux la volonté de rechercher, dans
l'état de vie qu'ils avaient embrassé, la volonté de Dieu et l'obéissance à
son commandement : " Soyez saints car je suis saint ".
Louis et Zélie sont un exemple lumineux de vie conjugale vécue dans la
fidélité, dans l'accueil de la vie et dans l'éducation des enfants. Un
mariage chrétien vécu dans la confiance absolue en Dieu et qui peut être
proposé aux familles d'aujourd'hui. Leur vie matrimoniale a été exemplaire,
remplie des vertus chrétiennes et de sagesse humaine. Exemplaire ne signifie
pas que nous devons calquer, photocopier leur vie en reproduisant tous leurs
faits et gestes, mais que nous devons utiliser comme eux, les moyens
surnaturels que l'Église offre à chaque chrétien pour réaliser sa vocation à
la sainteté.
La famille de Louis et de Zélie, a été, pour leurs cinq enfants- quatre
autres sont morts en bas âge - le lieu privilégié de l'expérience de l'amour
et de la transmission de la foi. Dans la maison, dans l'intimité de la
chaleur familiale et de la vie domestique, chacun a reçu et donné. Au milieu
des multiples soucis professionnels, les parents ont su l'un et l'autre
communiquer les premiers enseignements de la foi à leurs propres enfants,
dès la plus tendre enfance. Ils ont été les premiers maîtres dans
l'initiation de leurs enfants à la prière, à l'amour et à la connaissance de
Dieu, en montrant qu'ils priaient tout seuls et ensemble, en les
accompagnant à la messe et aux visites au Saint-Sacrement ; ils leur ont
enseigné la prière, pas simplement en disant qu'il fallait prier mais en
transformant leurs maisons en " une école de prière ". Ils ont enseigné
combien c'était important de rester avec Jésus, en écoutant les Évangiles
qui nous parlent de lui. De plus, la vie spirituelle, cultivée dès la
jeunesse, comme ce fut le cas pour Zélie et Louis, s'alimentait à la source
de la vie paroissiale.
Chers frères et sœurs, Louis et Zélie nous révèlent une vérité simple, même
très simple : la sainteté chrétienne n'est pas un métier pour un petit
nombre. Elle est bien la vocation normale de tous, de chaque baptisé. Louis
et Zélie nous ont dit simplement que la sainteté concerne la femme, le mari,
les enfants, les soucis du travail, et même la sexualité. Le saint n'est pas
un surhomme, le saint est un homme vrai.
Ils ont été vrais ministres de la vie et parents saints qui ont engendré des
saints ; ils ont guidé et éduqué à la sainteté. La famille Martin, comme la
famille de Nazareth, a été une école, un lieu d'apprentissage et un lieu
d'entraînement à la vertu.
Une famille qui d'aujourd'hui va devenir un point
de repère pour chaque famille chrétienne.
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vendredi, 17 octobre 2008
Le silence de Pie XII ?
Entendus à Radio Vatican ( programme anglais, vendredi 10 octobre 7h00 )
- Le Jeudi 9 octobre, le Pape a célébré une messe pour le 50ème anniversaire de la mort de Pie XII. Bien que le Rabbin invité au Synode ai critiqué son silence, Benoît XVI a prié pour que sa cause de béatification avance. Pie XII est resté silencieux pour sauver un grand nombre de Juifs et éviter un dommage encore plus grand. Ceux qui furent présent à ses funérailles se souviennent de la foule et du message de Golda Meir pour remercier Pie XII de son action. Bien des Juifs furent très reconnaissant à ce serviteur de Dieu.
H2O News:
Benoît XVI a rappelé que Pie XII:
- a condamné les déportations et l'extermination
- est intervenu secrètement et en silence; la seule manière, à ses yeux, d'agir efficacement.
- son action fut souvent reconnue par les autorités du monde Juifs.
Approfondir
La voix du pape Pie XII « s’est élevée en faveur des victimes »
Benoît XVI cite Mme Golda Meir
ROME, Jeudi 9 octobre 2008 (ZENIT.org)
- La voix du pape Pie XII « s'est élevée en faveur des victimes » : cet hommage de Mme Golda Meir à la mort de Pie XII il y a 50 ans, a été cité par Benoît XVI, dans son homélie pour la messe anniversaire célébrée ce matin en la basilique Saint-Pierre, avec les cardinaux et des membres du synode.
Pour ce qui est des paroles et de l'œuvre de Pie XII en faveur des juifs persécutés par la barbarie nazie, Benoît XVI a cité le fameux message à Radio Vatican pour Noël, en 1942 : « Avec une voix brisée par l'émotion, il déplora la situation des ‘centaines de milliers de personnes qui, sans aucune culpabilité de leur part, mais seulement pour des raisons de nationalité ou de race, sont destinées à la mort ou à un progressif dépérissement' (AAS, XXXV, 1943, p.23), se référant très clairement à la déportation et à l'extermination perpétrée contre les juifs ».
Rappelons que dans ce message Pie XII démontait alors le projet de Hitler pour la nouvelle Europe, point par point, d'où sa longueur, parfois peu comprise, sauf par le principal intéressé.
Mais Benoît XVI a aussi évoqué l'action cachée, surtout, au lendemain de la protestation catastrophique des évêques de Hollande, du 26 juillet 1942, qui provoqua des dizaines de milliers de déportations supplémentaires, au lieu de sauver des vies.
« Souvent, a souligné Benoît XVI, c'est dans le secret et le silence qu'il a agi parce que, justement, à la lumière des situations concrètes de la complexité de ce moment historique, il avait eu l'intuition que c'est seulement de cette manière que l'on pouvait éviter le pire et sauver le plus grand nombre possible de juifs ».
Et de rappeler les hommages de la communauté juive : « Pour ses interventions, de nombreuses et unanimes attestations de reconnaissances lui furent adressées à la fin de la guerre, ainsi qu'au moment de sa mort, par les plus importantes autorités du monde juif, comme par exemple, par le Ministre des Affaires Extérieures d'Israël Golda Meir, qui lui écrivit : ‘Quand le martyre le plus épouvantable a frappé notre peuple, durant les dix années de terreur du nazisme, la voix du Souverain Pontife s'est élevée en faveur des victimes', concluant avec émotion : ‘Nous pleurons la perte d'un grand serviteur de la paix'. »
Benoît XVI a salué son « long service de l'Église, commencé sous Léon XIII et poursuivi sous Pie X, Benoît XV et Pie XI », le pape évoque aussi son ministère pontifical « qui s'est déroulé durant les douloureuses années du second conflit mondial et la période suivante, non moins complexe, de la reconstruction et des difficiles rapports internationaux, passés à l'histoire sous la significative appellation de ‘guerre froide'. »
A propos de sa nonciature en Allemagne, le pape disait son opposition précoce au national-socialisme, « monstrueux »: « En Allemagne, où il exerça les fonctions de Nonce Apostolique, d'abord à Munich puis à Berlin jusqu'en 1929, il laissa derrière lui un souvenir emplit de gratitude, surtout pour avoir collaboré avec Benoît XV à la tentative de mettre fin à l' ‘inutile massacre' de la Grande Guerre, et pour avoir décelé, dès son avènement, le danger constitué par la monstrueuse idéologie nationale-socialiste, avec ses pernicieuses racines antisémites et anti-catholiques ».
Benoît XVI a rappelé que Pacelli a été « créé cardinal en décembre 1929 » puis nommé Secrétaire d'État de Pie XI, pendant neuf ans, et à une époque caractérisée par les totalitarismes : le fascisme, le nazisme et le communisme soviétique, condamnés respectivement par les encycliques « Non abbiamo bisogno », « Mit Brennender Sorge » et « Divini Redemptoris ».
On sait maintenant que le futur Pie XII, germanophone et lucide anti-nazi de la première heure, a été l'un des principaux rédacteurs de « Mit Brennender Sorge » (1937).
Benoît XVI a aussi rappelé comment Pie XII a essayé d'arrêter la guerre : il avait commencé son ministère de Successeur de Pierre le 2 mars 1939, « alors que s'accumulaient sur l'Europe et sur le reste du monde les nuages menaçants d'un nouveau conflit mondial qu'il tenta d'éviter par tous les moyens : ‘Le péril est imminent, mais il est encore temps. Rien n'est perdu avec la paix. Tout peut l'être avec la guerre', s'était-il écrié dans son radio-message du 24 août 1939 (AAS, XXXI, 1939, p. 334) ».
Et pendant la guerre, il déploya une « intense oeuvre de charité qu'il accomplissait en faveur des persécutés, sans tenir compte d'aucune distinction de religion, d'ethnie, de nationalité, d'appartenance politique ».
Des historiens - le pape cite le journaliste italien Andrea Tornielli - ont mis en lumière par exemple son aide - en or - à la communauté juive de Rome menacée, mais aussi comment sa secrétaire - Sr Pascalina Lenhert, une religieuse bavaroise, ce qui peut-être facilitait les déplacements - accompagnait la camionnette apportant de la farine aux couvents qui cachaient des familles juives, comme au couvent des Dames de Sion, au Janicule. Les sœurs en ont témoigné lorsque leurs supérieures ont reçu à titre posthume la médaille des Justes parmi les Nations (cf. Zenit, 4 février 1999).
On conseilla cependant au pape de quitter le Vatican, Rome étant occupée, et « sa réponse fut toujours la même, identique et décisive : ‘Je ne laisserai pas Rome et mon poste, même si je devais en mourir' (cf. Summarium, p. 186). Ses familiers et autres témoins firent, en outre, part de ses privations de nourriture, de chauffage, de vêtements, de commodités, qu'il s'imposait volontairement pour partager la condition de la population durement éprouvée par les bombardements et par les conséquences de la guerre (cf. A. Tornielli, Pie XII, Un uomo sul trono di Pietro) », a rappelé Benoît XVI.
« Malheureusement, a relevé Benoît XVI, le débat historique, qui n'a pas toujours été serein, sur la figure du Serviteur de Dieu Pie XII, a oublié de mettre en lumière tous les aspects de son polyédrique pontificat ».
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jeudi, 16 octobre 2008
La VIE!
Appel international pour les droits et la dignité de la personne humaine et de la famille
TRÈS IMPORTANT : SIGNER ET RENVOYER CE MESSAGE AU MAX DE PERSONNES.
La C-FAM (l'unique groupe pour-la-vie qui travaille exclusivement en politique sociale de l'ONU) récolte des signatures pour les présenter devant l'ONU, et empêcher que, par la pression de groupes pro-avortement, se déclare le jour du 60ème anniversaire de la Déclaration des Droits de l'Homme, le 10 décembre, le "droit à l'avortement" comme un droit de plus.
Votre signature peut être décisive.
http://www.c-fam.org
MERCI !!!
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Jean-Paul II, 30 ans...
C'était il y a 30 ans. Karol Wojtyla devenait Jean-Paul II. ( 16 octobre 1978 )
"Après Jean Paul Ier, les cardinaux ont élu un nouvel évêque de Rome, ils m'ont appelé d'un pays lointain... J'ai eu peur... Si je me trompe dans votre, dans notre langue!, vous me corrigerez"
( en italien: "mi corrigerete!" Or, ce fut une erreur qui a immédiatement touché le coeur des italiens. Il fut adopté! La forme juste: "mi corregerete" )
Jean-Paul II, désormais serviteur de Dieu, a laissé un souvenir grandiose et écrit de magnifiques pages dans le grand livre de d'histoire !
(Séquence souvenir - mais en espagnol )
- Association romande pour la béatification de Jean Paul II
- Film "Témoignage" selon son secrétaire
http://eucharistiemisericor.free.fr
D'où vient cet intérêt qui ne se dément pas pour la figure de Jean-Paul II ? Le cardinal Dziwisz répond par un seul mot : « Amour ». il explique : « Il a eu un grand amour pour les gens, tous disaient : « Il m'a vu, il m'a regardé ». C'est un amour toujours réciproque, qui demeure ».
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mardi, 14 octobre 2008
Irak: des martyrs
L'Irak, terre d'Abraham, reste une terre de guerre et de sang. Ne les oublions pas!
Le Cardinal Emmanuel III DELLY, Patriarche chaldéen de Babylone (Irak)
Synode des évêques, 14 octobre 2008
source: VIS
"Je suis un fils de la terre d'Abraham, l'Irak. Nous avons tout essayé pour obtenir la paix et la tranquillité dans le pays. La situation dans certaines parties de l'Irak est désastreuse et tragique. La vie est un calvaire: la paix et la sécurité sont absentes de même que les éléments de base dans la vie de tous les jours. Tous craignent l'enlèvement, les séquestres et les intimidations. Et je ne parle pas du nombre toujours plus important de morts causés par les bombes et par les kamikazes qui mettent des ceintures explosives. Vivre la Parole de Dieu signifie pour nous en témoigner même au prix de notre propre vie comme cela a eu lieu et a encore lieu avec le sacrifice d'évêques, de prêtres et de fidèles. C'est pour cela que je vous supplie de prier pour nous et avec nous le Seigneur Jésus, Verbe de Dieu, et de partager notre préoccupation, nos espérances et la douleur de nos blessures afin que la Parole de Dieu faite chair reste dans son Église et avec nous comme une bonne nouvelle et comme un soutien. Seize de nos prêtres et deux évêques ont été enlevés et relâchés contre une rançon très élevée. Certains s'ajoutent à la liste des nouveaux martyrs qui prient aujourd'hui pour nous au Ciel : l'archevêque de Mossoul, Faraj Rahho, le père Raghid Ganni, deux autres prêtres et six autres jeunes".
Un martyr d'Irak ( In memoriam )
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